
Rafbor, tu cherches, tu trouves. Tu ne comprends pas ? OK !
Moi ce que je ne comprends pas de ta part c'est que tu remplaces plein de choses sur certains de tes vélos, ou, pire, tu en supprimes pour en faire des courses qu'il ne sont pas. C'est simultanément à l'un de tes poste qu'est né le terme "coursificose", et que tu viens donner des leçons, non pas sur les techniques ou l'historique des vélos, mais sur la façon dont je m'exprime.
Et je ne parle pas encore de certaines de tes références hors sujet, en réponse à mes propos qui ne concernait que le vélo du poste.
Quel élément, autre que le travail d'un autre tonton, as-tu apporté à ce poste ?
Dans les configurations de construction les vélos ont des différences notoires (encore faut-il savoir les voir) d'une marque l'autre, et techniquement elles n'évoluent pas au même rythme ni dans le même sens, c'est pourquoi on n'identifie ni ne date un De DION-BOUTON à partir de catalogue ALCYON, ou toutes autres marques.
Pour le poids des vélos, certes avec des petites différences, la tendance est toujours très proches pour toutes les marques ou presque.
Si tu veux me donner des leçons, je suis preneur si elles sont justifiées. Je propose que tu passes au peigne fin tous les vélos montrés sur mes deux blogs
http://anciensveloslyonnais.weebly.com/ et
http://raymondwolhauser.weebly.com/ et que tu me signales ce qui ne va pas et qui n'est pas mentionné dans le texte.
Je t'autorise à produire les photos des vélos incriminés sur TTV et d'en faire la critique ici. 
jeunepadawan, c'est en 1937 que les organisateurs du Tour de France ont pour la première fois équipés les vélos de dérailleurs (c'était des SUPER-CHAMPION), mais avant, des touristes-routiers, qui n'étaient pas du niveau des coureurs, en ont employé, tel Joany Panel qui a fait 3 TdF avec son dérailleur Le CHEMINEAU.