"Sibylline"... donc tu souhaiterais que je développe :Amis de Tonton Vélo a écrit :Ta remarque est un peu sibylline.qipiq a écrit :J'avais bien comprisqipiq a écrit : Est-ce que le shilimiconmiblik est un brevet de Géo Trouve tout ce dont personne a besoin ?
Par contre je pense que tu es peut-être passé à coté de la solution lorsque tu as écrit :qipiq a écrit :Est-ce que le chimilibibique serait un frein de stationnement ? Voire, par dérivé un antivol (non pas pour évité de s'envoler) ?
Si je comprends bien, c'est pas sûr, ce "machin" est activé quand on freine, afin d'éviter sous l'effet du freinage, de basculer vers l'avant ... Oui ? Non ?
Pour cela il freine la fourche par rapport à la roue ... Oui ? Non ? Si oui le fait-il en prenant appui sur la jante ou le bandage ... Oui ? Non ?
Si oui, il freine encore plus fort la roue et dans ce cas la réponse à été donnée par Stellis :<<Un système de freinage "double effet": sur le bandage et en même temps sur les côtés de la jante?>>
S'il ne prend pas appui sur la jante ou le bandage, il est fait d'un fil extrémement rigide pour ne pas se déformer à l'effort sous la pression exercée par la fourche qui voudrait basculer vers l'avant ... Oui ? Non ?
Si oui, comment le bicycliste a-t-il suffisamment de force dans les doigts pour fléchir ce fil très rigide afin que la cuillère atteigne le bandage dans un laps de temps suffisamment court pour ne ne pas freiner au panneau "trop tard " ?
Si tout le raisonnement ci-dessus est à côté de la plaque, comment le "machin" est-il déclenché ? Un niveau à bulle ? Un fil à plomb ? Un système électro-magnétique ? Une commande vocale ? La transmission de pensé ? Ou une réaction thermique, simplement par l'élévation de la température corporelle du gars qui a la frousse de sa vie ?
Conclusion temporaire : si tout fonctionne bien, c'est à dire que le freinage sur le bandage arrête la progression dans les délais souhaités par le gars et dans la distance restant disponible pour ne pas dépasser les normes de sécurité et que concomitamment le processus est activé selon le procédé adéquat, probablement très précisément décrit dans le brevet, à défaut de l'être dans la publicité pour la vente dans laquelle ce salopard de marchand prend bien garde de ne pas laisser imaginer par le quidam, béotien inculte des choses de la vélocipédie encore presque naissante en cette fin de siècle à l'horizon entravé pour les prolétariens, dont il est, par un Traité très coûteux à l'usage et encore plus cher à racheter, dont l'une des conséquences pour le sportif à roues est l'état de délabrement des routes et chemins dont le poète retour d'exil écrira quelques lignes de surprise et déception, qui voudrait par l'acquisition de cette machine d'élite, faire s'esbaudir voire, défaillir sur son hypothétique futur passage, quelques innocentes beautés locales, acheteur potentiel de cet accessoire sans lequel il n'aurait pas la certitude que l'usage du bicycle fut à sa portée, que le machin garantit aussi que, certes, en ralentissant le déplacement vers l'avant de la fourche par rapport à la roue, celle-ci ne poursuivra pas sa rotation sous le seul effet du transfert du poids du bicycliste, naturellement fort haut perché peut-être en plus pour mieux impressionner la populace bavant devant tant de courage et d'habileté, arc-bouté sur son dirigeoir, ne serait-ce d'ailleurs que pour avoir plus de force dans la main crispée sur ce bout de ferraille qui n'arrête pas si facilement que ça son équipage, loi de la gravité oblige, pour finir vautré au sol, exactement comme s'il n'avait pas acheté le "machin".