Je persiste, toujours aussi passionnant ce récit, j'aime particuliérement le commentaire sur François Faber, le "géant de colombes", il est vrai qu'à cette époque les coureurs (l'ensemble de la population d'ailleurs" de presque 1,80m n'étaient pas fréquents ; et sans doute une certaine noblesse dans son comportement et dans son attitude de sportif et d'homme, l'un ne vas pas sans l'autre , engagé dans la légion étrangére et dcd pendant la guerre, il n'avait pas choisi la "planque", gardons nous de comparaisons avec les coureurs contemporains...
Allez HENRIKA , la suite...