J'ai du mal à visualiser ce système, je pose les tasseaux de part et d'autre de la fourche sur le té pour la coincer c'est bien ça?
Tout à fait, tu les mets de part et d'autre, comme un étau en fait.
Pour éviter qu'ils ne cassent tu prends deux autres tasseaux de la largeur du té que tu glisses entre tes deux tasseaux principaux comme intercalaires.
Tu perces les tasseaux pour passer un boulon afin de solidariser le tout... et ça te fait une sorte de carcan autour du té avec un bras de levier agrandi de la longueur des tasseaux
Idem pour la potence...
Pour éviter d'utiliser deux petits tasseaux comme intercalaires, tu peux dégrossir tes 2 tasseaux principaux pour leur faire épouser la forme du té...
en remettant le cintre sans le visser... Mauvaise idée, j'ai agrandi la zone de passage du cintre au niveau de la potence
Cela ne m'étonne pas! A mon avis les ingénieurs n'ont pas conçu la liaison potence/cintre pour supporter ce genre de contraintes
De même qu'une fourche n'est pas prévue pour supporter la contrainte qu'on exerce en coinçant la roue avant entre ses genoux pour forcer en rotation
Le té étant moulé ou taillé dans la masse, il supportera mieux cette contrainte que les lames ou les brasures liants les lames au té.
Idem pour la potence, elle supportera mieux d'être prise en étau pour exercer une rotation que de se servir du cintre comme bras de levier!
Si vraiment ça ne vient pas, il te restera la solution du chauffage (au décapeur thermique) du pivot : en chauffant les pièces vont se dilater, puis se rétracter en refroidissant, ce qui brisera l'amalgame de rouille...
