L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
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L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Je suis un peu en retard je l'avoue, ça fait quelques mois déjà mais je n'ai pas eu trop le temps de m'occuper des photos
Car même si cette année n'a pas été très vélo pour moi, entre cette histoire de corona et un nouveau boulot beaucoup plus usant physiquement, j'ai quand même été rouler un petit peu en Octobre 2020, avec ma randonneuse RPF
Comme chaque année, je participe avec mes grands-parents au rassemblement du club des Cent Cols dans les Pyrénées, cette année la concentration se déroulait au col de Portech (868m) en Ariège mais a été annulée, nous nous y sommes tout de même rendus pour profiter des paysages pyrénéens
J'avais emporté ma randonneuse polymultipliée RPF pour sa toute première vraie balade avec moi, elle est équipée de 3 pignons et deux plateaux Rosa, un en 44 dents, l'autre en 30 dents qui permet de passer partout malgré le poids imposant de cette belle bête qui doit avoisiner les 30 kgs une fois mes petites sacoches chargées
Nous avions loué un gîte à proximité du col, visible juste derrière moi
Le premier jour de route nous partons du village de Massat, en direction de Biert, village où nous bifurquons sur la droite pour entamer l'ascension du col de la Crouzette et ses 1245m d'altitude
Le plateau de 30 dents est apprécié dès le début de la côte qui monte en moyenne à 8% et dont certains passages atteignent jusqu'à 18% que je monte non sans mal, notamment avec mon manque total d'entrainement, mais sur le vélo jusqu'au 3/4 de l'ascension
Une ouverture dans la végétation nous permet de découvrir le Mont Valier enneigé (Je m'en étais approché au plus près deux ans plus tôt en grimpant le Port d'Aula en rétrodirecte de 1929)
Au sommet de la Crouzette
Nous passons ensuite le col du Pradel puis le col de Portel sous la neige avant que la pluie ne nous attrape et nous fouette le visage lors de la redescente sur le col de Péguère
La descente du col de Péguère jusque sur le col suivant des Caougnous est elle aussi très pentue comme pour celui de la Crouzette, pour ne pas mettre à mal les freins de ma lourde monture, ainsi que mes mains (Qui furent tout de même très vite engourdies par le serrage), je décide de remettre en pratique la technique du fagot, laquelle consiste à attacher un poids mort derrière le vélo afin de le ralentir dans la descente
Je scrute les bas côtés afin de trouver un bout de bois de bonne taille, une fois celui-ci trouvé je l'attache solidement à mon tube de selle à l'aide d'une ficelle que j'avais prévu pour l'occasion
Le col des Caougnous est gagné sans encombre, avec une usure des freins bien moins prononcée que si j'avais eu à freiner toute la descente sur mes roues pas encore vraiment rodées
Pour regagner notre village de départ, Massat, il ne reste que de la descente mais avec un gradient bien moins prononcé, et si la pluie ne s'était pas jointe à la partie j'aurais pu y prendre du plaisir
Il a plu tellement fort que la chaussée en était inondée malgré un revêtement de très bonne qualité, l'abus d'humidité à rendu le freinage peu efficace, j'ai fait des entrées dans les courbes un peu rapides, et sur une ligne droite avant l'entrée d'une épingle, je pense même que mon pneu avant (Section Ballon de 50 je rappelle) a fait un peu d'aquaplanning
Nous arrivons finalement à Massat, trempés jusqu'aux os et complètement glacés
Le lendemain nous rejoignons le col de Portech à 2km de notre gîte par une piste de pierres
Nous descendons ensuite jusqu'à la centrale hydroélectrique de Lacourt puis suivons la vallée du Salat jusqu'à Saint-Girons
Entre temps nous faisons un petit crochet pour aller chercher le col de Jou, tout petit col sans difficulté, mais sous la pluie
Après Saint-Girons nous prenons la vallée du Lez jusqu'à Moulis avant de remonter à notre gîte sur les sommets du col de Portech
On peut évidemment rejoindre le gite par une route goudronnée mais j'ai repéré une petite piste qui permet de raccourcir à travers champs et qui m'a permis de découvrir quelques petites cabanes abandonnées au creux d'un oued ou accrochée à flanc de montagne
Pour la dernière journée de notre séjour, nous montons le col de la Core en aller-retour depuis Sentenac d'Oust, la météo n'est pas très bonne au départ, dans un épais brouillard froid, mais dès que nous quittons le village, la visibilité revient et une échancrure dans la lisière de pins qui bordait le route nous laisse apercevoir un paysage magique, au dessus des nuages
Le temps qui est dégagé pour l'instant laisse apercevoir les sommets coiffés de brumes
Arrivée au sommet du col de la Core, certainement un des plus beaux cols routiers que j'ai monté dans les Pyrénées, en tout cas avec cette météo ça en était magique
Le retour se fera avec quelques difficultés suite à mes freins qui ont tendance à se dérégler et la pente assez importante elle aussi
Arrivé à Sentenac d'Oust, je décide de poursuivre la descente jusqu'au très joli village de Seix afin de terminer en beauté ce week-end
Car même si cette année n'a pas été très vélo pour moi, entre cette histoire de corona et un nouveau boulot beaucoup plus usant physiquement, j'ai quand même été rouler un petit peu en Octobre 2020, avec ma randonneuse RPF
Comme chaque année, je participe avec mes grands-parents au rassemblement du club des Cent Cols dans les Pyrénées, cette année la concentration se déroulait au col de Portech (868m) en Ariège mais a été annulée, nous nous y sommes tout de même rendus pour profiter des paysages pyrénéens
J'avais emporté ma randonneuse polymultipliée RPF pour sa toute première vraie balade avec moi, elle est équipée de 3 pignons et deux plateaux Rosa, un en 44 dents, l'autre en 30 dents qui permet de passer partout malgré le poids imposant de cette belle bête qui doit avoisiner les 30 kgs une fois mes petites sacoches chargées
Nous avions loué un gîte à proximité du col, visible juste derrière moi
Le premier jour de route nous partons du village de Massat, en direction de Biert, village où nous bifurquons sur la droite pour entamer l'ascension du col de la Crouzette et ses 1245m d'altitude
Le plateau de 30 dents est apprécié dès le début de la côte qui monte en moyenne à 8% et dont certains passages atteignent jusqu'à 18% que je monte non sans mal, notamment avec mon manque total d'entrainement, mais sur le vélo jusqu'au 3/4 de l'ascension
Une ouverture dans la végétation nous permet de découvrir le Mont Valier enneigé (Je m'en étais approché au plus près deux ans plus tôt en grimpant le Port d'Aula en rétrodirecte de 1929)
Au sommet de la Crouzette
Nous passons ensuite le col du Pradel puis le col de Portel sous la neige avant que la pluie ne nous attrape et nous fouette le visage lors de la redescente sur le col de Péguère
La descente du col de Péguère jusque sur le col suivant des Caougnous est elle aussi très pentue comme pour celui de la Crouzette, pour ne pas mettre à mal les freins de ma lourde monture, ainsi que mes mains (Qui furent tout de même très vite engourdies par le serrage), je décide de remettre en pratique la technique du fagot, laquelle consiste à attacher un poids mort derrière le vélo afin de le ralentir dans la descente
Je scrute les bas côtés afin de trouver un bout de bois de bonne taille, une fois celui-ci trouvé je l'attache solidement à mon tube de selle à l'aide d'une ficelle que j'avais prévu pour l'occasion
Le col des Caougnous est gagné sans encombre, avec une usure des freins bien moins prononcée que si j'avais eu à freiner toute la descente sur mes roues pas encore vraiment rodées
Pour regagner notre village de départ, Massat, il ne reste que de la descente mais avec un gradient bien moins prononcé, et si la pluie ne s'était pas jointe à la partie j'aurais pu y prendre du plaisir
Il a plu tellement fort que la chaussée en était inondée malgré un revêtement de très bonne qualité, l'abus d'humidité à rendu le freinage peu efficace, j'ai fait des entrées dans les courbes un peu rapides, et sur une ligne droite avant l'entrée d'une épingle, je pense même que mon pneu avant (Section Ballon de 50 je rappelle) a fait un peu d'aquaplanning
Nous arrivons finalement à Massat, trempés jusqu'aux os et complètement glacés
Le lendemain nous rejoignons le col de Portech à 2km de notre gîte par une piste de pierres
Nous descendons ensuite jusqu'à la centrale hydroélectrique de Lacourt puis suivons la vallée du Salat jusqu'à Saint-Girons
Entre temps nous faisons un petit crochet pour aller chercher le col de Jou, tout petit col sans difficulté, mais sous la pluie
Après Saint-Girons nous prenons la vallée du Lez jusqu'à Moulis avant de remonter à notre gîte sur les sommets du col de Portech
On peut évidemment rejoindre le gite par une route goudronnée mais j'ai repéré une petite piste qui permet de raccourcir à travers champs et qui m'a permis de découvrir quelques petites cabanes abandonnées au creux d'un oued ou accrochée à flanc de montagne
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Mieux vaut se mettre sérieusement à quelque chose de médiocre, que de rêver éternellement à la perfection Henri de Tourville
Le Chef de gare, cultivateur de rouille depuis 1899
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Merci Anthony et bravo pour ce petit reportage magnifique.
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
encore une fois tout est magique, les paysages, les parcours et les prises de vues
Très heureux de voir cette mule de 30kg rouler.
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- ian
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Anthony, bonjour
tu es un pur et dur!!! Bravo et presque pas étonné venant de ta part .
Tu aurais pu au moins te concéder des caoutchoucs de poignées, même des vieux !!
tu es un pur et dur!!! Bravo et presque pas étonné venant de ta part .
Tu aurais pu au moins te concéder des caoutchoucs de poignées, même des vieux !!
- king
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
kirei da ne , c'est pas moi qui le dit mais O' Tomoto et j'aquiecse
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Bravo !Je suis vos aventures depuis l'article dans "cyclotourisme"... Vous êtes assurément le plus bel et noble exemple d'une jeunesse sportive et engagée... Soyez fier de ce que vous avez encore accompli en ce périple escarpé. Et tout cela doublé d'un régal visuel avec vos clichés photographiques ! Donc oui : bravo !
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Merci Antho pour ce partage ! au plaisir de te revoir
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Anthony, bravo pour ce périple, super idée ces freins de fortune, et... cette mer de nuage
A très vite.
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
salut anthony
chouette comme toujours =la technique des fagots ou vieux pneus l'ai souvent vu mise an pratique il y a une cinquantaine d'annees chez les gens du voyage du temps ou il y avait encore beaucoup d'attelages chevalins=michel
chouette comme toujours =la technique des fagots ou vieux pneus l'ai souvent vu mise an pratique il y a une cinquantaine d'annees chez les gens du voyage du temps ou il y avait encore beaucoup d'attelages chevalins=michel
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Tres beaux paysages et très belles photos, j'aime beaoucoup la séance de renforcement musculaire
Il bene si fa, ma non si dice.
E certe medaglie si appendono all'anima, non alla giacca.
Gino Bartali
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Spendide, des images à nous faire rêver et nous donner envie de voyager ! Merci pour le partage
A cœur vaillant rien impossible (Jacques Coeur, grand argentier de Charles VII)
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Merci à tous
Pour les poignées il faut que je pense à en mettre oui, il va me falloir fouiller dans le bazar pour en trouver
Le bonjour à O'Tomoto également
Pour les poignées il faut que je pense à en mettre oui, il va me falloir fouiller dans le bazar pour en trouver
Le bonjour à O'Tomoto également
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
domo arigato
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Super ballade, et pas facile, c'est un passage fréquent du TdeF, à cause du mur de Pegueire. On y fait tous les ans un piqueuniqueu avec la smala, mais évidemment en voiture, j'aimerais le faire un jour en vélo, mais pas sûr que ça arrive. Au col de Pegueire, il y a la Tour Lafont (ou Laffont, je sais plus) que tu n'as peut être pas vue, et qui doit être maintenant noyée dans les arbres, ancienne tout de guet qui embrasse tout le paysage.
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Très beau reportage Anthony
Mais, de grâce, mets au moins des bouchons de pinard dans ton cintre (je ne parle pas de poignées) sinon, en cas de chute ce sont de vrais emporte-pièce
cyril
Mais, de grâce, mets au moins des bouchons de pinard dans ton cintre (je ne parle pas de poignées) sinon, en cas de chute ce sont de vrais emporte-pièce
cyril
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Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Superbe ta machine et ton voyage!!! Je restaure en ce moment une machine des années 20 avec laquelle j'aimerai me rendre a Goodwood en UK et j'ai des papillons de roue Rosa, probablement la même maison que les plateaux que tu as sur ton vélo. Cet été nous avons eu des routes communes en la matière de ce col que j'ai moi aussi emprunté dans les Pyrénées...
Lors d'une rapide traversée des Pyrénées nous avons fait ce col, le Portet d'Aspet col des ares, col de la Guille, col de Puymorens col de la Seille, col de port , col de Llauro etc et aussi quelques un en Espagne.
Belles photos et beau reportage en tt cas!
Lors d'une rapide traversée des Pyrénées nous avons fait ce col, le Portet d'Aspet col des ares, col de la Guille, col de Puymorens col de la Seille, col de port , col de Llauro etc et aussi quelques un en Espagne.
Belles photos et beau reportage en tt cas!
- Stéphane
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- Inscription : jeu. 24 mars 2011 19:52:54
- Localisation : Île de France
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Merci, CHEF DE GARE, pour ces superbes photos de magnifiques paysages et de cette splendide Randonneuse ! Et félicitations !
Tes vêtements sont épais, mais, pour le retour des beaux jours, et une fois que tu seras rétabli, il te faudra, effectivement, fermer les extrémités de ton cintre !
Tes vêtements sont épais, mais, pour le retour des beaux jours, et une fois que tu seras rétabli, il te faudra, effectivement, fermer les extrémités de ton cintre !
"La bicyclette, c'est autre chose qu'un sport. C'est un bienfait social" (Pierre Giffard, en 1890)
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- Inscription : lun. 16 mars 2020 17:30:24
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
Magnifique !
Quand tu randonnes vintage, tu ne fais pas semblant. J'imagine que ton vélo et ta tenue attisent la curiosité et te permettent pleins de rencontres humaines !
La technique du poids mort qui traîne en descente, pas trop acrobatique ?
(Anthony, je t'ai envoyé un MP mais mon mobile buggue, je ne sais pas s'il t'est parvenu...)
Quand tu randonnes vintage, tu ne fais pas semblant. J'imagine que ton vélo et ta tenue attisent la curiosité et te permettent pleins de rencontres humaines !
La technique du poids mort qui traîne en descente, pas trop acrobatique ?
(Anthony, je t'ai envoyé un MP mais mon mobile buggue, je ne sais pas s'il t'est parvenu...)
Re: L'Ariège en randonneuse d'avant-guerre
J'ai été très amusé et très impressionné par ton respect de l'esprit de l'époque. Néanmoins l'utilisation du fagot m'a fait frémir car dangereuse. Imagines que dans la descente ton morceau de bois soit soulevé par un caillou ou un obstacle, se mette en travers de la route et que dans le même temps il soit accroché par une voiture venant en sens inverse...
Tu te retrouverais hameçonné et entrainé par la voiture, avec tous les désagréments que ça peut comporter.
L'accident par définition c'est toujours con.....
Tu te retrouverais hameçonné et entrainé par la voiture, avec tous les désagréments que ça peut comporter.
L'accident par définition c'est toujours con.....