La balade de Marco l'Agenès
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
A bientôt pour de nouvelles aventures
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Non, réel les mecs : je quitte le fofo car je vais disparaître sous la forme de Marco47.Marco47 a écrit :A bientôt pour de nouvelles aventures
Bon, pour celui qui demande pourquoi, tu répondras que c'est juste pour une sombre histoire de changement d'opérateur et puis c'est marre
el Marco vous dit donc adishatz a toutès et continuez à pédaler bien rouillés
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Euh ... hum ... en fait, le changement d'opérateur n'a rien changé
Quel nain de jardin ce Marco
Bon, du coup je reviens emboucaner cette joyeuse bande de cafetières fêlées que nous avons Tontons rouillés appelés
ça tombe bien car en termes de cafetière fêlée, el Marco se pose là
Pour les futures improbables aventures du gascoun volant (un "haut landais" en fait NDR : elle est pas mal celle-là, hein ?! Non ? Ah ... bon ), il faut que je trouve un vieux biclou dans mon fourbis
J'ai une randonneuse au cadre pas terrible (Anquetil : pardon maître Jacques ) et un cadre 'Tobeck orange assez joli : le croisement pourrait être sympa
J'ai un cadre "montaigne bique" des 90's qui pourrait accoucher de l'équivalent "moderne" des cyclos muletiers ... mais avec du bon gros "peuneu" bibendum TT, juste pasqu' mon dos ne supporte pas les écarts "printemps festifs".
Alors cogitage de ouf pour attaquer un nouveau pan de vie vélocyclistophile (tu la connaissais pas celle-là, hmmm ? => moi non plus ) avant d'aller défier le Géant du Tour que vous savez (l'été prochain, parce-que moi, la neige )
Quel nain de jardin ce Marco
Bon, du coup je reviens emboucaner cette joyeuse bande de cafetières fêlées que nous avons Tontons rouillés appelés
ça tombe bien car en termes de cafetière fêlée, el Marco se pose là
Pour les futures improbables aventures du gascoun volant (un "haut landais" en fait NDR : elle est pas mal celle-là, hein ?! Non ? Ah ... bon ), il faut que je trouve un vieux biclou dans mon fourbis
J'ai une randonneuse au cadre pas terrible (Anquetil : pardon maître Jacques ) et un cadre 'Tobeck orange assez joli : le croisement pourrait être sympa
J'ai un cadre "montaigne bique" des 90's qui pourrait accoucher de l'équivalent "moderne" des cyclos muletiers ... mais avec du bon gros "peuneu" bibendum TT, juste pasqu' mon dos ne supporte pas les écarts "printemps festifs".
Alors cogitage de ouf pour attaquer un nouveau pan de vie vélocyclistophile (tu la connaissais pas celle-là, hmmm ? => moi non plus ) avant d'aller défier le Géant du Tour que vous savez (l'été prochain, parce-que moi, la neige )
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Chouette !
J avais peur que les aventures d El Marco ne cessent !
Continue comme cela et..ne change rien
Au plaisir.
J avais peur que les aventures d El Marco ne cessent !
Continue comme cela et..ne change rien
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
MERKI cher mistou ça fait chaud au coeur d'être soutenu ... surtout dans tant d'élucubrations (la marque de fabrique d'el Marco)
Bon, hé ! lou gascoun est sur le (bas) flanc avec une grippe sympatoche qui me fait délirer encore plus que la moyenne de mes délires vélociférants (faut l'oser celle-là, non ? ).
Finalement, on est bien dans un forum de gens de goût mais aussi de personnes tolérantes; et ça, ça fait rudement plaisir
Pourquoi ?
Hé chers Tontons défenseurs des vélos d'avant 1980 : je vous narre des balades à vélo, certes, mais sur des bicycles stratosphériques à carbonisation contrecarrée par la poussée inversée du cosinus tangentiel d'une phrase devenue pour le moins absconse (courage mon poulet, décortique leeeentement ).
Alors du coup, si je dois quand même m'entraîner dans les côtes avec ma bombe carbonique en vue de l'affrontement final avec les plus hauts sommets pyrénéens, il me semble intéressant de faire évoluer mon concept de balade lot-et-garonnaise vers une approche vintage de bon aloi.
Hum, oui, pardon j'avais oublié qu'il y a des termes qui fâchent
En ce cas, puis-je remplacer vintage par old school ? Non plus ?
Bon, alors je te vais m'inventer une terminologie tout ce qu'il y a de plus personnelle et on n'en parle plus
Brêfle, je vais utiliser la machine à remonter le temps
Le seul hic (mais pas nunc), c'est que va falloir faire un choix et c'est là que le bât blesse le baudet que nous avons el Marco appelé
Que choisir ? (60 millions de consommateurs ?)
Un coursier ? ( Gitane 1979, Gitane 1980, Regina sport 70's)
Un demi-course ? (Motobécane 1973, Dilecta le Blanc ... )
Une randonneuse ? ( Elvish, Anquetil)
Et là, avec votre serviteur : on n'est pas rendus
Mais bon, laissons passer l'hiver en cogitant au coin de l'âtre. Peut-être l'idée bourgeonnera-t-elle au printemps ?
Bon, hé ! lou gascoun est sur le (bas) flanc avec une grippe sympatoche qui me fait délirer encore plus que la moyenne de mes délires vélociférants (faut l'oser celle-là, non ? ).
Finalement, on est bien dans un forum de gens de goût mais aussi de personnes tolérantes; et ça, ça fait rudement plaisir
Pourquoi ?
Hé chers Tontons défenseurs des vélos d'avant 1980 : je vous narre des balades à vélo, certes, mais sur des bicycles stratosphériques à carbonisation contrecarrée par la poussée inversée du cosinus tangentiel d'une phrase devenue pour le moins absconse (courage mon poulet, décortique leeeentement ).
Alors du coup, si je dois quand même m'entraîner dans les côtes avec ma bombe carbonique en vue de l'affrontement final avec les plus hauts sommets pyrénéens, il me semble intéressant de faire évoluer mon concept de balade lot-et-garonnaise vers une approche vintage de bon aloi.
Hum, oui, pardon j'avais oublié qu'il y a des termes qui fâchent
En ce cas, puis-je remplacer vintage par old school ? Non plus ?
Bon, alors je te vais m'inventer une terminologie tout ce qu'il y a de plus personnelle et on n'en parle plus
Brêfle, je vais utiliser la machine à remonter le temps
Le seul hic (mais pas nunc), c'est que va falloir faire un choix et c'est là que le bât blesse le baudet que nous avons el Marco appelé
Que choisir ? (60 millions de consommateurs ?)
Un coursier ? ( Gitane 1979, Gitane 1980, Regina sport 70's)
Un demi-course ? (Motobécane 1973, Dilecta le Blanc ... )
Une randonneuse ? ( Elvish, Anquetil)
Et là, avec votre serviteur : on n'est pas rendus
Mais bon, laissons passer l'hiver en cogitant au coin de l'âtre. Peut-être l'idée bourgeonnera-t-elle au printemps ?
Re: La ballade de Marco l'Agenès
ERRATUM ! Chers gardiens du Temple
J'ai utilisé de manière bien imprudente le vocable de ... je n'ose le prononcer encore une fois, randonneuse
Pardon, mille fois pardon. Non sum dignus. Je voulais évidemment parler de randonneur alors SVP, ne me jetez pas aux gémonies (j'le f'rai plus, c'est promis).
Je ne possède en effet pas de randonneuse ... Herse, par exemple et n'en ai pas (et n'en aurai jamais ...) les moyens.
Mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ... un bon randonneur bas de gamme ELvish des 70's fera quand même mon bonheur; ch'uis pas fier, hein
Et pis, mes chers Tontons puristes, que ce soit sur un cycle sublime, un coursier carbonique ou un VTT de supermarché, faut quand même pédaler, non ?
Je m'en vais donc de ce pas alerte de pachyderme las, récupérer le vélo Elvish de mon papounet pour le rénover (soyons trèèès prudent avec les termes) et accessoirement, sillonner les chemins goudronnifiés de mon Lot-et-Garonne natal (et les départements alentour si je veux )
J'ai utilisé de manière bien imprudente le vocable de ... je n'ose le prononcer encore une fois, randonneuse
Pardon, mille fois pardon. Non sum dignus. Je voulais évidemment parler de randonneur alors SVP, ne me jetez pas aux gémonies (j'le f'rai plus, c'est promis).
Je ne possède en effet pas de randonneuse ... Herse, par exemple et n'en ai pas (et n'en aurai jamais ...) les moyens.
Mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ... un bon randonneur bas de gamme ELvish des 70's fera quand même mon bonheur; ch'uis pas fier, hein
Et pis, mes chers Tontons puristes, que ce soit sur un cycle sublime, un coursier carbonique ou un VTT de supermarché, faut quand même pédaler, non ?
Je m'en vais donc de ce pas alerte de pachyderme las, récupérer le vélo Elvish de mon papounet pour le rénover (soyons trèèès prudent avec les termes) et accessoirement, sillonner les chemins goudronnifiés de mon Lot-et-Garonne natal (et les départements alentour si je veux )
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bon. Savez quoi ? el Marco est grippé et ne s'en sort pas => je à grande vitesse, ou bien
En attendant, je me motive mentalement en me passant des images telles que celles-ci : Alors lui, lorsque que je vais le longer en ahanant tel le phoque resté trop longtemps en apnée, qu'est-ce que je vais prendre du plaisir dans ma souffrance
HHHMMMMMMM ! La bonne odeur de résine qui t'enveloppe dans une fragrance à nulle autre pareille en voiture, ben c'est pas pareil
Le camp de base du gascoun dans les Pyrénées. Sainte Marie de Campan se situe en bas à gauche dans la brume.
Dans le bois en face se cachent des cerfs et des sangliers : on te fait parfois de ces shooting (photo) du feu de Bouddha !
Z'allez rire band of Tontons globe-trotters : el Marco n'a jamais mis les pieds (ni les roues non plus ) dans les Alpes
Mais les Pyrénées ...
En attendant, je me motive mentalement en me passant des images telles que celles-ci : Alors lui, lorsque que je vais le longer en ahanant tel le phoque resté trop longtemps en apnée, qu'est-ce que je vais prendre du plaisir dans ma souffrance
HHHMMMMMMM ! La bonne odeur de résine qui t'enveloppe dans une fragrance à nulle autre pareille en voiture, ben c'est pas pareil
Le camp de base du gascoun dans les Pyrénées. Sainte Marie de Campan se situe en bas à gauche dans la brume.
Dans le bois en face se cachent des cerfs et des sangliers : on te fait parfois de ces shooting (photo) du feu de Bouddha !
Z'allez rire band of Tontons globe-trotters : el Marco n'a jamais mis les pieds (ni les roues non plus ) dans les Alpes
Mais les Pyrénées ...
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bon, hé ! Savez quoi, band of specialists of the speciality
Je croyais que la marque Elvish était à classer parmi les fleurons de notre glorieuse production vélocipédifiante hexagonale Ben, apparemment, non
Il semblerait que ce fut une marque paloise (de la bonne ville de Pau dans le Béarn => remember nôt' bon roi Henry le troisième du nom )
Bon, bref, ya dans les combles (ç'en est un, non ? ) de la maison landaise (encore un paradoxe !) de mon papounet (çui qui s'est infusé le Peyresourde à 70 balais ) un randonneur Elvish dont au sujet duquel j'ai causé dans ce sujet pléthorique (qui commence à vous les briser menu, mais bon ... ).
Mes vagues souvenances font apparaître des images d'un biclou que j'avais habillé du doux sobriquet de "dinosaure" rapport à son poids proche du baudet occis
Bon, d'accord, à 14 printemps, on est joueur, alors je l'avais affublé d'un tonitruant "Elvish, presse-les !!!" ... mais ça, on va passer dessus car je fus loin d'être le seul à faire ce genre de mollets pour les jambettes. Surtout que je ne pressais aucun cycliste à l'époque sans doute à cause d'un rendement relativement médiocre (comparé à mon Gitane 79 mHz qui filait comme le vent sur ses boyaux de chat hypermégaperformants ).
Et alors Ben, une bouffée de nostalgie couplée à une curiosité quasi-scientifique me donne l'envie d'exhumer ce vieux clou des entrailles du sable landais.
Il me semble que les roues étaient "petites et grosses", sans doute des 650
Le prob', c'est qu'il ne reste que le cadre et les périphériques ... mais les roues : bernique !
M'en fous, j'en ai des bien rouillées, des 650 avec des "peuneus" et des chambres potables. ça sent la resto' rapide tout ça (enfin ... lorsque je ne tousserai plus comme un perdu )
Et du coup, ça serait pas mal que je sillonne les bonnes routes du "sutouest" au guidon de ce fidèle destrier réhabilité par un ancien "jeune c*n" qui l'a tant maudit (rendement, poids, j'vous dis ).
Y serait pas mal sur la voie verte longeant le canal de Garonne, non
Après ... euh, si el Marco lou gascoun volant (après le célèbre hollandais ) a effectué quelques fois plus de cent bornes (dans un aprem, dont un ch'tit 150 km un poil épuisant ) avec le Gitane (maaaaal au luc ) ou les "lames carbone", grimpé sur le dos de quelques cols pyrénéens compatissants
(thank's les potos ), en revanche, les longues distances sur d'autres types de vélos (randonneur, demi-course ... ) représentent une terra incognita fort angoissante.
Alors ... ben ça fout la trouille et c'est le gros kif
Ben oui quoi Ya pas que les côtes dans la vie tortueuse du gascoun
Je croyais que la marque Elvish était à classer parmi les fleurons de notre glorieuse production vélocipédifiante hexagonale Ben, apparemment, non
Il semblerait que ce fut une marque paloise (de la bonne ville de Pau dans le Béarn => remember nôt' bon roi Henry le troisième du nom )
Bon, bref, ya dans les combles (ç'en est un, non ? ) de la maison landaise (encore un paradoxe !) de mon papounet (çui qui s'est infusé le Peyresourde à 70 balais ) un randonneur Elvish dont au sujet duquel j'ai causé dans ce sujet pléthorique (qui commence à vous les briser menu, mais bon ... ).
Mes vagues souvenances font apparaître des images d'un biclou que j'avais habillé du doux sobriquet de "dinosaure" rapport à son poids proche du baudet occis
Bon, d'accord, à 14 printemps, on est joueur, alors je l'avais affublé d'un tonitruant "Elvish, presse-les !!!" ... mais ça, on va passer dessus car je fus loin d'être le seul à faire ce genre de mollets pour les jambettes. Surtout que je ne pressais aucun cycliste à l'époque sans doute à cause d'un rendement relativement médiocre (comparé à mon Gitane 79 mHz qui filait comme le vent sur ses boyaux de chat hypermégaperformants ).
Et alors Ben, une bouffée de nostalgie couplée à une curiosité quasi-scientifique me donne l'envie d'exhumer ce vieux clou des entrailles du sable landais.
Il me semble que les roues étaient "petites et grosses", sans doute des 650
Le prob', c'est qu'il ne reste que le cadre et les périphériques ... mais les roues : bernique !
M'en fous, j'en ai des bien rouillées, des 650 avec des "peuneus" et des chambres potables. ça sent la resto' rapide tout ça (enfin ... lorsque je ne tousserai plus comme un perdu )
Et du coup, ça serait pas mal que je sillonne les bonnes routes du "sutouest" au guidon de ce fidèle destrier réhabilité par un ancien "jeune c*n" qui l'a tant maudit (rendement, poids, j'vous dis ).
Y serait pas mal sur la voie verte longeant le canal de Garonne, non
Après ... euh, si el Marco lou gascoun volant (après le célèbre hollandais ) a effectué quelques fois plus de cent bornes (dans un aprem, dont un ch'tit 150 km un poil épuisant ) avec le Gitane (maaaaal au luc ) ou les "lames carbone", grimpé sur le dos de quelques cols pyrénéens compatissants
(thank's les potos ), en revanche, les longues distances sur d'autres types de vélos (randonneur, demi-course ... ) représentent une terra incognita fort angoissante.
Alors ... ben ça fout la trouille et c'est le gros kif
Ben oui quoi Ya pas que les côtes dans la vie tortueuse du gascoun
- prosperjunior
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Salut Marco !
Tu sais le poids de la bécane sait se faire oublier (un peu) si la position est bonne. Et histoire de relativiser tu peux toujours te dire que 5 kg de plus ou de moins ce n'est pas grand-chose par rapport au poids total de l'ensemble roulant vélo+cycliste+bagages ...
Tu sais le poids de la bécane sait se faire oublier (un peu) si la position est bonne. Et histoire de relativiser tu peux toujours te dire que 5 kg de plus ou de moins ce n'est pas grand-chose par rapport au poids total de l'ensemble roulant vélo+cycliste+bagages ...
Prosperjunior
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
et pis tu sais où faire une pause près du canal si tu as un coup de mou
joelle
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Je me demande bien où ça pêche chez lou gascounprosperjunior a écrit :histoire de relativiser tu peux toujours te dire que 5 kg de plus ou de moins ce n'est pas grand-chose par rapport au poids total de l'ensemble roulant vélo+cycliste+bagages ...
ARRRGH !!! Un mois que je traîne ma misère et ... 87 barres d'un kilo de plomb sur cette pùnäize de balance fausse comme un billet de cent cinquante euros
Après, cher Prosper, nôt' maît' à tous (en termes de randonnage ... je sais, les barbarismes point ne m'estouffent), le souvenir que j'ai d'Elvis qui se prenait pour un amish date de ... PFFFOUUUUUU !!! ... plus longtemps que ça. Et pis à 14 cure-dents (balais, pour les classiques) j'étais taillé comme une ablette famélique aux mollets méga hypotrophiés.
Depuis, lou gascoun a pris du volume ... hum ... dans tous les sens du terme , je saiiiiis
Le rendement physique devrait être un poil meilleur et les pneus, ben plus gonflés c'te blague
Bref, je compte sur le concours très éclairé des puristes de la rando au long cours pour me guider vers la lumière, pasque bibi, dès qu'il fait plus de cent bornes, y fait toutes les c*nneries qui feraient s'arracher les cheveux à un Vélocio épouvanté
Mais bon, un ch'tit Aginum - Burdigala via Sauveterre de Guyenne en passant, non par la Lorraine mais par la voie verte canalienne ( oui, j'ai osé ) et la piste Lapébie au guidon du vieil Elvish "ne les presse pas" aurait une gueule folle, s'pas
Je cogite le bidule et on se tient au jus
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Alors là, v'là une idée qu'elle 'achtement bonnekita a écrit :et pis tu sais où faire une pause près du canal si tu as un coup de mou
Ce serait avec un très grand plaisir chère Kita ... en souvenir d'une super rando près de La Réole avec d'adorables Tontons§Tatas
Faudrait qu'on se fasse une pasta party pour que j'engloutisse les glucides nécessaires et suffisants afin que je rallie sans encombres Sauveterre et que je me fade la Lapébie
J'ai pas encore calculé précisément mais de chez moi à Boé (je crèche à moins de 400 mètres du canal ) jusqu'au pont Chaban, y doit y avoir pas loin de 160 bornes en pierre de taille
Dans une journée avec un randonneur (z'avez remarqué : j'ai même' pas cité le terme de "randonneuse" ! J'ai juste ?), ça risque d'être rude
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
160 bornes . Etant assez nul en termes de géographie au sud du 45ème parallèle, je ne me représente pas trop si le canal a un profil en marches d'escaliers (les écluses ? ) qui en ferait ressembler le profil en long à des raccords "aztèques" de vélo Peugeot, ou si c'est désespérément plat comme un électro-encéphalogramme d'âne mort ...
Quoi qu'il en soit, à un rythme tout à fait touristique et sauf aquilon pervers, simoun perdu ou mistral égaré, à la portée sinon de tout le monde, du moins du cycliste moyen.
Après, il y a juste à trouver le moyen de se faire inviter pour passer une bonne soirée, se reposer, et repartir le lendemain pour rentrer au bercail.
Et si les dernières bornes sont un peu Lourdes (comme dirait Bernadette ), à défaut de compter sur un miracle, l'appel de l"écurie devrait donner le coup de turbo nécessaire à un sûr rapatriement en ses pénates.
Si, si, je l'affirme ! le principal obstacle est d'ordre spycholigique : une fois que tu l'auras fait, tu de diras "finalement, ce n'est pas la mer à boire..."
L'itinérance débouche les horizons, quel que soit le relief, quel que soit le vélo. Regarde ce qu'ont accompli les vélocipédistes de Paris à Avignon, et dis-toi que ton canal, tu le mérites, non
Quoi qu'il en soit, à un rythme tout à fait touristique et sauf aquilon pervers, simoun perdu ou mistral égaré, à la portée sinon de tout le monde, du moins du cycliste moyen.
Après, il y a juste à trouver le moyen de se faire inviter pour passer une bonne soirée, se reposer, et repartir le lendemain pour rentrer au bercail.
Et si les dernières bornes sont un peu Lourdes (comme dirait Bernadette ), à défaut de compter sur un miracle, l'appel de l"écurie devrait donner le coup de turbo nécessaire à un sûr rapatriement en ses pénates.
Si, si, je l'affirme ! le principal obstacle est d'ordre spycholigique : une fois que tu l'auras fait, tu de diras "finalement, ce n'est pas la mer à boire..."
L'itinérance débouche les horizons, quel que soit le relief, quel que soit le vélo. Regarde ce qu'ont accompli les vélocipédistes de Paris à Avignon, et dis-toi que ton canal, tu le mérites, non
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
le canal de Garonne il est plat , désespérément plat , si plat qu'on en aurait presque honte quand on lit vos virées en vallée de Chevreuse ou autres périples nordistes de Padrig , mais pour autant je comprends que 160 kms ça puisse faire peur puisque moi-même j'en suis pas cap , c'est pour ça que je propose une étape à mi-parcours en fin de canal juste avant d'aborder les 15 petits kms un peu vallonnés pour rejoindre la piste Lapebie à Sauveterre et continuer sur les 60kms (à profil descendant) de son parcours champêtre jusqu'à Bordeaux .
si trop rustique au séchoir les chambres d'hotes ne manquent pas et je peux faire assistance technique et pasta- party si besoin
pour info une rencontre tontons-tatas est prévue mi-avril à ce même endroit , si lou gascoun veut bien se donner la peine il peut même avoir une haie d'honneur à son arrivée à mi-parcours
el Marco ça fait longtemps que tu cogites sur le bidule , fait briller ton vélo et roule !
joelle
si trop rustique au séchoir les chambres d'hotes ne manquent pas et je peux faire assistance technique et pasta- party si besoin
pour info une rencontre tontons-tatas est prévue mi-avril à ce même endroit , si lou gascoun veut bien se donner la peine il peut même avoir une haie d'honneur à son arrivée à mi-parcours
el Marco ça fait longtemps que tu cogites sur le bidule , fait briller ton vélo et roule !
joelle
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Héhé ! Oui, oui, mon cher Prosper, je persiste et signe : il y a bien (à une ou deux bornes près, hein, on va pas chipoter ) 160 bornasses depuis la halte nautique de Montalembert via le château de Maîtresse Kita puis la remontée vers Sauveterre de Guyenne (les fameux escaliers ... hors canal de Garonne, je vous l'accorde bien volontiers, l'emprunt de la piste Lapébie (que je rendrai immédiatement après usage) et enfin le raccordement technique jusqu'au pont Chaban Delmas dans l'antique cité de Burdigala (Bordeaux en vil langage moderne), terme d'un périple qui s'annonce épuisant pour le Gascoun
Parce-que, en termes de cycliste moyen, je suis trèèès loin de la moyenne cyclophile
Mes seules "longues distances" (ne vous gaussez pas, adeptes assidus du genre PBP) furent un Montalembert - Pont des sables (Boé - Marmande, quoi ) aller retour de ce côté de Garonne et un Boé - Montech tjrs A/R de l'autre côté (je voulais voir la pente d'eau de Montech : avec les deux automotrices et leur bouclier moteur).
Vous voyez, chers Tontons blanchis sur les routes de notre doulce France, el Marco ne rentrera jamais au grand jamais dans la noble confrérie des randonneurs au long cours
Mais telle n'est pas mon ambition j'veux juste me faire plaisir avec des défis improbables qui feraient mourir de rire le moindre spécialiste de la spécialité
Et dans ce cas de figure, ta proposition, chère Kita, trouve un doux écho dans la cheutron du Marco.
As-tu posé la date de la rencontre TTTT ? (TonTons-TaTas ) : dès que j'en prends connaissance, je pose des congés et j'astique mon vélo avant
Parce-que, en termes de cycliste moyen, je suis trèèès loin de la moyenne cyclophile
Mes seules "longues distances" (ne vous gaussez pas, adeptes assidus du genre PBP) furent un Montalembert - Pont des sables (Boé - Marmande, quoi ) aller retour de ce côté de Garonne et un Boé - Montech tjrs A/R de l'autre côté (je voulais voir la pente d'eau de Montech : avec les deux automotrices et leur bouclier moteur).
Vous voyez, chers Tontons blanchis sur les routes de notre doulce France, el Marco ne rentrera jamais au grand jamais dans la noble confrérie des randonneurs au long cours
Mais telle n'est pas mon ambition j'veux juste me faire plaisir avec des défis improbables qui feraient mourir de rire le moindre spécialiste de la spécialité
Et dans ce cas de figure, ta proposition, chère Kita, trouve un doux écho dans la cheutron du Marco.
As-tu posé la date de la rencontre TTTT ? (TonTons-TaTas ) : dès que j'en prends connaissance, je pose des congés et j'astique mon vélo avant
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Les prévisions météo de ce We donnent 26 degrés dans le sud ouest, tu n'as plus d'excuses! C'est pour ce We ta sortie a vélo!
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Oops je viens juste de comprendre la teneur de ton message, cher Prosper : honte au Marco aux neurones constipésprosperjunior a écrit :160 bornes . Etant assez nul en termes de géographie au sud du 45ème parallèle, je ne me représente pas trop si le canal a un profil en marches d'escaliers (les écluses ? ) qui en ferait ressembler le profil en long à des raccords "aztèques" de vélo Peugeot, ou si c'est désespérément plat comme un électro-encéphalogramme d'âne mort ...:
Voui, comme Maîtresse Kita l'a si bien expliqué, il n'y aura qu'une toute petite vingtaine de bornes un poilounet vallonné entre La Réole et Sauveterre de Guyenne et 140 de plat pays qui est le mien
Le défi, si vous l'acceptez, c'est de me fader les 1.600 hectomètres en un seul jour, ce qui représente réellement une sorte d'Everest en apnée pour votre serviteur.
Ben oui, hein, certains Tontons qui suivent mes tribulations seront ptêt interloqués
"Y monte des cols qui sont pas faux (patron, une pression) et y se fait pipi dessus pour quelques km de plat "
Oui da, messeigneurs, mais lou Marco n'est pas endurant, c'est là son moindre défaut
Envoyer du lourd sur une vingtaine de bornes voire une trentaine, ça, j'en ai surpris plus d'un Mais aligner du km comme les dingos (total respect, hein ) du vélocipède ou les seigneurs du PBP (Paris Brest Paris) voire les Prosperjunior en puissance, ça c'est pas dans mes cordes
... et c'est pour ça que je veux absolument le faire
ça va m'obliger à, comme le disent nos djeuns, de "me sortir les doigts" (une sombre histoire de fondement) et de me préparer (d'où l'excuse d'une visite familiale ce WE cher Padrig ).
Mais bon. J'ai un collègue éducateur sportif qui m'a préparé de manière spécifique à l'ascension de l'Aspinou (col d'Aspin amputé de sa partie Sainte Marie de Campan - Payolle réduit à cinq kilomètres ... mais les plus rudes !) que j'ai effectuée avec mon Gitane 79 mHz en 42 x 24 ( facile ?! Avec mes 87 kg, ben pas tant que ça ).
Et puis la perspective bien agréable de (peut-être, si nos plannings correspondent) retrouver Kita et quelques Tontons§Tatas me donnera des ailes pour la première grosse moitié du parcours.
En y réfléchissant et connaissant mes carences rédhibitoires, je me demande s'il est bien judicieux de partir avec un randonneur (mon "King" Elvish)
Peut-être qu'un demi course monté en Michelin Dynamic 700 x 25 serait plus indiqué
Ou alors carrément le Regina sport avec une sacoche de guidon (parce-que mes lombaires ne supportent plus un sac à dos).
A cogiter (comme ça, je sumerai )
Vous visualisez pas le Regina (qui est un don de Giovanni) ?
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
ça cause .... ça cause ..... à force de parler du canal ça m'a donné des envies et hier c'est le vtt oldschool qui etait de sortie et c'etait un bon choix rapport à toutes les feuilles qui jonchaient la piste mais quand tu feras ta virée la balayeuse sera passée , alors n'importe quel vélo fera l'affaire
joelle
joelle
Le canal de Garonne
Le canal, chère Dame Kita, représente l'un de mes terrains de jeu favoris et même si je cause et que je ne suis pas un randonneur au long cours comme vous, il n'en demeure pas moins que mis bout à bout,
j'en fait quelques centaines de bornasses au bord de ce canal
D'ailleurs, les cyclophiles du "sutouest" profitez de cette somptueuse voie verte car tous les magnifiques platanes qui la bordent vont être abattus. Cette abomination (pourtant nécessaire ) a déjà commencé le long du canal du Midi (dont le canal de Garonne est le prolongement.
j'en fait quelques centaines de bornasses au bord de ce canal
D'ailleurs, les cyclophiles du "sutouest" profitez de cette somptueuse voie verte car tous les magnifiques platanes qui la bordent vont être abattus. Cette abomination (pourtant nécessaire ) a déjà commencé le long du canal du Midi (dont le canal de Garonne est le prolongement.
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bon, en attendant de me refaire la cerise à défaut d'une beauté (sic), je viens de refaire le chemin à l'envers depuis disons le début de ce sujet, soit en janvier 2011 (pùtnèaiiiseux, bientôt 5 ans ).
Et quoi t'est-ce que dont au sujet duquel qu'est-ce que je suis aperçu avec un effarement éblouissant ?!
Ben, j'avais évoqué mon envie d'abord collective puis individuelle (devant le peu d'intérêt d'un public vélocipédifié en délire ) d'atteindre les mille (Emile ) côtes comme d'autres passent les cent cols sans faux ... semblant
Bon, moi pour des raisons personnelles qui ne regardent que moi et moi, je ne grimperai probablement jamais cent cols dans ma misérable carrière de cycliste du dimanche après-midi uniquement lorsqu'il fait beau parce-qu'on n'est pas des bêtes non plus (si t'es arrivé au bout de cette phrase longue comme un jour sans pain, ben t'as toute ma considération mon pote ).
Alors la grimpouillation de côtes dépassant le kilomètre linéaire sans à-coup et les 6% d'élévation céleste suffit amplement à mon bonheur béatifiant (ya du barbarisme au kil' dans mes phrases, trouvez pas ? ).
Bon (bis ... et non Bombyx car vers là il reste sur son quant à soie ... DSL ) et ces mille côtes, on en est où alors
Depuis mes débuts poussifs de 2006, il me reste 234 cols et côtes pour atteindre mon Graal à moi
... soit, si je reste sur mon rythme de mollusque réfrigéré, deux années de plus, tafi*le va !
Mais, chers Tontons avec un ch'tit vélo dans un coin de la tête, j'suis pas pressé. Je déguste quelques petits moments de pur bonheur, seul ou partagés, telles les fameuses madeleines de mon pote Proust au guidon de mon biclou du moment (qu'il soit en "fer qu'on ferre les ânes" ou en carbone californien ) Euh ... pour les puristes pointilleux, mon Gitane 79 mHz ( de 1979 ) n'est pas en fer qu'on ferre ... mais en tubes Reynolds 531.
La tof' date de juillet 2010 et Fiston avait mordu au biclou routier avec ce merveilleux Gitane (qui en aura connu des belles histoires )
Avant, pour Fiston le vélo c'était ça :
Et quoi t'est-ce que dont au sujet duquel qu'est-ce que je suis aperçu avec un effarement éblouissant ?!
Ben, j'avais évoqué mon envie d'abord collective puis individuelle (devant le peu d'intérêt d'un public vélocipédifié en délire ) d'atteindre les mille (Emile ) côtes comme d'autres passent les cent cols sans faux ... semblant
Bon, moi pour des raisons personnelles qui ne regardent que moi et moi, je ne grimperai probablement jamais cent cols dans ma misérable carrière de cycliste du dimanche après-midi uniquement lorsqu'il fait beau parce-qu'on n'est pas des bêtes non plus (si t'es arrivé au bout de cette phrase longue comme un jour sans pain, ben t'as toute ma considération mon pote ).
Alors la grimpouillation de côtes dépassant le kilomètre linéaire sans à-coup et les 6% d'élévation céleste suffit amplement à mon bonheur béatifiant (ya du barbarisme au kil' dans mes phrases, trouvez pas ? ).
Bon (bis ... et non Bombyx car vers là il reste sur son quant à soie ... DSL ) et ces mille côtes, on en est où alors
Depuis mes débuts poussifs de 2006, il me reste 234 cols et côtes pour atteindre mon Graal à moi
... soit, si je reste sur mon rythme de mollusque réfrigéré, deux années de plus, tafi*le va !
Mais, chers Tontons avec un ch'tit vélo dans un coin de la tête, j'suis pas pressé. Je déguste quelques petits moments de pur bonheur, seul ou partagés, telles les fameuses madeleines de mon pote Proust au guidon de mon biclou du moment (qu'il soit en "fer qu'on ferre les ânes" ou en carbone californien ) Euh ... pour les puristes pointilleux, mon Gitane 79 mHz ( de 1979 ) n'est pas en fer qu'on ferre ... mais en tubes Reynolds 531.
La tof' date de juillet 2010 et Fiston avait mordu au biclou routier avec ce merveilleux Gitane (qui en aura connu des belles histoires )
Avant, pour Fiston le vélo c'était ça :