La balade de Marco l'Agenès
Modérateurs : fedaliou, KRISSTOFF, Lisica, OSSE, Eric, Stéphane
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Héhé ! Pendant que notre junior national prospère sur les chemins de notre doulce France (cher pays de notre enfance, bercé de tant d'insouciance ... etc), quand il ne nous pond pas des sonnets bien trébuchants
el Marco lou gascoun le plus fondu à l'ouest du Pécos (qu'on nomme ici-bas dame Garonne) tente le tout pour le tout malgré l'imminence (mêm' pas grise ) d'une défaite vélocipédificationnisante (celle-là, ch'uis allé la chercher loin ) dans des plans inclinés vers le haut, nichés dans un décor minéral, parfois encapuchonné par quelques espèces de conifères (c'est pas une insulte).
Ouaip ! Malgré un dos en marmelade et des hernies à tous les étages, je m'entête SCREGNEUGNEU
Il ne sera point dit que je rendrai les armes (cyclosphériques) sans combattre !
Ainsi, chers Tontons à la coenne grillée par le soleil estival, el gascoun a vraiment repris le guidon, et ce, malgré des élancements électriques résiduels dans le "contraire de l'antérieur".
Savez quoi ? Les lactates ont débarqué en nombre (premier) dans ma pôv' caboche et j'ai la désagréable impression d'être saoul comme un téchou (un cochon, par cheux nous ).
La fatigue m'envahit plus vite que Gengis Khan la totalité de la Chine.
Maiiiis ... (car il y a un "mais"), les bielles vont bien, merci pour elles
Et que dire du souffle ? Que c'est curieux, trèèès curieux car je m'attendais à ventiler comme dix mille cachalots en rut, ET BEN NON
Mieux, mes chers Tontons aux cuisseaux d'airain : el Marco n'a mêm' pas mal à ses jambes dans les côtes agenaises
Certes, vous me doubleriez en petites foulées, mais d'hab' les reprises ont toujours été douloureuses.
Et là : RIEN qu'est-ce que cette diablerie
Bon le juge de paix, ce sera la chaîne montagneuse du "sut" de la France avec ses cols bien empesés et là, ça va pas vraiment être la même limonade (Ogeu pour les plus "jeunes" d'entre nous ).
M'en fous J'annonce "tapis" mon cher Bernard (quoi qu'il semblerait que ce dernier joue plutôt avec les sous sous d'autrui, pas folle la guêpe)
et je vais me tenter pas plus tard que dans quinze jours au moins un collet (bien monté) sans me défiler (celle-là, elle est osée ) sur mon terrain de jeu favori.
Y en aurait bien un qui m'attirerait telles les sirènes aux chants mélodieux avec mon pote Ulysse (ne pas se gausser), mais la marche est tellement haute ...
En attendant, ce soir j'en suis quand même à onze côtes gravies leeeentement depuis que je suis tombé de mon lit médicalisé, mais chers admirateurs de l'Eroïca, comme le disent si bien nos voisins transalpins (des Landes ?) : " chi va piano va sano e va lontano "
el Marco lou gascoun le plus fondu à l'ouest du Pécos (qu'on nomme ici-bas dame Garonne) tente le tout pour le tout malgré l'imminence (mêm' pas grise ) d'une défaite vélocipédificationnisante (celle-là, ch'uis allé la chercher loin ) dans des plans inclinés vers le haut, nichés dans un décor minéral, parfois encapuchonné par quelques espèces de conifères (c'est pas une insulte).
Ouaip ! Malgré un dos en marmelade et des hernies à tous les étages, je m'entête SCREGNEUGNEU
Il ne sera point dit que je rendrai les armes (cyclosphériques) sans combattre !
Ainsi, chers Tontons à la coenne grillée par le soleil estival, el gascoun a vraiment repris le guidon, et ce, malgré des élancements électriques résiduels dans le "contraire de l'antérieur".
Savez quoi ? Les lactates ont débarqué en nombre (premier) dans ma pôv' caboche et j'ai la désagréable impression d'être saoul comme un téchou (un cochon, par cheux nous ).
La fatigue m'envahit plus vite que Gengis Khan la totalité de la Chine.
Maiiiis ... (car il y a un "mais"), les bielles vont bien, merci pour elles
Et que dire du souffle ? Que c'est curieux, trèèès curieux car je m'attendais à ventiler comme dix mille cachalots en rut, ET BEN NON
Mieux, mes chers Tontons aux cuisseaux d'airain : el Marco n'a mêm' pas mal à ses jambes dans les côtes agenaises
Certes, vous me doubleriez en petites foulées, mais d'hab' les reprises ont toujours été douloureuses.
Et là : RIEN qu'est-ce que cette diablerie
Bon le juge de paix, ce sera la chaîne montagneuse du "sut" de la France avec ses cols bien empesés et là, ça va pas vraiment être la même limonade (Ogeu pour les plus "jeunes" d'entre nous ).
M'en fous J'annonce "tapis" mon cher Bernard (quoi qu'il semblerait que ce dernier joue plutôt avec les sous sous d'autrui, pas folle la guêpe)
et je vais me tenter pas plus tard que dans quinze jours au moins un collet (bien monté) sans me défiler (celle-là, elle est osée ) sur mon terrain de jeu favori.
Y en aurait bien un qui m'attirerait telles les sirènes aux chants mélodieux avec mon pote Ulysse (ne pas se gausser), mais la marche est tellement haute ...
En attendant, ce soir j'en suis quand même à onze côtes gravies leeeentement depuis que je suis tombé de mon lit médicalisé, mais chers admirateurs de l'Eroïca, comme le disent si bien nos voisins transalpins (des Landes ?) : " chi va piano va sano e va lontano "
CLAP DE FIN ....
Suite et bientôt fin des élucubrations del Marco lou gascoun dans cet inestimable forum aux articulations légèrement rouillées
Alors, vois-tu, demain dès l'aube je partirai. Je sais que tu m'attends (mon cher col mythique entre tous car ton tour m'allait ... ).
Et savez quoi, band of tricoteurs vintage sur vos rutilantes restaurations ?
LA MALEDICTION DU TOURMALET a encore frappé
Ya deux étés de ça, on devait déjà le grimpouiller, Fiston et ma pomme, et croyez-le, croyez-le pas, le seul jour qu'il nous restait, ben il a pété un orage du tonnerre de Zeus, pardi
Ben pour cette session 2016 (qui commence pas plus tard que demain), j'avais arrêté le jeudi 1er septembre pour tenter enfin de vaincre le signe indien : BERNIQUE !!!
Ya des orages à partir de cette date
Du coup, moi qui avais conçu une préparation ad hoc que n'aurait pas reniée le capitaine, ben va falloir que j'avance la tentative d'un jour.
Comment " qu'est-ce que ça fout ? " ?
Ben mes canards, ça fait un jour de moins pour un gazier (votre très humble serviteur) pour se préparer à l'impossible (auquel, je vous l'accorde bien volontiers, nul n'est en réalité tenu).
Donc l'impossible exploit (à l'aune du gascoun, z'énervez pas chers puristes gardiens de la foi ) devient carrément impossiblement improbable.
M'en fous J'le tenterai quand même car lou gascoun ès testut, MILOUDIOU
Et après, si la pendule n'a pas lâché, je reviendrai rendre compte une dernière fois dans ce sujet pour le clore en beauté et commencer une nouvelle (double) vie partagée entre le taf' et un retour à la "grande école", histoire d'écrire un dernier gros chapitre de ma life
Alors, vois-tu, demain dès l'aube je partirai. Je sais que tu m'attends (mon cher col mythique entre tous car ton tour m'allait ... ).
Et savez quoi, band of tricoteurs vintage sur vos rutilantes restaurations ?
LA MALEDICTION DU TOURMALET a encore frappé
Ya deux étés de ça, on devait déjà le grimpouiller, Fiston et ma pomme, et croyez-le, croyez-le pas, le seul jour qu'il nous restait, ben il a pété un orage du tonnerre de Zeus, pardi
Ben pour cette session 2016 (qui commence pas plus tard que demain), j'avais arrêté le jeudi 1er septembre pour tenter enfin de vaincre le signe indien : BERNIQUE !!!
Ya des orages à partir de cette date
Du coup, moi qui avais conçu une préparation ad hoc que n'aurait pas reniée le capitaine, ben va falloir que j'avance la tentative d'un jour.
Comment " qu'est-ce que ça fout ? " ?
Ben mes canards, ça fait un jour de moins pour un gazier (votre très humble serviteur) pour se préparer à l'impossible (auquel, je vous l'accorde bien volontiers, nul n'est en réalité tenu).
Donc l'impossible exploit (à l'aune du gascoun, z'énervez pas chers puristes gardiens de la foi ) devient carrément impossiblement improbable.
M'en fous J'le tenterai quand même car lou gascoun ès testut, MILOUDIOU
Et après, si la pendule n'a pas lâché, je reviendrai rendre compte une dernière fois dans ce sujet pour le clore en beauté et commencer une nouvelle (double) vie partagée entre le taf' et un retour à la "grande école", histoire d'écrire un dernier gros chapitre de ma life
- loic49
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bonjour Marco,
Si j'ai bien compris, aujourd'hui tu es parti affronter le Tourmalet !
Tous mes encouragements t'accompagnent et te poussent (vers le haut)
S'il y a de l'orage, feins de ne pas l'entendre et ne te laisse pas impressionner. Qu'est-ce que tu risques, hissé (haut) sur tes peneus caoutchoutés ?
Si j'ai bien compris, aujourd'hui tu es parti affronter le Tourmalet !
Tous mes encouragements t'accompagnent et te poussent (vers le haut)
S'il y a de l'orage, feins de ne pas l'entendre et ne te laisse pas impressionner. Qu'est-ce que tu risques, hissé (haut) sur tes peneus caoutchoutés ?
La ballade pyrénéenne de Marco l'Agenès
Yo cher Loïc et les Tontons§Tatas
De retour pas plus tard que ce soir des plissements hercyniens chers à mon coeur (qu'a pas lâché : bonne nouvelle pour lou gascoun ).
Bon, il se fait tard et je suis trèèès légèrement rôti, alors la geste des agenais attendra ce WE
Ah oui ! Et le Tourmalet
Ben, suspense, suspense ... tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'y a pas eu un pélo de nuage orageux toute la semaine écoulée : que du grand beau temps (avec parfois du brouillard, hein, on était en montagne quand même ).
Et puis, lou gascoun a vécu de ces aventures ... qu'il croyait ne jamais vivre ça compte un p(n)eu quand même
Brêfle, les dernières aventures rocambolesques du sieur Marco (el) d'ici quelques heures en direct live et en photos dans quelques : 1/ heures 2/ jours [rayer la mention inutile]
De retour pas plus tard que ce soir des plissements hercyniens chers à mon coeur (qu'a pas lâché : bonne nouvelle pour lou gascoun ).
Bon, il se fait tard et je suis trèèès légèrement rôti, alors la geste des agenais attendra ce WE
Ah oui ! Et le Tourmalet
Ben, suspense, suspense ... tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'y a pas eu un pélo de nuage orageux toute la semaine écoulée : que du grand beau temps (avec parfois du brouillard, hein, on était en montagne quand même ).
Et puis, lou gascoun a vécu de ces aventures ... qu'il croyait ne jamais vivre ça compte un p(n)eu quand même
Brêfle, les dernières aventures rocambolesques du sieur Marco (el) d'ici quelques heures en direct live et en photos dans quelques : 1/ heures 2/ jours [rayer la mention inutile]
clap de fin (première partie)
Bon, on va pas se leurrer, el Marco tire ses dernières cartouches avant une révérence définitive sur cet exceeellent forum de vieux clous rouillés
La faute à un choix de vie (à 53 balais, y serait temps ) qui risque de la bouleverser un pélo ... bref, passons
Du coup, si j'osais, je dirais que j'ai "terminé mon cycle" de la plus bellesdes façons (ptêt ben même "en apothéose" ). Et ce, dans mon terrain de jeu favori
Les Pyrénées
Bon, Ok, j'espère bien hisser un jour mon presque quintal au sommet de quelques cols alpins mythiques mais en attendant, je continue à explorer mes chères montagnes du "sut" de notre doulce France (et il va falloir le restant de ma vie pour découvrir leur charmes cachés ).
Alors, on va faire court (une fois n'est point coutume) :
Dimanche 28 août 2016, 11h du mat'
Je pars seul me dérouiller les jambons dans un col que je connais sur le bout des PRO3 : la Hourquette d'Ancizan, qui commence au bord du lac de Payolle.
Il fait beau et même trop chaud pour moi. Je sens que je vais encore transpirer grave sous mon casque
Pas grave, j'arrive dans la prairie Saint Jean (là où ya eu une arrivée du Tour de France,: celle où ce malheureux british a fait un salto avant à cause de la chute de l'arche de la flamme rouge). Mais que ?!!! Des camping cars a chi*r partout, des grappes de cyclistes
... et el Marco au milieu de tout ça
Quoi t'est-ce Juste la première édition d'une cyclo de ouf, connue dans les Alpes sous le doux vocable de la Marmotte
Ah, c'est bien moi, ça, tiens
Je reprends le vélo avec une mini quinzaine de côtelettes agenaises dans le buffet et je tombe sur des bombes atomiques affûtées comme des katanas de la belle époque pour mon premier col pyrénéen 2016
M'en fous ! Le ridicule n'ayant pas de prise (retro)directe sur le gascoun, je trouve un coin tranquille, j'enfile moes habits de lumière et hardi petit ! Je me fonds dans la masse de "mollets rasés"
De ma vie je n'ai jamais été doublé par autant de cyclistes
Là mes amis de la rouillitude branchouille, ben fallait pas sortir son orgueil mal placé
Et la première à me doubler proprement fut une magnifique jeune femme à la tenue rose fort seyante (et très bien ajustée, vue de l'arrière ) qui m'a gratifié d'un bonjour musical doux à mon oreille d'expert avant de m'enrhumer proprement, suivie de ses chevaliers servants.
Y avait ceux qui, comme cette gente dame, me saluaient au passage en suivant leur rythme "métronomique"
Y avait les djeuns qui me débordaient sans même me voir et ceux qui me saluaient en roulant pourtant plus vite que les précédents.
Y avait les quadras qui lançaient un sprint pour faire comprendre à ce gros balourd "qui c'est le boss" ... avant de récupérer 50 mètres plus loin
Y avait les quinquas qui parlaient pas juste parce-qu'ils gardaient toute leur énergie pour pas se faire décramponner par ces jeunes blanc becs, là juste devant.
Y avait les "sexas" tout fiers de montrer qu'il en restait pas mal sous la pédales.
Y avait les femmes de tous âges qui m'impressionnaient par leur forme éblouissante (j'ai pas dit "leurs formes" )
Et tout ce beau monde m'a enrhumé dans un bel ensemble
Mais bon, c'était quand même un grand moment de pur bonheur malgré l'inévitable souffrance atroce du "col de décrassage".
Mais le pire, c'est qu'en haut je n'ai rien pu immortaliser car mon APN s'était sournoisement déchargé
Quel nain de jardin ce Marco
à suivre ...
La faute à un choix de vie (à 53 balais, y serait temps ) qui risque de la bouleverser un pélo ... bref, passons
Du coup, si j'osais, je dirais que j'ai "terminé mon cycle" de la plus bellesdes façons (ptêt ben même "en apothéose" ). Et ce, dans mon terrain de jeu favori
Les Pyrénées
Bon, Ok, j'espère bien hisser un jour mon presque quintal au sommet de quelques cols alpins mythiques mais en attendant, je continue à explorer mes chères montagnes du "sut" de notre doulce France (et il va falloir le restant de ma vie pour découvrir leur charmes cachés ).
Alors, on va faire court (une fois n'est point coutume) :
Dimanche 28 août 2016, 11h du mat'
Je pars seul me dérouiller les jambons dans un col que je connais sur le bout des PRO3 : la Hourquette d'Ancizan, qui commence au bord du lac de Payolle.
Il fait beau et même trop chaud pour moi. Je sens que je vais encore transpirer grave sous mon casque
Pas grave, j'arrive dans la prairie Saint Jean (là où ya eu une arrivée du Tour de France,: celle où ce malheureux british a fait un salto avant à cause de la chute de l'arche de la flamme rouge). Mais que ?!!! Des camping cars a chi*r partout, des grappes de cyclistes
... et el Marco au milieu de tout ça
Quoi t'est-ce Juste la première édition d'une cyclo de ouf, connue dans les Alpes sous le doux vocable de la Marmotte
Ah, c'est bien moi, ça, tiens
Je reprends le vélo avec une mini quinzaine de côtelettes agenaises dans le buffet et je tombe sur des bombes atomiques affûtées comme des katanas de la belle époque pour mon premier col pyrénéen 2016
M'en fous ! Le ridicule n'ayant pas de prise (retro)directe sur le gascoun, je trouve un coin tranquille, j'enfile moes habits de lumière et hardi petit ! Je me fonds dans la masse de "mollets rasés"
De ma vie je n'ai jamais été doublé par autant de cyclistes
Là mes amis de la rouillitude branchouille, ben fallait pas sortir son orgueil mal placé
Et la première à me doubler proprement fut une magnifique jeune femme à la tenue rose fort seyante (et très bien ajustée, vue de l'arrière ) qui m'a gratifié d'un bonjour musical doux à mon oreille d'expert avant de m'enrhumer proprement, suivie de ses chevaliers servants.
Y avait ceux qui, comme cette gente dame, me saluaient au passage en suivant leur rythme "métronomique"
Y avait les djeuns qui me débordaient sans même me voir et ceux qui me saluaient en roulant pourtant plus vite que les précédents.
Y avait les quadras qui lançaient un sprint pour faire comprendre à ce gros balourd "qui c'est le boss" ... avant de récupérer 50 mètres plus loin
Y avait les quinquas qui parlaient pas juste parce-qu'ils gardaient toute leur énergie pour pas se faire décramponner par ces jeunes blanc becs, là juste devant.
Y avait les "sexas" tout fiers de montrer qu'il en restait pas mal sous la pédales.
Y avait les femmes de tous âges qui m'impressionnaient par leur forme éblouissante (j'ai pas dit "leurs formes" )
Et tout ce beau monde m'a enrhumé dans un bel ensemble
Mais bon, c'était quand même un grand moment de pur bonheur malgré l'inévitable souffrance atroce du "col de décrassage".
Mais le pire, c'est qu'en haut je n'ai rien pu immortaliser car mon APN s'était sournoisement déchargé
Quel nain de jardin ce Marco
à suivre ...
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Lundi 29 ... bôf ... pas intéressant pour vous mes encyclopédistes de la cause cyclo-péenne : el Marco est allé s'inscrire "à la grande école". Du coup, ça m'a permis de reposer un poil mes gambettes légèrement malmenées la veille
Mardi 30 : rebelote dans le col de la Hourquette mais pas "dans six ans" : tout de suite, quoi
Cette fois-ci, pas plus d'une petite dizaine de cyclistes y compris Fiston et el Marco.
Le temps était doux et la montée plus facile ipso facto
Fiston à qui je rends trente kilos a été compatissant et m'attendu sur les trois quarts du parcours avant de me déposer proprement sur les deux derniers kilomètres dans un décor somptueux.
En arrière plan une immense prairie peuplée de bovidés débonnaires et leur progéniture fraîchement débarquée sur cette bonne vieille terre, mais aussi d'ânes aux grandes oreilles poilues et de chevaux sauvages à la crinière de feu ça a d'la gueule, hein
En contrebas, on distingue sur la droite un bout de route du col dans son dernier kilomètre qui flirte avec les 10% de maille : quand on croit être arrivé ... ben faut encore s'arque-bouter
Bon, honnêtement, je crois que j'ai eu moins mal aux jambonneaux mais j'avais moins de force. Sur le coup, j'ai bien cru que j'avais épuisé le carburant et que la session bike in the montain was definitively over
... ce qui, sincèrement, m'a brouté sévère
Mais bon, un col ... enfin, une montée pyrénéenne de plus à mon actif. C'est toujours ça de pris sur l'adversité Ah oui, hein, encore 87 Kg sur la balance : el Marco est encore trèèèès loin des canons de la mode "grimpeur" (peu importe : ça tracte quand même )
Mercredi 31 : relâche
Journée découverte de paysages sublimes : les cols du Soulor et d'Aubisque
Oui je sais, vous allez dire : "Et le vélo dans tout cela ? "
Ben les vélos sont restés au garage l'excuse toute trouvée c'était la récupération (mon oeil ) Ces vélos-là, sont un pélo grands et restent à demeure toute l'année (col d'Aubisque)
à suivre ...
Mardi 30 : rebelote dans le col de la Hourquette mais pas "dans six ans" : tout de suite, quoi
Cette fois-ci, pas plus d'une petite dizaine de cyclistes y compris Fiston et el Marco.
Le temps était doux et la montée plus facile ipso facto
Fiston à qui je rends trente kilos a été compatissant et m'attendu sur les trois quarts du parcours avant de me déposer proprement sur les deux derniers kilomètres dans un décor somptueux.
En arrière plan une immense prairie peuplée de bovidés débonnaires et leur progéniture fraîchement débarquée sur cette bonne vieille terre, mais aussi d'ânes aux grandes oreilles poilues et de chevaux sauvages à la crinière de feu ça a d'la gueule, hein
En contrebas, on distingue sur la droite un bout de route du col dans son dernier kilomètre qui flirte avec les 10% de maille : quand on croit être arrivé ... ben faut encore s'arque-bouter
Bon, honnêtement, je crois que j'ai eu moins mal aux jambonneaux mais j'avais moins de force. Sur le coup, j'ai bien cru que j'avais épuisé le carburant et que la session bike in the montain was definitively over
... ce qui, sincèrement, m'a brouté sévère
Mais bon, un col ... enfin, une montée pyrénéenne de plus à mon actif. C'est toujours ça de pris sur l'adversité Ah oui, hein, encore 87 Kg sur la balance : el Marco est encore trèèèès loin des canons de la mode "grimpeur" (peu importe : ça tracte quand même )
Mercredi 31 : relâche
Journée découverte de paysages sublimes : les cols du Soulor et d'Aubisque
Oui je sais, vous allez dire : "Et le vélo dans tout cela ? "
Ben les vélos sont restés au garage l'excuse toute trouvée c'était la récupération (mon oeil ) Ces vélos-là, sont un pélo grands et restent à demeure toute l'année (col d'Aubisque)
à suivre ...
Re: La ballade de Marco l'Agenès
En haut du Soulor, des side cars dont celui-ci, un collector :
Bon, je me suis promis de "les faire" un jour à vélo ... peut-être (hérésie suprême ) avec un vélo ... hum ... électrique (pas taper ) car je crois que les entraînements dans les côtes agenaises vont rapidement devenir un lointain souvenir.
Mais passons, je ne suis pas là pour agiter une muleta devant le nez des puristes
L'endroit est aussi une zone pastorale où j'ai vu des chevaux, des moutons, des vaches mais aussi un cochon (!) en liberté
Oops ! Chaussez vos bésicles et ajustez-les si vous voulez apercevoir le vol majestueux du vautour fauve des Pyrénées, autrement dit le gypaète barbu. Si un cycliste flanche, ya pas besoin d'enterrement : les vautours s'occupent de tout
On a tiapé (mangé en bon gascon) derrière ce buste à la mémoire d'un coureur .... ... qui aurait pu utiliser ce noble coursier en exposition permanente (Soulor)
J'ai trouvé un dopant naturel "maison" Puis, retour vers Luz Saint Sauveur et un détour sur la route de Gavarnie qui reçoit un revêtement bien enrobé , jusqu'à Sia pour manger chez ... hum, Francis, je crois, un savoureux gâteau à la broche artisanal, fabriqué et cuit devant nos yeux d'enfants émerveillés : Bon, après, le bidon bien plein (mais pas celui du coureur, hein ), on monte sur Barège qui porte encore les stigmates de l'orage qui emporta tout sur son passage et on termine par l'ascension du Tourmalet (tiens, tiens ...) par la route nouvelle jusqu'au col plongé dans un brouillard épais ... ce qui n'a nullement freiné les touristes agglutinés en masse pour prendre les photos cultes qui ... mais j'anticipe ...
Les routes de ces deux cols (Soulor Aubisque) sont magnifiques mais étroites et sans dégagements. Pourtant, une noria de camping cars les prennent d'assaut ! Certains sont même des paquebots roulants avec leur double essieu arrière Bon, je me suis promis de "les faire" un jour à vélo ... peut-être (hérésie suprême ) avec un vélo ... hum ... électrique (pas taper ) car je crois que les entraînements dans les côtes agenaises vont rapidement devenir un lointain souvenir.
Mais passons, je ne suis pas là pour agiter une muleta devant le nez des puristes
L'endroit est aussi une zone pastorale où j'ai vu des chevaux, des moutons, des vaches mais aussi un cochon (!) en liberté
Oops ! Chaussez vos bésicles et ajustez-les si vous voulez apercevoir le vol majestueux du vautour fauve des Pyrénées, autrement dit le gypaète barbu. Si un cycliste flanche, ya pas besoin d'enterrement : les vautours s'occupent de tout
On a tiapé (mangé en bon gascon) derrière ce buste à la mémoire d'un coureur .... ... qui aurait pu utiliser ce noble coursier en exposition permanente (Soulor)
J'ai trouvé un dopant naturel "maison" Puis, retour vers Luz Saint Sauveur et un détour sur la route de Gavarnie qui reçoit un revêtement bien enrobé , jusqu'à Sia pour manger chez ... hum, Francis, je crois, un savoureux gâteau à la broche artisanal, fabriqué et cuit devant nos yeux d'enfants émerveillés : Bon, après, le bidon bien plein (mais pas celui du coureur, hein ), on monte sur Barège qui porte encore les stigmates de l'orage qui emporta tout sur son passage et on termine par l'ascension du Tourmalet (tiens, tiens ...) par la route nouvelle jusqu'au col plongé dans un brouillard épais ... ce qui n'a nullement freiné les touristes agglutinés en masse pour prendre les photos cultes qui ... mais j'anticipe ...
Voilà, c'est fini ...
Bon, j'ai passé la moitié de la nuit dernière à concocter un récit 'achtement picaresque de la suite de mes aventures pyrénéennes, mais l'informatique en a décidé autrement et tout a disparu
Alors pour mon dernier post, je vais faire simple (une fois n'est pas coutume) et plutôt en images.
Juste un truc qui me tient à coeur : j'ai vaincu la malédiction du Tourmalet !!!
Quatre ans que j'espérais lui monter sur l'échine, en vain.
Ben là, pour faire court, j'en ai bavé comme cent millions de russes en roulant moins vite qu'un troupeau de gastéropodes assoiffés.
Je me suis arrêté un gros quart d'heure à La Mongie pour reprendre des forces car les cinq dernières bornes sont affreuses pour les cyclistes du dimanche en surpoids comme moi
Mais j'y suis arrivé (plus au mental qu'au physique légèrement absent ) Pour me faire pardonner, même si j'ai roulé sur ma bombe carbonique "spécial montagne pour les non pas nuls mais gros" j'avais quand même un ch'tit vintage spirit dessus Là, c'était le jeudi 1er septembre 2016, jour de gloire du gascoun : ça méritait bien un caoua espécial Mais, cerise sur le gâteau, il me restait une montée symbolique à effectuer pour que la boucle soit bouclée et le lendemain matin, à la fraîche, j'ai gravi le col d'Aspin depuis Sainte Marie de Campan, en hommage aux Tontons flingueurs qui m'ont reproché de confondre "l'Aspinou" (les cinq kilomètres finaux depuis la carrière de marbre de Payolle) et l'Aspin depuis Sainte Marie (priez pour nous pauvres pécheurs).
Honnêtement, à mes yeux le trajet entre Sainte Marie et Payolle ne représente pas un quelconque intérêt : c'est vraiment les cinq bornes de montée sèche entre les sapins de Colbert qui m'ont toujours fait vibrer (et en chi*r accessoirement ).
Mais bon, c'était symbolique, je puis donc raccrocher les gants l'esprit en paix
Je tiens à saluer tous les Tontons§Tatas qui ont très sagement suivi mes élucubrations vélociférantes et ceux dont j'ai eu l'honneur et l'avantage de faire la connaissance (même s'il semble qu'ils se soient éloignés ces derniers temps).
Je tourne la page du vélo ancien car je n'aurai plus le temps matériel pour entretenir et encore moins pour restaurer mes vieux clous. Mais je continuerai à rester un peu dans le vélo avec mes bombes carboniques dans les côtes agenaises et, qui sait, dans les cols pyrénéens
Bonne route et belles restaurations à tous
Alors pour mon dernier post, je vais faire simple (une fois n'est pas coutume) et plutôt en images.
Juste un truc qui me tient à coeur : j'ai vaincu la malédiction du Tourmalet !!!
Quatre ans que j'espérais lui monter sur l'échine, en vain.
Ben là, pour faire court, j'en ai bavé comme cent millions de russes en roulant moins vite qu'un troupeau de gastéropodes assoiffés.
Je me suis arrêté un gros quart d'heure à La Mongie pour reprendre des forces car les cinq dernières bornes sont affreuses pour les cyclistes du dimanche en surpoids comme moi
Mais j'y suis arrivé (plus au mental qu'au physique légèrement absent ) Pour me faire pardonner, même si j'ai roulé sur ma bombe carbonique "spécial montagne pour les non pas nuls mais gros" j'avais quand même un ch'tit vintage spirit dessus Là, c'était le jeudi 1er septembre 2016, jour de gloire du gascoun : ça méritait bien un caoua espécial Mais, cerise sur le gâteau, il me restait une montée symbolique à effectuer pour que la boucle soit bouclée et le lendemain matin, à la fraîche, j'ai gravi le col d'Aspin depuis Sainte Marie de Campan, en hommage aux Tontons flingueurs qui m'ont reproché de confondre "l'Aspinou" (les cinq kilomètres finaux depuis la carrière de marbre de Payolle) et l'Aspin depuis Sainte Marie (priez pour nous pauvres pécheurs).
Honnêtement, à mes yeux le trajet entre Sainte Marie et Payolle ne représente pas un quelconque intérêt : c'est vraiment les cinq bornes de montée sèche entre les sapins de Colbert qui m'ont toujours fait vibrer (et en chi*r accessoirement ).
Mais bon, c'était symbolique, je puis donc raccrocher les gants l'esprit en paix
Je tiens à saluer tous les Tontons§Tatas qui ont très sagement suivi mes élucubrations vélociférantes et ceux dont j'ai eu l'honneur et l'avantage de faire la connaissance (même s'il semble qu'ils se soient éloignés ces derniers temps).
Je tourne la page du vélo ancien car je n'aurai plus le temps matériel pour entretenir et encore moins pour restaurer mes vieux clous. Mais je continuerai à rester un peu dans le vélo avec mes bombes carboniques dans les côtes agenaises et, qui sait, dans les cols pyrénéens
Bonne route et belles restaurations à tous
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bravo pour avoir vaincu le géant ... et bonne route pour tous tes projets.
Prosperjunior
Vieux routard que jamais.
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Félicitations pour ces efforts qui ont été bien récompensés
Le vélo ça ne s'oublie pas. C'est l'école du courage, un état d'esprit qui sert dans la vie quotidienne. Beaux succès dans vos nouveaux choix
Le vélo ça ne s'oublie pas. C'est l'école du courage, un état d'esprit qui sert dans la vie quotidienne. Beaux succès dans vos nouveaux choix
Ben non, c'est pas fini !
Oops
Savez quoi band of Tontons§Tatas interloqués par l'inconséquence du gascoun On dirait que la vie d'el Marco ressemble à une pièce dont les coups de théâtre se succèdent à une vitesse effrénée (pas comme celle, toute relative, de mes montées de cols ).
Et pourquoi je reviens vous emboucaner sur ce forum plus que sérieux, moi qui ne prends pas la vie sur un même plan ?!
Ben pour deux raisons intéressantes :
La première réside dans le fait que "el papounet47", ascendant direct du gascoun ... celui-là même qui s'est fadé le col de Peyresourde en 2010 à l'âge déjà légèrement avancé de 70 lunes ... et ce, sur son vélo au cadre artisanal agenais millésime 1980 ...
ben il veut affronter le Tourmalet à 77 balais en compagnie de son fils (moi) et son petit-fils (lui)
En attendant l'été prochain, il s'entraîne sur son "cadre carbone" (oui, je sais : POUAH ) La deuxième raison, c'est que votre serviteur se lance un défi "à la Gitane 79mHz" (lorsque je me suis grimpé "l'Aspinou" sur le Gitane de mes 16 ans, respectant trois décennies plus tard le serment de mes 18 ans ) ... sauf que ça ne devrait pas être avec mon Gitane 79 mHz historique (quoi que ... avec mes coups de théâtre ) mais au guidon d'un cycle "vintage" plus que pré-80 puisqu'il a été fabriqué dans les 70's (et, accessoirement, il a bien couru au cours de cette déceniies).
Il faut juste que je le configure pour la montagne en lui greffant un triple plateaux ... parce-que je ne serai jamais, au grand jamais, capable de me plier les 17 bornes du Tourmalet sur un 40 x 26
Un ch'tit 30 x 28 est bien plus dans mes cordes
Brêfle, les aventures picaresques d'el Marco and family sont reparties pour un tour
"si iou soune"
Savez quoi band of Tontons§Tatas interloqués par l'inconséquence du gascoun On dirait que la vie d'el Marco ressemble à une pièce dont les coups de théâtre se succèdent à une vitesse effrénée (pas comme celle, toute relative, de mes montées de cols ).
Et pourquoi je reviens vous emboucaner sur ce forum plus que sérieux, moi qui ne prends pas la vie sur un même plan ?!
Ben pour deux raisons intéressantes :
La première réside dans le fait que "el papounet47", ascendant direct du gascoun ... celui-là même qui s'est fadé le col de Peyresourde en 2010 à l'âge déjà légèrement avancé de 70 lunes ... et ce, sur son vélo au cadre artisanal agenais millésime 1980 ...
ben il veut affronter le Tourmalet à 77 balais en compagnie de son fils (moi) et son petit-fils (lui)
En attendant l'été prochain, il s'entraîne sur son "cadre carbone" (oui, je sais : POUAH ) La deuxième raison, c'est que votre serviteur se lance un défi "à la Gitane 79mHz" (lorsque je me suis grimpé "l'Aspinou" sur le Gitane de mes 16 ans, respectant trois décennies plus tard le serment de mes 18 ans ) ... sauf que ça ne devrait pas être avec mon Gitane 79 mHz historique (quoi que ... avec mes coups de théâtre ) mais au guidon d'un cycle "vintage" plus que pré-80 puisqu'il a été fabriqué dans les 70's (et, accessoirement, il a bien couru au cours de cette déceniies).
Il faut juste que je le configure pour la montagne en lui greffant un triple plateaux ... parce-que je ne serai jamais, au grand jamais, capable de me plier les 17 bornes du Tourmalet sur un 40 x 26
Un ch'tit 30 x 28 est bien plus dans mes cordes
Brêfle, les aventures picaresques d'el Marco and family sont reparties pour un tour
"si iou soune"
Grands heurts et des cadences !
Savez quoi bande d'oxydés du rétropédalage ?
>Lou Marco (ouaip, je sais : un croisement improbable de gascoun et de Marco : ça vire à la schizophrénie c't'histoire ) voulait se monter une gazelle des cimes version 70's ...
mais j'arriv' pas à bigorner un beau coursier originaire d'Oloron Sainte Marie, une petite reine latine (ou espagnole si vous préférez : z'avez qu'à traduire aussi ) en lui greffant sauvagement un triple plateau (fut-il un superbe Laprade ) en lieu et place du Spécialité TA 49T (ou un truc du genre) d'origine
Alors, quoi ?
Ben j'ai bien le cadre Gitane "aerotube 103" avec sa fourche chromée pour me monter un pur izard des cimes, mais là je risque l'excommunication direct
il ne serait plus dans les clous par rapport aux règles tutélaires de Bruno, nôt' maît' car ce vestige de biclou a été fabriqué après 1980
J'aurais bien une soluce mais là aussi j'ai vergogne
=> faire reprendre du service à mon Gitane 79mHz en virant sauvagement son double plateau Sugino et ses freins Weinmann aux patins durs comme de l'acier trempé
enfin, bref, j'sais pas quoi décider
La seule décision qui vaille actuellement à l'heure oùsque je vous cause dans le cornet (au niveau des cages à miel, quoi), c'est que j'ai vraiment envie de me refaire une montée (pachydermique la montée siouplait ) du Tourmalet
... mais sur un cycle ancien c'te fois-ci (pasqu' à force de vous narrer mes "exploits" tout relatifs sur des cadres carbone je sens que vous allez prendre la mouche band of puristes en réunion ).
On fait macérer le truc et on revient vous en causer
>Lou Marco (ouaip, je sais : un croisement improbable de gascoun et de Marco : ça vire à la schizophrénie c't'histoire ) voulait se monter une gazelle des cimes version 70's ...
mais j'arriv' pas à bigorner un beau coursier originaire d'Oloron Sainte Marie, une petite reine latine (ou espagnole si vous préférez : z'avez qu'à traduire aussi ) en lui greffant sauvagement un triple plateau (fut-il un superbe Laprade ) en lieu et place du Spécialité TA 49T (ou un truc du genre) d'origine
Alors, quoi ?
Ben j'ai bien le cadre Gitane "aerotube 103" avec sa fourche chromée pour me monter un pur izard des cimes, mais là je risque l'excommunication direct
il ne serait plus dans les clous par rapport aux règles tutélaires de Bruno, nôt' maît' car ce vestige de biclou a été fabriqué après 1980
J'aurais bien une soluce mais là aussi j'ai vergogne
=> faire reprendre du service à mon Gitane 79mHz en virant sauvagement son double plateau Sugino et ses freins Weinmann aux patins durs comme de l'acier trempé
enfin, bref, j'sais pas quoi décider
La seule décision qui vaille actuellement à l'heure oùsque je vous cause dans le cornet (au niveau des cages à miel, quoi), c'est que j'ai vraiment envie de me refaire une montée (pachydermique la montée siouplait ) du Tourmalet
... mais sur un cycle ancien c'te fois-ci (pasqu' à force de vous narrer mes "exploits" tout relatifs sur des cadres carbone je sens que vous allez prendre la mouche band of puristes en réunion ).
On fait macérer le truc et on revient vous en causer
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bonjour,
Partant du principe qu'on n'utilise qu'un seul plateau à la fois (enfin c'est mon cas !), il n'est pas nécessaire d'en avoir 3 pour monter, ponctuellement, au Tourmalet (ou ailleurs). Un double comportant un vrai petit plateau, comme c'était le cas sur les randonneuses anciennes, convient donc très bien. Reste alors à choisir le modèle : cela existe chez TA qui propose de tous petits plateaux à déguster dans une montée telle que celle du Tourmalet !
Partant du principe qu'on n'utilise qu'un seul plateau à la fois (enfin c'est mon cas !), il n'est pas nécessaire d'en avoir 3 pour monter, ponctuellement, au Tourmalet (ou ailleurs). Un double comportant un vrai petit plateau, comme c'était le cas sur les randonneuses anciennes, convient donc très bien. Reste alors à choisir le modèle : cela existe chez TA qui propose de tous petits plateaux à déguster dans une montée telle que celle du Tourmalet !
(le) col est monté !
A.S. (ante scriptum, quoi ) : merci pour ces conseils de pro cher Loïc
Bon, si je n'ai rien arrêté du point de vue matériel, ce qui se profile à l'horizon, en revanche, n'est point piqué des hannetons !
Jugez plutôt (ou Goofy si vous avez l'âme ricaine ce qui vous rend un tantinet dingos, croyez pas ?) :
un ch'tit enchaînement Aubisque / Soulor suivi d'une montée velue du Tourmalet ... mais côté Barèges (pasqu' le Marco il ne l'a faite ... qu'en véhicule automobile shame on him
Je sens qu'on va en chi... euh, baver, mais qu'on va ipso facto écrire une nouvelle page de l'histoire marcolienne. Et ça mes chers amateurs de cycles dégradés par le temps, c'est quand même une sorte de madeleine de Proust à la Uncle bike, isn't it ? Indeed !
(mouais, z'avez raison sur le coup : je jacte le rosbeef like un ruminant ibère ).
Brêfle, ça s'arrange pas avec le temps pour votre serviteur et ses gasconnades qui tournent invariablement à la grosse gasconnerie
Bon, si je n'ai rien arrêté du point de vue matériel, ce qui se profile à l'horizon, en revanche, n'est point piqué des hannetons !
Jugez plutôt (ou Goofy si vous avez l'âme ricaine ce qui vous rend un tantinet dingos, croyez pas ?) :
un ch'tit enchaînement Aubisque / Soulor suivi d'une montée velue du Tourmalet ... mais côté Barèges (pasqu' le Marco il ne l'a faite ... qu'en véhicule automobile shame on him
Je sens qu'on va en chi... euh, baver, mais qu'on va ipso facto écrire une nouvelle page de l'histoire marcolienne. Et ça mes chers amateurs de cycles dégradés par le temps, c'est quand même une sorte de madeleine de Proust à la Uncle bike, isn't it ? Indeed !
(mouais, z'avez raison sur le coup : je jacte le rosbeef like un ruminant ibère ).
Brêfle, ça s'arrange pas avec le temps pour votre serviteur et ses gasconnades qui tournent invariablement à la grosse gasconnerie
Deus ex machina in aginnum
AVE (caesar morituri te salutant ) band of passionnés vaccinés à l'aide d'un rayon oxidé
Le "deus ex machina" permettait aux "théâtreux grecs" de résoudre une équation fort alambiquée à la fin d'une pièce particulièrement tarabiscotée. T'avais un pôv' acteur grimé en dieu de l'olympe suspendu à un câble qui surgissait des coulisses et résolvait tous les problèmes à la John Rambo ... hum, mouais, z'en battez le steack et z'avez raison (gardée ?).
Bref (sans aucun pépin ) tout ça pour dire que mon équation à moi-même présentement, je vous le rappelle à toutes fins utiles (y en a qui roupillent au fond de la classe ), c'est de trouver un cycle disons ancien (parce-que vintage ça va encore tousser fort dans les rangs des gardiens de la templitude psycho-rigidifiante : z'avez vu ! J'ai bien retenu ma leçon, hein ).
En d'autres termes ('achtement échus) un vélo routier (pas "de course" non plus sinon je rallume aussi sec les guerres intestines, ce qui ferait prorprement chi*r) D'AVANT 1980 .... MAIIIIIIS adapté aux "immenses" capacités physiques du gascoun (NRD : c-a-d proches du néant cyclosportif ) pour gravir quelques cols ( "et montés" : DSL, j'adore la faire en boucle celle-là ) du "sut" de la gaulle version aquitania.
Monomaniaque el Marco ? Ptêt ben qu'oui, ptêt ben qu'non comme diraient aux amateurs de cidre frappé et de crème fraîche savoureuse bien épaisse (et Berthe à la diet' ).
Pour des raisons familiales (de soutien), notre descendant du bon roi Henri, celui qu'avait un château du côté de Nérac - 47, ne peut s'éloigner trop longtemps de son camp de base ("Où sont passés les draps d'or ?!" Ah oui, là c'était François ).
Alors les Pyrénées, pensez, sont à trois petites heures du bercail. Du coup, elles constituent un terrain de jeu fort acceptable dans le strict cahier des charges de la Gascoun family.
Bon, revenons à nos moutons (de la zone pastorale située au dessus de la vallée de Campan) : BERTHE !!! ça ressemble pas trop à des moutons ces ruminants-là remarque, quand tu les prends dans le buffet lors d'une descente, ces bestiaux te stoppent direct (que celui qui n'a pas percuté sa vache me jette la première cale en alu).
Ah ben non ! Je n'en ai pas embrassé dans un amour immodéré pour le pastoralisme montagnard.
Les moutons, en revanche, m'ont fait une frayeur dans la descente du Tourmalet
Bon, digression : asseyez-vous en tailleur au tour de moi, onc' Marco vous raconte (ouaip, "les histoires de l'oncle Paul" replica pour les bédéphiles d'un autre temps ) :
Lors de mon "exploit marcolien" de septembre dernier, soit la montée 'achtement rude du col du Tourmalet depuis la statue d'Eugène Christophe à Sainte-Marie de Campan (65) : ... je suis arrivé, très péniblement je l'avoue, en haut :
Le "deus ex machina" permettait aux "théâtreux grecs" de résoudre une équation fort alambiquée à la fin d'une pièce particulièrement tarabiscotée. T'avais un pôv' acteur grimé en dieu de l'olympe suspendu à un câble qui surgissait des coulisses et résolvait tous les problèmes à la John Rambo ... hum, mouais, z'en battez le steack et z'avez raison (gardée ?).
Bref (sans aucun pépin ) tout ça pour dire que mon équation à moi-même présentement, je vous le rappelle à toutes fins utiles (y en a qui roupillent au fond de la classe ), c'est de trouver un cycle disons ancien (parce-que vintage ça va encore tousser fort dans les rangs des gardiens de la templitude psycho-rigidifiante : z'avez vu ! J'ai bien retenu ma leçon, hein ).
En d'autres termes ('achtement échus) un vélo routier (pas "de course" non plus sinon je rallume aussi sec les guerres intestines, ce qui ferait prorprement chi*r) D'AVANT 1980 .... MAIIIIIIS adapté aux "immenses" capacités physiques du gascoun (NRD : c-a-d proches du néant cyclosportif ) pour gravir quelques cols ( "et montés" : DSL, j'adore la faire en boucle celle-là ) du "sut" de la gaulle version aquitania.
Monomaniaque el Marco ? Ptêt ben qu'oui, ptêt ben qu'non comme diraient aux amateurs de cidre frappé et de crème fraîche savoureuse bien épaisse (et Berthe à la diet' ).
Pour des raisons familiales (de soutien), notre descendant du bon roi Henri, celui qu'avait un château du côté de Nérac - 47, ne peut s'éloigner trop longtemps de son camp de base ("Où sont passés les draps d'or ?!" Ah oui, là c'était François ).
Alors les Pyrénées, pensez, sont à trois petites heures du bercail. Du coup, elles constituent un terrain de jeu fort acceptable dans le strict cahier des charges de la Gascoun family.
Bon, revenons à nos moutons (de la zone pastorale située au dessus de la vallée de Campan) : BERTHE !!! ça ressemble pas trop à des moutons ces ruminants-là remarque, quand tu les prends dans le buffet lors d'une descente, ces bestiaux te stoppent direct (que celui qui n'a pas percuté sa vache me jette la première cale en alu).
Ah ben non ! Je n'en ai pas embrassé dans un amour immodéré pour le pastoralisme montagnard.
Les moutons, en revanche, m'ont fait une frayeur dans la descente du Tourmalet
Bon, digression : asseyez-vous en tailleur au tour de moi, onc' Marco vous raconte (ouaip, "les histoires de l'oncle Paul" replica pour les bédéphiles d'un autre temps ) :
Lors de mon "exploit marcolien" de septembre dernier, soit la montée 'achtement rude du col du Tourmalet depuis la statue d'Eugène Christophe à Sainte-Marie de Campan (65) : ... je suis arrivé, très péniblement je l'avoue, en haut :
Les digressions oiseuses de Marco l'Agenès
" POUAH ! POUAH ! POUAH ! " (en montagne, on est parfois dans la purée de pouah ) des cycles affreusement modernes => on y reviendra chers Tontons puristes et vous verrez comment el Marco battra sa coulpe publiquement et sa manière originale de faire pénitence
Bon, donc, j'avais vaincu le signe indien et rejoint Fiston au sommet de mon Olympe à moi ... mais après la montée, mes poulets de grain, ben ya la descente, pardi
Alors on y est allés franco de porc et dans balle âge :
y avait devant nous un "papi" bien prudent, "comme y faut" qui nous obligeait à freiner trop fort à l'entrée des virages, alors qu'un bon repas nous attendait en bas ...
C'est bien connu : "ventre affamé n'a point d'oreilles", alors on a déposé notre "ancêtre" à la sortie de La Mongie pour nous lancer dans une poursuite vertigineuse, sauf que ...
en dessous de cette station "d'eski" comme le disait mon regretté papi dans son langage fleuri, ya des paravalanches (ou pare-avalanche : des sortes de tunnels à claire-voie bien pratiques l'hiver pour ne pas être emportés par ... bref, vous savez quoi)
Mais l'été, mes canards pas boiteux pour autant, avec la chaleur, z'avez deviné ce qui se fout à l'ombre sous ces tunnels
Voui ! Des troupeaux entiers de brebis (pas galeuses du tout) dans des sit-in géants que n'auraient pas désavoué les contestataires de la guerre du Viet nam devant la Maison blanche
Mais quand t'arrives plein badin dans un environnement baigné de soleil, ben mon pote tu vois pas cet amoncellement de laine tapi dans l'ombre (fallait l'oser celle-là )
Heureusement, c'était Fiston qui ouvrait la route et son passé de free-rider lui a permis de sortir un de ces freinages d'outre-tombe dont il a le secret ... avec même une marge de sécurité !
Du coup, j'ai pu anticiper et nous avons slamlomé entre les chicanes "à poil les noeuds" !
MORALITé (et non "moral alité" ) : prudence dans les descentes de montagne est mère de tous les vis (ben là tu touches carrément le fond mon pôv' Marco : pardon à tous les Marco ).
Bon (bis), (bombyx ? car il faut rester sur son Kant à soie ou "philosophe en habits de ... " ) : je recherche donc un cycle routier d'avant 1980 qui aurait une gueule folle et un ch'tit plateau de 30, 32 quenottes adapté au (hors) gabarit de votre serviteur.
Et je pourrais faire un coup hallucinant auquel malgré tout je ne crois guère car , et d'une il serait miraculeux, et de deux il est à 120 bornes de cheux moi alors que je n'ai pas de disponibilités dans le mois à venir
Bon (ter), je n'en dis pas plus pour ne pas me porter la scoumoune mais si jamais ça se concrétisait, je serais ipso facto pardonné de mes turpitudes "carbonisantes re-cadrées" (là, on n'est mêm' plus dans le domaine capillotracté )
Et du coup, peut-être exeunt Gitane 79mHz, 102 aerotube, Regina sport ...
Oh ben oui La vie vélocipédalophilifiante du gascoun n'est pas un long fleuve Garonne tranquille
Bon, donc, j'avais vaincu le signe indien et rejoint Fiston au sommet de mon Olympe à moi ... mais après la montée, mes poulets de grain, ben ya la descente, pardi
Alors on y est allés franco de porc et dans balle âge :
y avait devant nous un "papi" bien prudent, "comme y faut" qui nous obligeait à freiner trop fort à l'entrée des virages, alors qu'un bon repas nous attendait en bas ...
C'est bien connu : "ventre affamé n'a point d'oreilles", alors on a déposé notre "ancêtre" à la sortie de La Mongie pour nous lancer dans une poursuite vertigineuse, sauf que ...
en dessous de cette station "d'eski" comme le disait mon regretté papi dans son langage fleuri, ya des paravalanches (ou pare-avalanche : des sortes de tunnels à claire-voie bien pratiques l'hiver pour ne pas être emportés par ... bref, vous savez quoi)
Mais l'été, mes canards pas boiteux pour autant, avec la chaleur, z'avez deviné ce qui se fout à l'ombre sous ces tunnels
Voui ! Des troupeaux entiers de brebis (pas galeuses du tout) dans des sit-in géants que n'auraient pas désavoué les contestataires de la guerre du Viet nam devant la Maison blanche
Mais quand t'arrives plein badin dans un environnement baigné de soleil, ben mon pote tu vois pas cet amoncellement de laine tapi dans l'ombre (fallait l'oser celle-là )
Heureusement, c'était Fiston qui ouvrait la route et son passé de free-rider lui a permis de sortir un de ces freinages d'outre-tombe dont il a le secret ... avec même une marge de sécurité !
Du coup, j'ai pu anticiper et nous avons slamlomé entre les chicanes "à poil les noeuds" !
MORALITé (et non "moral alité" ) : prudence dans les descentes de montagne est mère de tous les vis (ben là tu touches carrément le fond mon pôv' Marco : pardon à tous les Marco ).
Bon (bis), (bombyx ? car il faut rester sur son Kant à soie ou "philosophe en habits de ... " ) : je recherche donc un cycle routier d'avant 1980 qui aurait une gueule folle et un ch'tit plateau de 30, 32 quenottes adapté au (hors) gabarit de votre serviteur.
Et je pourrais faire un coup hallucinant auquel malgré tout je ne crois guère car , et d'une il serait miraculeux, et de deux il est à 120 bornes de cheux moi alors que je n'ai pas de disponibilités dans le mois à venir
Bon (ter), je n'en dis pas plus pour ne pas me porter la scoumoune mais si jamais ça se concrétisait, je serais ipso facto pardonné de mes turpitudes "carbonisantes re-cadrées" (là, on n'est mêm' plus dans le domaine capillotracté )
Et du coup, peut-être exeunt Gitane 79mHz, 102 aerotube, Regina sport ...
Oh ben oui La vie vélocipédalophilifiante du gascoun n'est pas un long fleuve Garonne tranquille
La ballade frigorifiée de Marco l'Agenès
AVE CAESAR, "PEDALENDI" (affreux barbarisme "latinifiant" : là ch'uis bon pour les Enfers direct ) TE SALUTANT (je laisse le soin aux latinistes distingués du fofo de rechercher si le verbe pedalare existe réellement )
el Marco se projette dans un "retour vers le futur" le menant vers les cols d'Aubisque et du Soulor aux alentours du printemps 2017.
Mes aventures vélopédalofluidifiantes étant actuellement reportées sine die pour des raisons totalement indépendantes du peu de volonté qu'il me reste dans cette vallée de larmes, je préfère me préparer au futur bourgeonnement de l'éclosion d'un projet "à l'ancienne" où il sera question d'un vieux lion rugissant, de Bernard Thévenet et d'un gascoun ahanant dans des déclivités pyrénéennes naturellement crevantes (ouf ! Si t'as lu tout d'une traite, tu seras capable toi z'aussi de t'infuser à l'envers une pente montagnarde).
Mouais ... faut juste qu'un miracle à double ou triple détente tombe tout rôti dans mon escarcelle
Mais oui, depuis le temps, je vise un cycle à la blancheur immaculée et aux chaussettes chromées
Alors qui sera (enfin !) raccord avec l'esprit de TTV, MMMH ?
En revanche, je ne me sens pas d'endosser la tenue d'époque avec le damier les sponsors et tout le toutim. On a son honneur quand même
Et pis j'avais monté l'Aspinou sans casque en ... quelle année déjà pour respecter mon serment de 1981, mais j'avais pas trop aimé rouler tête nue : autres temps, autres moeurs
Donc j'aurai un casque moderne ... même si je crève de chaud dessous
Vous voyez chers Tontons§Tatas, chassez le naturel du Marco et il revient au triple galop : un paradoxe sur pattes, c't'homm' là
el Marco se projette dans un "retour vers le futur" le menant vers les cols d'Aubisque et du Soulor aux alentours du printemps 2017.
Mes aventures vélopédalofluidifiantes étant actuellement reportées sine die pour des raisons totalement indépendantes du peu de volonté qu'il me reste dans cette vallée de larmes, je préfère me préparer au futur bourgeonnement de l'éclosion d'un projet "à l'ancienne" où il sera question d'un vieux lion rugissant, de Bernard Thévenet et d'un gascoun ahanant dans des déclivités pyrénéennes naturellement crevantes (ouf ! Si t'as lu tout d'une traite, tu seras capable toi z'aussi de t'infuser à l'envers une pente montagnarde).
Mouais ... faut juste qu'un miracle à double ou triple détente tombe tout rôti dans mon escarcelle
Mais oui, depuis le temps, je vise un cycle à la blancheur immaculée et aux chaussettes chromées
Alors qui sera (enfin !) raccord avec l'esprit de TTV, MMMH ?
En revanche, je ne me sens pas d'endosser la tenue d'époque avec le damier les sponsors et tout le toutim. On a son honneur quand même
Et pis j'avais monté l'Aspinou sans casque en ... quelle année déjà pour respecter mon serment de 1981, mais j'avais pas trop aimé rouler tête nue : autres temps, autres moeurs
Donc j'aurai un casque moderne ... même si je crève de chaud dessous
Vous voyez chers Tontons§Tatas, chassez le naturel du Marco et il revient au triple galop : un paradoxe sur pattes, c't'homm' là
Après l'hiver : le printemps pardi !
Yo band of amateurs de cadres froids comme la pierre, l'hiver vous gèle-t-il les neurones ?!
Pour el Marco, c'est presque le cas, mais je lutte ... je lutte (on dirait même que je luth pour les ceuss qui connaissent la musique ).
Bon, on va pas se la raconter, actuellement, je tousse comme un perdu à la moindre bolée d'air frais alors je fais le "vieux" au coin de la cheminée (que je n'ai pas )
Pas bon tout ça car du coup, je gamberge dur.
Et caisse ça donne en vrai
Ben de sombres histoires de biclou bieeen sûûûr
Alors, après l'ascension du Tourmalet en 2016 (sans entraînement préalable ... ou si peu que ce n'est pas la peine de disserter dessus avec tous les coureurs du fofo outrès par tant non pas de légèreté dans le cas présent mais d'inconséquence, ça OUI ), après sa majesté, disais-je, il fallait bien que je trouve un truc encore plus barré.
Et PAF !!! (le chien) Illumination à tous les étages : j'a trouvi
Les derniers des Mohicans qui suivent ce sujet terriblement abscons pour son auteur soi-même, savent que je souhaite m'infuser le Soulor et l'Aubisque (de homar, miam miam) Et ben finalement non.
Comment ça, non
Pour d'obscures raisons de décharges totalement anarchiques des neurotransmetteurs marcoliens, il m'est venu une idée bizarroïde remontant d'on ne sait z'où
Mais pour faire bonne mesure, je souhaite qu'il y ait une sorte de logique dans ma démarche
Du coup, j'ai trouvé le vélo, l'itinéraire symbolique et l'histoire que je veux créer. Oui je sais, je suis un poil chi*nt avec mes idées farfelues. Mais que voulez-vous, ch'uis comm' ça
Alors, si vous acceptez de jouer le jeu avec lou gascoun, voici le produit hautement toxique de mes élucubrations :
Le vélo ?
J'ai écrit, à quelques messages de là ( "je te le fais savoir") que j'aimerais revivre un trip pyrénéen vintage à l'image de mon défi Aspinou versus Gitane mHz (millésime 2012 ).
Ben j'ai enfin trouvé ... si les dieux de l'Olympe m'octroient un vieux pédalier triple (j'y travaille)
Alors ? Alors finalement et après moultes tergiversations dont j'ai le secret : le REGINA SPORT que Giovanni m'avait offert en ... en ... damned que le temps s'écoule vite dans le sablier de Chronos ! En 2011 Je ne suis pas le seul à trouver ce cadre en Reynolds 531 assez léger (un Tonton avait même avancé que c'était "à cause" de ses gènes pyrénéens )
...
Pour el Marco, c'est presque le cas, mais je lutte ... je lutte (on dirait même que je luth pour les ceuss qui connaissent la musique ).
Bon, on va pas se la raconter, actuellement, je tousse comme un perdu à la moindre bolée d'air frais alors je fais le "vieux" au coin de la cheminée (que je n'ai pas )
Pas bon tout ça car du coup, je gamberge dur.
Et caisse ça donne en vrai
Ben de sombres histoires de biclou bieeen sûûûr
Alors, après l'ascension du Tourmalet en 2016 (sans entraînement préalable ... ou si peu que ce n'est pas la peine de disserter dessus avec tous les coureurs du fofo outrès par tant non pas de légèreté dans le cas présent mais d'inconséquence, ça OUI ), après sa majesté, disais-je, il fallait bien que je trouve un truc encore plus barré.
Et PAF !!! (le chien) Illumination à tous les étages : j'a trouvi
Les derniers des Mohicans qui suivent ce sujet terriblement abscons pour son auteur soi-même, savent que je souhaite m'infuser le Soulor et l'Aubisque (de homar, miam miam) Et ben finalement non.
Comment ça, non
Pour d'obscures raisons de décharges totalement anarchiques des neurotransmetteurs marcoliens, il m'est venu une idée bizarroïde remontant d'on ne sait z'où
Mais pour faire bonne mesure, je souhaite qu'il y ait une sorte de logique dans ma démarche
Du coup, j'ai trouvé le vélo, l'itinéraire symbolique et l'histoire que je veux créer. Oui je sais, je suis un poil chi*nt avec mes idées farfelues. Mais que voulez-vous, ch'uis comm' ça
Alors, si vous acceptez de jouer le jeu avec lou gascoun, voici le produit hautement toxique de mes élucubrations :
Le vélo ?
J'ai écrit, à quelques messages de là ( "je te le fais savoir") que j'aimerais revivre un trip pyrénéen vintage à l'image de mon défi Aspinou versus Gitane mHz (millésime 2012 ).
Ben j'ai enfin trouvé ... si les dieux de l'Olympe m'octroient un vieux pédalier triple (j'y travaille)
Alors ? Alors finalement et après moultes tergiversations dont j'ai le secret : le REGINA SPORT que Giovanni m'avait offert en ... en ... damned que le temps s'écoule vite dans le sablier de Chronos ! En 2011 Je ne suis pas le seul à trouver ce cadre en Reynolds 531 assez léger (un Tonton avait même avancé que c'était "à cause" de ses gènes pyrénéens )
...
La future balade montagnarde de Marco l'Agenès
" Pourrrtant, que la montagne est belleuuux ! Comment peut-on s'imaginer, en voyant un vol d'hirondelleuuux, que l'automne vient d'arriver ! "
Mouais, bon, ch'uis pas raccord avec la saison, Ok
Le vélo suite et fin :
Un bon vieux pédalier avec un ch'tit plateau si possible en trente quenottes et une RL avec une roue dentelée de vingt-six chicots et ça ferait la blague.
Après tout, j'ai bien monté le Tourmalet (le 1er septembre dernier : 2016) certes sur une bombe carbonique ( "vade retro satanas !!! " ) mais en 30 x 24. Alors un 30 voire 32 x 26 me semble jouable pour le périple que je vais vous exposer.
Je crois que je tenterais bien de lui adjoindre une paire de roues à "boyos" en combo Mavic / Normandy avec des ch'tits "boyos" Vittoria de chez DKT.
Bon, Ok, mon expérience des boyaux se résume à quelques jours de minuscule roulage en ... 1980 avec mon Gitane. Mais à l'époque j'avais tellement peur de crever que je suis passé aux jantes à pneu plus vite qu'à mon tour !
Il paraîtrait que selon les vrais sportifs qui pratiquent le vrai vélo, il y aurait un avantage net en faveur des "boyos" face aux pneus dans les côtes.
J'sais pas si à mon insignifiant niveau je ressentirai la moindre amélioration mais avec le fameux effet placébo, quien sabé ?
Et pis un Regina avec des boyos, ça serait-y pas la classe, hein ?!
Le parcours ?
Le départ, tout symbolique, s'effectuerait ééévidemment devant le portail des Etablissements Betbeder sis dans la pittoresque localité d'Oloron Sainte Marie au coeur du Béarn.
Comment, " pourquoi là ?! " Mais mes chers mollets d'airain, c'est l'ancien fief des cycles Regina; ça tombe sous le sens
Après, je te remonte la vallée d'Ossau en guise d'échauffement et je m'arrête devant le musée "1903 - 2003 : cent ans de Tour de France" de ce cher Emile, un passionné comme j'en ai rarement vu
... mais je doute qu'il soit dans les parages aux alentours de juin 2017. Je me contenterai de lui laisser la lettre d'un admirateur (remarque, c'est assez raccord avec mon allure "de facteur" ).
Après : cap sur Laruns avant d'entamer la montée vers le col d'Aubisque puis celui du Soulor.
Descente en rappel vers Argelès Gazost en priant pour que les Mafac racer assurent un ralentissement convenable.
Puis on se dirige droit sur Barège et là c'est l'ascension du Tourmalet "par l'autre côté" : du velu de chez velu qui me fout des frissons glacés rien que d'y penser
Et là, alors là, si j'arrive à boucler la boucle ... ben je serai sacrément fier du Marco
Je peaufine le délire et on reparle de sa faisabilité
Mouais, bon, ch'uis pas raccord avec la saison, Ok
Le vélo suite et fin :
Un bon vieux pédalier avec un ch'tit plateau si possible en trente quenottes et une RL avec une roue dentelée de vingt-six chicots et ça ferait la blague.
Après tout, j'ai bien monté le Tourmalet (le 1er septembre dernier : 2016) certes sur une bombe carbonique ( "vade retro satanas !!! " ) mais en 30 x 24. Alors un 30 voire 32 x 26 me semble jouable pour le périple que je vais vous exposer.
Je crois que je tenterais bien de lui adjoindre une paire de roues à "boyos" en combo Mavic / Normandy avec des ch'tits "boyos" Vittoria de chez DKT.
Bon, Ok, mon expérience des boyaux se résume à quelques jours de minuscule roulage en ... 1980 avec mon Gitane. Mais à l'époque j'avais tellement peur de crever que je suis passé aux jantes à pneu plus vite qu'à mon tour !
Il paraîtrait que selon les vrais sportifs qui pratiquent le vrai vélo, il y aurait un avantage net en faveur des "boyos" face aux pneus dans les côtes.
J'sais pas si à mon insignifiant niveau je ressentirai la moindre amélioration mais avec le fameux effet placébo, quien sabé ?
Et pis un Regina avec des boyos, ça serait-y pas la classe, hein ?!
Le parcours ?
Le départ, tout symbolique, s'effectuerait ééévidemment devant le portail des Etablissements Betbeder sis dans la pittoresque localité d'Oloron Sainte Marie au coeur du Béarn.
Comment, " pourquoi là ?! " Mais mes chers mollets d'airain, c'est l'ancien fief des cycles Regina; ça tombe sous le sens
Après, je te remonte la vallée d'Ossau en guise d'échauffement et je m'arrête devant le musée "1903 - 2003 : cent ans de Tour de France" de ce cher Emile, un passionné comme j'en ai rarement vu
... mais je doute qu'il soit dans les parages aux alentours de juin 2017. Je me contenterai de lui laisser la lettre d'un admirateur (remarque, c'est assez raccord avec mon allure "de facteur" ).
Après : cap sur Laruns avant d'entamer la montée vers le col d'Aubisque puis celui du Soulor.
Descente en rappel vers Argelès Gazost en priant pour que les Mafac racer assurent un ralentissement convenable.
Puis on se dirige droit sur Barège et là c'est l'ascension du Tourmalet "par l'autre côté" : du velu de chez velu qui me fout des frissons glacés rien que d'y penser
Et là, alors là, si j'arrive à boucler la boucle ... ben je serai sacrément fier du Marco
Je peaufine le délire et on reparle de sa faisabilité
et le principe de réalité dans tout ça ?!
Ben mes canards (surtout n'en profitez pas pour passer à l'orange, malheureux !!!), autant vous dire que le sacro-saint principe de réalité n'a pas tardé de me sauter à la gu... au groin
Déjà, j'ai essayé de calculer mon futur périple avec Mappy ... sauf que ce dernier me prend pour un avion à réaction : les temps de montée de cols qu'il m'annonce
En fait avec M. Mappy tu roules toujours à la même vitesse, quel que soit le relief
Du coup, va falloir recalculer tout le parcours en données corrigées des variations saisonnières et là, ça va pas être exactement la même limonade (j'l'ai déjà faite celle avec Ogeu ).
Et, à la louche, ça passe plus sur une journée de montagne pour votre serviteur : ch'uis pas une crevette supersonique comme celles qui m'ont enrhumé dans la Hourquette d'Ancizan (dont de magnifiquement belles cyclistes ... étrangères )
Alors oui je vais tricher et je l'annonce fort et clair : je vais shunter les descentes (que je ne sentais pas avec les patins Mafac : remember ma descente foireuse de l'Aspinou avec les Weinmann) et la plaine entre Marsous et Luz Saint sauveur.
Je me concentrerai sur l'essentiel : les montées dont la dernière sur le Tourmalet qui va bien me faire "pleurer"
Et même en calculant au plus juste, je serai au sommet vers 18h30 dans le meilleur des cas
ça peaufine, ça peaufine ... et je crois qu'au mois de juin, je ferai seulement une "expérience scientifique" au guidon de mon vieux biclou en m'infusant la montée vers le col du Tourmalet depuis Sainte Marie de Campan. Avec la gentille balade du 1er septembre (2016), j'ai en effet quelques repères et je pourrai ainsi réajuster en fonction des nouveaux paramètres "vintage" (z'avez remarqué les guillemets mes chers puristes ). On va voir ce que vaut le bon vieil acier R531 face à une "plume carbonisée" (NDR : cadre carbone POUAH mais très léger)
Déjà, j'ai essayé de calculer mon futur périple avec Mappy ... sauf que ce dernier me prend pour un avion à réaction : les temps de montée de cols qu'il m'annonce
En fait avec M. Mappy tu roules toujours à la même vitesse, quel que soit le relief
Du coup, va falloir recalculer tout le parcours en données corrigées des variations saisonnières et là, ça va pas être exactement la même limonade (j'l'ai déjà faite celle avec Ogeu ).
Et, à la louche, ça passe plus sur une journée de montagne pour votre serviteur : ch'uis pas une crevette supersonique comme celles qui m'ont enrhumé dans la Hourquette d'Ancizan (dont de magnifiquement belles cyclistes ... étrangères )
Alors oui je vais tricher et je l'annonce fort et clair : je vais shunter les descentes (que je ne sentais pas avec les patins Mafac : remember ma descente foireuse de l'Aspinou avec les Weinmann) et la plaine entre Marsous et Luz Saint sauveur.
Je me concentrerai sur l'essentiel : les montées dont la dernière sur le Tourmalet qui va bien me faire "pleurer"
Et même en calculant au plus juste, je serai au sommet vers 18h30 dans le meilleur des cas
ça peaufine, ça peaufine ... et je crois qu'au mois de juin, je ferai seulement une "expérience scientifique" au guidon de mon vieux biclou en m'infusant la montée vers le col du Tourmalet depuis Sainte Marie de Campan. Avec la gentille balade du 1er septembre (2016), j'ai en effet quelques repères et je pourrai ainsi réajuster en fonction des nouveaux paramètres "vintage" (z'avez remarqué les guillemets mes chers puristes ). On va voir ce que vaut le bon vieil acier R531 face à une "plume carbonisée" (NDR : cadre carbone POUAH mais très léger)