De l’Elysée au grand-duché.
Publié : mer. 15 nov. 2017 08:21:02
Profitant de quelques RTT providentiels et au détour du pont de la Toussaint nous décidons de tourner bride et prendre les routes du Nord. Notre objectif : rallier Paris au Luxembourg. Le voyage se fera au gré des hôtes situés sur notre route via le site Warmshowers. Nous logerons donc a Tramery dans la Marne, puis a Charleville-Mézières, du côté de Virton en Belgique, a Yutz non loin de Thionville et Bettembourg. Notre trajet nous fait passer par deux fois en Belgique pour aller a l’Abbaye d’Orval et a Meix prés Virton, deux fois également au Luxembourg a Schengen et a Luxembourg-ville et aussi un crochet en Allemagne non loin de la Moselle.
Nous avons pris la photo et avons dû rapidement circuler de l’Elysée, une policière prévenue par talkie-walkie arguant que nous n’avions rien a faire ici nous demanda de débarrasser le plancher fissa, comme rien n’indique que nous ayons a circuler je tente vainement de lui expliquer que nous entamons un voyage dont le point de départ se situe ici. Ce a quoi elle répond, « je me fais engueuler par mes collègues ne restez pas ! ». Nous remontons sur nos clous pour éviter que cette garante de l’ordre public ne pâtisse de sa hiérarchie… la photo est prise et il commence a pleuvoir.
Nous gagnons la villette et ses fameux bouchers qui tranchent le lard, il est déjà 9H00 Paris termine son réveil, derrière nous la Philharmonie de Paris. Décision est prise de longer le canal de l’Ourcq dès la sortie de Paris. Tchao Pantin donc, nous filerons le long de l’eau à la faveur d’une piste cyclable plate et sans histoires. Déjà la première crevaison sur le Gitane en la matière d’un gros morceau de verre sur la roue arrière. Nous perdons d’autant plus un temps précieux, que d’autres cyclistes regagnant la capitale et moins précautionneux nous empruntent des outils qu’ils auront du mal a utiliser.
Nous passons le Château D’Etry et celui de Trilbardou sous la pluie. La piste cyclable que nous quittons parfois est encombrée de Joggeurs et de cyclistes en tous genres.
Le temps est véritablement pourri le canal de l'Ourcq nous aura fait gagner pas mal de temps. Initialement nous devions partir des Jardins du Luxembourg pour le clin d’œil, mais la SNCF n’assurant que tardivement la liaison Vernon-Paris le dimanche matin nous avions du raccourcir le trajet qui fait tout de même 140 km aujourd’hui. Ce temps a ne pas voir les Paudeau naviguer avec leur voiles multicolores dans ces beaux jardins agit sur le moral mais a priori les jours suivant devraient être moins désagréables...
Mais bientôt la Cathédrale de Meaux... il est temps de manger.
Prendre des forces, un leitmotiv, avant de reprendre la route qui est de plus en plus trempée, la circulation s'estompe la capitale est déjà loin, nous rentrons dans la campagne de l'Est de la France. Le vent est terrible a Meaux mais par chance en notre faveur! Une fois n'est pas coutume. Je m'aperçois un peu tard que j'ai oublié les cadenas pour les vélos.
Nous avons pris la photo et avons dû rapidement circuler de l’Elysée, une policière prévenue par talkie-walkie arguant que nous n’avions rien a faire ici nous demanda de débarrasser le plancher fissa, comme rien n’indique que nous ayons a circuler je tente vainement de lui expliquer que nous entamons un voyage dont le point de départ se situe ici. Ce a quoi elle répond, « je me fais engueuler par mes collègues ne restez pas ! ». Nous remontons sur nos clous pour éviter que cette garante de l’ordre public ne pâtisse de sa hiérarchie… la photo est prise et il commence a pleuvoir.
Nous gagnons la villette et ses fameux bouchers qui tranchent le lard, il est déjà 9H00 Paris termine son réveil, derrière nous la Philharmonie de Paris. Décision est prise de longer le canal de l’Ourcq dès la sortie de Paris. Tchao Pantin donc, nous filerons le long de l’eau à la faveur d’une piste cyclable plate et sans histoires. Déjà la première crevaison sur le Gitane en la matière d’un gros morceau de verre sur la roue arrière. Nous perdons d’autant plus un temps précieux, que d’autres cyclistes regagnant la capitale et moins précautionneux nous empruntent des outils qu’ils auront du mal a utiliser.
Nous passons le Château D’Etry et celui de Trilbardou sous la pluie. La piste cyclable que nous quittons parfois est encombrée de Joggeurs et de cyclistes en tous genres.
Le temps est véritablement pourri le canal de l'Ourcq nous aura fait gagner pas mal de temps. Initialement nous devions partir des Jardins du Luxembourg pour le clin d’œil, mais la SNCF n’assurant que tardivement la liaison Vernon-Paris le dimanche matin nous avions du raccourcir le trajet qui fait tout de même 140 km aujourd’hui. Ce temps a ne pas voir les Paudeau naviguer avec leur voiles multicolores dans ces beaux jardins agit sur le moral mais a priori les jours suivant devraient être moins désagréables...
Mais bientôt la Cathédrale de Meaux... il est temps de manger.
Prendre des forces, un leitmotiv, avant de reprendre la route qui est de plus en plus trempée, la circulation s'estompe la capitale est déjà loin, nous rentrons dans la campagne de l'Est de la France. Le vent est terrible a Meaux mais par chance en notre faveur! Une fois n'est pas coutume. Je m'aperçois un peu tard que j'ai oublié les cadenas pour les vélos.