- les numéros de rue sont séparés par un point, pas par une virgule, (sauf sur la plaque n° 4, un peu atypique, où il n'y a que des virgules)
- il y a systématiquement un trait d'union entre "AVENUE-MONTAIGNE", "GODOT-DE-MAUROY"
- les fonds de lettre sont rehaussés à l'encre noire.
Ça ne prouve rien, c'est juste une remarque.
Je le pense aussi.qipiq a écrit :Je suis de l'avis de King, ce n'est pas une gravure manuelle.
Je partage également cet avis : ce n'est pas parce qu'il y a un débat sur la plaque que nous allons tout remettre en cause sur cette machine.ian a écrit :Le débat est à la hauteur de l’intérêt que suscite cette machine et sa restauration de haut niveau dont la rareté mérite le meilleur et ce n'est faire injure à personne que les plus informés du forum, après avoir loué ce vélocipède et son traitement, s'attardent sur le détail principal de son identification .
Le visionnage de son n° ne peut que parfaire sa présentation en apportant une pierre supplémentaire à la connaissance de son histoire.
Là je vais prendre la défense d'Antime : il a clairement expliqué que la lame de ressort d'origine avait disparue.king a écrit :pourquoi seulement maintenant et pas tout de suite au lieu de la mettre à l'époque ?
en sachant que ce devait être un Michaux mais sans son identité , on fait faire une plaque fac similé , mais on hésite à la poser , pour les motifs que c'est flagrant , puis l'histoire se mélange et se perd ........ Voilà ma vision de la chose
On pourrait aussi imaginer que cette lame a été endommagée et que c'est pour cette raison que le propriétaire a souhaité faire un fac-similé de la plaque d'époque sans pour autant la monter.
Mais il s'agit là de pures supputations impossibles à confirmer en l'absence des acteurs de l'époque.