Je dirais même plus "C'est toujours agaçant quand quelqu'un tronque volontairement l'information".alain2908 a écrit :C'est toujours agaçant quand l'information est tronquée.
Un grand MERCI Aven !
Modérateurs : fedaliou, KRISSTOFF, Lisica, OSSE, Eric
Je dirais même plus "C'est toujours agaçant quand quelqu'un tronque volontairement l'information".alain2908 a écrit :C'est toujours agaçant quand l'information est tronquée.
Pour ma part , quand j'indique " doc perso " , j'ai cité la source avant et cela veut dire que les documents en questionQuand c'est Krikri qui place sources docs persos vous n'en faites pas toute une caisse...
octobre 1982 ; parue dans " Moto Journal ", doc. perso
ian a écrit :Bonjour Bernard,
dans la 2éme page du document que tu présentes, je relève cet extrait qui me semble aller tout droit vers la nécessaire prudence quand à l'origine d'une machine .
Cela veut-il dire que l'on pouvait déjà en ces temps faire une repro plus vraie que vraie à partir d'éléments vendus par la marque elle même ?
@ InvitéGoodyGuy a écrit :Je dirais même plus "C'est toujours agaçant quand quelqu'un tronque volontairement l'information".alain2908 a écrit :C'est toujours agaçant quand l'information est tronquée.
Faut-il dans ce cas parler de "repro" ? Je ne le pense pas.ian a écrit :Cela veut-il dire que l'on pouvait déjà en ces temps faire une repro plus vraie que vraie à partir d'éléments vendus par la marque elle même ?
+1, c'est la même logique que les cadres de vélos 20è siècle de grande marque, badgés au nom du petit bouclard local..........GoodyGuy a écrit :Faut-il dans ce cas parler de "repro" ? Je ne le pense pas.ian a écrit :Cela veut-il dire que l'on pouvait déjà en ces temps faire une repro plus vraie que vraie à partir d'éléments vendus par la marque elle même ?
A une époque où il y a une énorme demande, difficile à satisfaire dans des délais brefs, partout en France, la livraison par la Compagnie Parisienne de vélocipèdes "en kit" à des artisans qui n'ont plus qu'à faire de l'assemblage me semble une solution astucieuse pour préserver leur chiffre d'affaire et barrer le chemin à la concurrence.
Il ne me paraîtrait donc pas aberrant de parler de vélocipède "de type Cie Parisienne".
Les frères Olivier étaient des ingénieurs doublés d'excellents hommes d'affaires ... Souvenons-nous que la devise de la Compagnie Parisienne était "Time is Money" !