Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Monter la rampe pour Château Gaillard ainsi équipés??? Chapeau les gaillards !!! De vrais coeurs de lion que vos palpitants sur cette sévère pente !!!
En même temps... Sévère pas pour tout le monde visiblement... Quand je vois que Miss est tout sourire et que, mains en bas du cintre, elle s'apprête à déposer victorieusement tout le monde, et ce à la barbe même du rutilant et aérien Prosper, en sprintant !!! Pauline FP n'a qu'à bien se tenir...
Admirable esthétisme bacchantesque exprimé sur la photo avec Lisica dont le visage altier porte les stigmates insidieuses de l'effort violent et soutenu... Les courbes voluptueuses et velues de ses appendices sub-nasaux épousant parfaitement celles prononcées de la pente en arrière plan ! Un vrai chef d'oeuvre photographique que cette prise là !!!
Bravo !!!
En même temps... Sévère pas pour tout le monde visiblement... Quand je vois que Miss est tout sourire et que, mains en bas du cintre, elle s'apprête à déposer victorieusement tout le monde, et ce à la barbe même du rutilant et aérien Prosper, en sprintant !!! Pauline FP n'a qu'à bien se tenir...
Admirable esthétisme bacchantesque exprimé sur la photo avec Lisica dont le visage altier porte les stigmates insidieuses de l'effort violent et soutenu... Les courbes voluptueuses et velues de ses appendices sub-nasaux épousant parfaitement celles prononcées de la pente en arrière plan ! Un vrai chef d'oeuvre photographique que cette prise là !!!
Bravo !!!
Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
belles photos et paysages, bravo à vous tous
La bicicleta, mi camara y yo.
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Merci à tous pour vos petits messages !
Mais non, cher Prosper, nous ne te haïssons pas, nous sommes une équipe de "gentils". Je remarque que tu as exprès immortalisé le panneau "virages sur 2 km", des fois que nous doutions de la distance...
[Essaie encore une fois et tu vas te retrouver enfermé dans le cachot de la forteresse, pendant qu'on sirotera le calva sur des tartines de boudin noir !]
Loïc : Faut pas croire, j'ai monté une bonne partie de la pente à côté du vélo.
Mais non, cher Prosper, nous ne te haïssons pas, nous sommes une équipe de "gentils". Je remarque que tu as exprès immortalisé le panneau "virages sur 2 km", des fois que nous doutions de la distance...
[Essaie encore une fois et tu vas te retrouver enfermé dans le cachot de la forteresse, pendant qu'on sirotera le calva sur des tartines de boudin noir !]
Loïc : Faut pas croire, j'ai monté une bonne partie de la pente à côté du vélo.
A cœur vaillant rien impossible (Jacques Coeur, grand argentier de Charles VII)
Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Loïc : Faut pas croire, j'ai monté une bonne partie de la pente à côté du vélo.[/quote]
Il fallait bien que tu attendes les retardataires !
Il fallait bien que tu attendes les retardataires !
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
c'est vrai que la cote à coté contente en comptant ceux qu'ont tant applaudi , en contant ce qu' ont tant enduré les mollets contemplés.. faisait plus paréchèse mais l'eussent -t-il comprisMiss América a écrit :
Loïc : Faut pas croire, j'ai monté une bonne partie de la pente à côté du vélo.
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Jour 2 : Les Andelys -> Mantes-la-Jolie 71 km
L’un des équipiers est grognon… Manque de sommeil ? Froid aux oreilles, surtout ! A Port-Mort, nous passons devant une charcuterie qui lui redonnera bonne humeur (boudin noir, saucisson au camembert et Calvados dans les sacoches !).
Visite de la Fondation Claude Monet. Il y a du monde, pourtant les touristes manquent à l’appel : aucun car à l’horizon. Je n’ose imaginer ce que cela doit être au mois d’août ! Il est vrai que nous sommes dimanche et qu’il fait beau, les Parisiens et les Normands ne sont qu’à une encablure en voiture ou en train. En tous cas, les jardins sont magnifiques, on se croirait vraiment devant un tableau des nymphéas ! Point négatif : nous avons dû nous relayer pour garder les vélos, ils ne sont pas acceptés dans le site. Et les garer à l’endroit réservé, sachant que nous avons des sacoches… donc ce lieu n’est pas cyclotourisme-friendly.
Nous entrons dans le département des Yvelines après Giverny, pour se rassasier à La–Roche-Guyon. C’est là que nous faisons incidemment la connaissance de Oups. Robin et moi partons visiter le château.
(L'an dernier, nous avions été reçus dans les écuries). Au passage, il y a une maquette du théâtre, théâtre qui nécessite une importante rénovation, et dont vous avez peut-être entendu parlé dans les médias. Ce site a reçu une dotation de la mission Bern, mais a besoin de fonds. A votre bon-cœur… https://soutenir.fondation-patrimoine.o ... e-guyon-fr
Nous avons ensuite rendez-vous à Vétheuil, dans la maison où Claude Monet habita de 1878 à 1881. Si vous passez dans le coin… visite commentée très intéressante (sur rendez-vous, 5 € / personne), et jolies chambres d’hôtes.
Enfin, nous arrivons à l’hôtel à Mantes à la tombée de la nuit. Heureusement qu’il y a un resto à 3 min à pied, parce qu’il y a maintenant la contrainte du couvre-feu à 21 h ! Mais au moins, la nuit sera calme…[/i]
L’un des équipiers est grognon… Manque de sommeil ? Froid aux oreilles, surtout ! A Port-Mort, nous passons devant une charcuterie qui lui redonnera bonne humeur (boudin noir, saucisson au camembert et Calvados dans les sacoches !).
Visite de la Fondation Claude Monet. Il y a du monde, pourtant les touristes manquent à l’appel : aucun car à l’horizon. Je n’ose imaginer ce que cela doit être au mois d’août ! Il est vrai que nous sommes dimanche et qu’il fait beau, les Parisiens et les Normands ne sont qu’à une encablure en voiture ou en train. En tous cas, les jardins sont magnifiques, on se croirait vraiment devant un tableau des nymphéas ! Point négatif : nous avons dû nous relayer pour garder les vélos, ils ne sont pas acceptés dans le site. Et les garer à l’endroit réservé, sachant que nous avons des sacoches… donc ce lieu n’est pas cyclotourisme-friendly.
Nous entrons dans le département des Yvelines après Giverny, pour se rassasier à La–Roche-Guyon. C’est là que nous faisons incidemment la connaissance de Oups. Robin et moi partons visiter le château.
(L'an dernier, nous avions été reçus dans les écuries). Au passage, il y a une maquette du théâtre, théâtre qui nécessite une importante rénovation, et dont vous avez peut-être entendu parlé dans les médias. Ce site a reçu une dotation de la mission Bern, mais a besoin de fonds. A votre bon-cœur… https://soutenir.fondation-patrimoine.o ... e-guyon-fr
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Enfin, nous arrivons à l’hôtel à Mantes à la tombée de la nuit. Heureusement qu’il y a un resto à 3 min à pied, parce qu’il y a maintenant la contrainte du couvre-feu à 21 h ! Mais au moins, la nuit sera calme…[/i]
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Jour 2 : Les Andelys -> Mantes-la-Jolie 71 km
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Visite de la Fondation Claude Monet. Il y a du monde, pourtant les touristes manquent à l’appel : aucun car à l’horizon. Je n’ose imaginer ce que cela doit être au mois d’août ! Il est vrai que nous sommes dimanche et qu’il fait beau, les Parisiens et les Normands ne sont qu’à une encablure en voiture ou en train. En tous cas, les jardins sont magnifiques, on se croirait vraiment devant un tableau des nymphéas ! Point négatif : nous avons dû nous relayer pour garder les vélos, ils ne sont pas acceptés dans le site. Et les garer à l’endroit réservé, sachant que nous avons des sacoches… donc ce lieu n’est pas cyclotourisme-friendly.
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Nous avons ensuite rendez-vous à Vétheuil, dans la maison où Claude Monet habita de 1878 à 1881. Si vous passez dans le coin… visite commentée très intéressante (sur rendez-vous, 5 € / personne), et jolies chambres d’hôtes.
Enfin, nous arrivons à l’hôtel à Mantes à la tombée de la nuit. Heureusement qu’il y a un resto à 3 min à pied, parce qu’il y a maintenant la contrainte du couvre-feu à 21 h ! Mais au moins, la nuit sera calme…
L’un des équipiers est grognon… Manque de sommeil ? Froid aux oreilles, surtout ! A Port-Mort, nous passons devant une charcuterie qui lui redonnera bonne humeur (boudin noir, saucisson au camembert et Calvados dans les sacoches !).
Visite de la Fondation Claude Monet. Il y a du monde, pourtant les touristes manquent à l’appel : aucun car à l’horizon. Je n’ose imaginer ce que cela doit être au mois d’août ! Il est vrai que nous sommes dimanche et qu’il fait beau, les Parisiens et les Normands ne sont qu’à une encablure en voiture ou en train. En tous cas, les jardins sont magnifiques, on se croirait vraiment devant un tableau des nymphéas ! Point négatif : nous avons dû nous relayer pour garder les vélos, ils ne sont pas acceptés dans le site. Et les garer à l’endroit réservé, sachant que nous avons des sacoches… donc ce lieu n’est pas cyclotourisme-friendly.
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Nous avons ensuite rendez-vous à Vétheuil, dans la maison où Claude Monet habita de 1878 à 1881. Si vous passez dans le coin… visite commentée très intéressante (sur rendez-vous, 5 € / personne), et jolies chambres d’hôtes.
Enfin, nous arrivons à l’hôtel à Mantes à la tombée de la nuit. Heureusement qu’il y a un resto à 3 min à pied, parce qu’il y a maintenant la contrainte du couvre-feu à 21 h ! Mais au moins, la nuit sera calme…
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
tu es passée à coté d'une Hurtu chez Claude MONET mais c'est une machine à coudre , ça ferait bien un post aussi ça
je ne voudrais pas être dans la mansarde au milieu de la toiture par gros orages
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Rigole pas, je crois qu'on l'a tous remarquée, la machine à coudre !king a écrit :tu es passée à coté d'une Hurtu chez Claude MONET mais c'est une machine à coudre
Et dans le château de La Roche Guyon, il y a une inscription en latin avec le mot "dilecta". Je n'ai pas traduit, c'était trop triste...
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
comme quoi les bons esprits se rencontrent , c'est O' Tomoto qui avait été l'instigatrice de cette sortie guide en main et apn en bandoulière (je pense qu'ils naissent avec )
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
ça serait bien de détourner à notre profit des marques ou des inscription en rapport avec la vélocipédieMiss América a écrit :Rigole pas, je crois qu'on l'a tous remarquée, la machine à coudre !king a écrit :tu es passée à coté d'une Hurtu chez Claude MONET mais c'est une machine à coudre
Et dans le château de La Roche Guyon, il y a une inscription en latin avec le mot "dilecta". Je n'ai pas traduit, c'était trop triste...
le labor sur la colonne de répu j'en avais d'autres mais
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Lorsque nous sommes repartis des Andelys, il ne faisait pas bien chaud et la brume sur la vallée de la Seine a eu bien du mal à se dissiper :
Un craquement sinistre qui s'était produit la veille lors de l'ascension au Chateau-Gaillard se reproduit dans ma pédale droite et peu après c'est le corps de la pédale qui sort de l'axe : une bille cassée a provoqué le desserrage du cône externe. Heureusement je m'en aperçois tout de suite, et comme je les avait bien graissées avant de les monter, je ne sème pas le reste des billes sur la route. J'élimine la fautive, remets tout le reste en place, resserre bien cône, contre-écrou et cache poussière, et me persuade que ça tiendra bien jusqu'au retour à la maison (Il n'y a que la foi qui sauve ! ).
A Giverny, la brume s'est dissipée, et c'est sous le soleil et avec une belle lumière d'automne que nous visitons la maison et les jardins de Claude Monet.
Le pique-nique à la Roche-Guyon permet la rencontre avec Oups sur son (JP) Routens et permet de profiter du site.
A Vetheuil, la visite de la précédente habitation de Monet nous en apprend bien davantage sur sa vie. La cour de cette maison est surplombée par un pigeonnier "troglodyte" tout à fait curieux :
Il nous faut ensuite "tailler la route" en direction de Mantes où nous arrivons tous éclairages en fonction. Les jours raccourcissent sérieusement à cette saison...
Un craquement sinistre qui s'était produit la veille lors de l'ascension au Chateau-Gaillard se reproduit dans ma pédale droite et peu après c'est le corps de la pédale qui sort de l'axe : une bille cassée a provoqué le desserrage du cône externe. Heureusement je m'en aperçois tout de suite, et comme je les avait bien graissées avant de les monter, je ne sème pas le reste des billes sur la route. J'élimine la fautive, remets tout le reste en place, resserre bien cône, contre-écrou et cache poussière, et me persuade que ça tiendra bien jusqu'au retour à la maison (Il n'y a que la foi qui sauve ! ).
A Giverny, la brume s'est dissipée, et c'est sous le soleil et avec une belle lumière d'automne que nous visitons la maison et les jardins de Claude Monet.
Le pique-nique à la Roche-Guyon permet la rencontre avec Oups sur son (JP) Routens et permet de profiter du site.
A Vetheuil, la visite de la précédente habitation de Monet nous en apprend bien davantage sur sa vie. La cour de cette maison est surplombée par un pigeonnier "troglodyte" tout à fait curieux :
Il nous faut ensuite "tailler la route" en direction de Mantes où nous arrivons tous éclairages en fonction. Les jours raccourcissent sérieusement à cette saison...
Prosperjunior
Vieux routard que jamais.
Vieux routard que jamais.
Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
[quote="Et dans le château de La Roche Guyon, il y a une inscription en latin avec le mot "dilecta". Je n'ai pas traduit, c'était trop triste...[/quote]
Serait-ce cette inscription "Ante alias dilecta domus, qua, ruris et urbis Incola tranquillus,meque Deoque fruor"???
Serait-ce cette inscription "Ante alias dilecta domus, qua, ruris et urbis Incola tranquillus,meque Deoque fruor"???
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Désolé, j'étais un peu occupé cette semaine. Merci pour ces récits et les photos, j'ai hésité à venir, mais un petit bobo m'en a empêché.
Ca sera avec plaisir une autre fois, car je vois qu'on partage quelques valeurs en commun, dont celle des côtes qui piquent
Ca sera avec plaisir une autre fois, car je vois qu'on partage quelques valeurs en commun, dont celle des côtes qui piquent
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
@Clamar : Pour les côtes qui piquent, s'adresser à Prosper Junior...
@Loïc : cela fait au moins un millénaire que je ne parle plus latin couramment, désolée.
@Loïc : cela fait au moins un millénaire que je ne parle plus latin couramment, désolée.
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
tempus fugit ...........
Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
[quote="
@Loïc : cela fait au moins un millénaire que je ne parle plus latin couramment, désolée.[/quote]
Séance de révision obligatoire....
https://www.youtube.com/watch?v=Ja4tVPCDQco
@Loïc : cela fait au moins un millénaire que je ne parle plus latin couramment, désolée.[/quote]
Séance de révision obligatoire....
https://www.youtube.com/watch?v=Ja4tVPCDQco
Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
vous avez donc roulé toi et lili aux côtés de la France de demain sur ce périple !!!! veinards !!!!
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
On est de toute époque et de partout ! Décentrés, et parfois de la France d'En Haut, quand d'autres sont dans le bas de l'Aisne.hasta4u a écrit :vous avez donc roulé toi et lili aux côtés de la France de demain sur ce périple !!!! veinards !!!!
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Re: Paris-Rouen, en 2020 : le retour ! [17-19/10/20]
Le retour de Rouen ne s'est pas arrêté à Mantes la Jolie, même si c'est ici que nous nous séparons :
Jean-Paul doit absolument être chez lui le soir et de plus nous souhaitons éviter la partie "banlieue parisienne" du parcours. Mantes-Etampes offre une possibilité de parcours agreste de bon aloi, avec notamment la vallée de Chevreuse au passage.
Après une sympathique collation à la terrasse d'un café dans les vieux quartiers de Mantes, nous nous séparons donc. Pour quitter la vallée de la Seine, Jean-Paul et moi commençons par en longer la rive gauche par la piste cyclable, ce qui nous donne l'occasion de capter une vue sur le fleuve que n'aurait pas dédaigné Claude Monet himself :
Nous retrouvons la route de Guerville qui doit nous permettre de quitter la vallée en mettant le cap au sud. Un panneau publicitaire nous interpelle que nous ne pouvons pas ne pas immortaliser en pensant très fort à Miss America et Lisica :
Oui, les Renard, l'hiver arrive, heureusement Godin est là
La longue grimpée qui nous permet de remonter sur le plateau nous permet d'échapper aux brumes matinales et nous réchauffe malgré le vent contraire.
Il faut attendre Montfort-L'Amaury, charmante localité chère aux cyclistes parisiens d'autrefois pour être abrités. Nous profitons pour y boire un café revigorant et faire quelques emplettes en vue du pique-nique du midi.
Devant la boulangerie, un autochtone tombe en pâmoison devant nos randonneuses, s'excusant presque d'être lui-même un cycliste en carbone .
Lui au moins ne nous fait pas un flan pour savoir si elles sont artisanales ou d'exception ...
Un arrêt s'impose au château des Mesnuls,
Avant que de pique-niquer sur un banc devant le cimetière d'Auffargis, où nous sommes abordés par un couple dont la dame est équipée en randonneuse Singer et que nous machines ne laissent pas non plus indifférents.
C'est l'occasion de faire découvrir à Jean-Paul les vaux de Cernay, classique des classique du cyclotourisme en vallée de Chevreuse .
Il ne reste plus qu'une ribambelle de vallées, de vallons et de creux que je connais par coeur mais que mon comparse découvre, pour rejoindre mes pénates au terme de cette étape de 87 kms.
Un petit thé est bien apprécié avant que Jean-Paul ne reprenne la route, en voiture cette fois, pour rentrer chez lui avant le couvre-feu...
Voilà, le lendemain, il tombait des cordes et nous n'aurons pas eu une goutte d'eau. Si nous n'avons été épargnés ni par le vent ni par une certaine fraîcheur (bien normale à cette saison ), nous avons savouré notre chance et aussi la belle ambiance amicale de cette virée, que nous ne pouvions deviner être la dernière avant une nouvelle période de claustration ...
Pour cette initiative et tous les bons moments que nous avons passé ensemble, encore merci, Miss América
Jean-Paul doit absolument être chez lui le soir et de plus nous souhaitons éviter la partie "banlieue parisienne" du parcours. Mantes-Etampes offre une possibilité de parcours agreste de bon aloi, avec notamment la vallée de Chevreuse au passage.
Après une sympathique collation à la terrasse d'un café dans les vieux quartiers de Mantes, nous nous séparons donc. Pour quitter la vallée de la Seine, Jean-Paul et moi commençons par en longer la rive gauche par la piste cyclable, ce qui nous donne l'occasion de capter une vue sur le fleuve que n'aurait pas dédaigné Claude Monet himself :
Nous retrouvons la route de Guerville qui doit nous permettre de quitter la vallée en mettant le cap au sud. Un panneau publicitaire nous interpelle que nous ne pouvons pas ne pas immortaliser en pensant très fort à Miss America et Lisica :
Oui, les Renard, l'hiver arrive, heureusement Godin est là
La longue grimpée qui nous permet de remonter sur le plateau nous permet d'échapper aux brumes matinales et nous réchauffe malgré le vent contraire.
Il faut attendre Montfort-L'Amaury, charmante localité chère aux cyclistes parisiens d'autrefois pour être abrités. Nous profitons pour y boire un café revigorant et faire quelques emplettes en vue du pique-nique du midi.
Devant la boulangerie, un autochtone tombe en pâmoison devant nos randonneuses, s'excusant presque d'être lui-même un cycliste en carbone .
Lui au moins ne nous fait pas un flan pour savoir si elles sont artisanales ou d'exception ...
Un arrêt s'impose au château des Mesnuls,
Avant que de pique-niquer sur un banc devant le cimetière d'Auffargis, où nous sommes abordés par un couple dont la dame est équipée en randonneuse Singer et que nous machines ne laissent pas non plus indifférents.
C'est l'occasion de faire découvrir à Jean-Paul les vaux de Cernay, classique des classique du cyclotourisme en vallée de Chevreuse .
Il ne reste plus qu'une ribambelle de vallées, de vallons et de creux que je connais par coeur mais que mon comparse découvre, pour rejoindre mes pénates au terme de cette étape de 87 kms.
Un petit thé est bien apprécié avant que Jean-Paul ne reprenne la route, en voiture cette fois, pour rentrer chez lui avant le couvre-feu...
Voilà, le lendemain, il tombait des cordes et nous n'aurons pas eu une goutte d'eau. Si nous n'avons été épargnés ni par le vent ni par une certaine fraîcheur (bien normale à cette saison ), nous avons savouré notre chance et aussi la belle ambiance amicale de cette virée, que nous ne pouvions deviner être la dernière avant une nouvelle période de claustration ...
Pour cette initiative et tous les bons moments que nous avons passé ensemble, encore merci, Miss América
Prosperjunior
Vieux routard que jamais.
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