La balade de Marco l'Agenès
Modérateurs : fedaliou, KRISSTOFF, Lisica, OSSE, Eric, Stéphane
Re: La ballade de Marco l'Agenès
[ de retour du taf' ] Eeeet bien non chère Kita, pas d'oeillets ni de quoi monter un porte-bagage
Là, c'est un coursier pur et dur, mêm' pas prévu pour les entraînements sous la pluie
Mais si tu fais allusion à Prosperjunior, c'est que tu voulais peuuut-êêêtre biiien te monter une sorte de randonneuse légère, nein ? Avec son expertise dans le domaine, ben c'est pas c*n du tout
But (j'l'écris en english pour pas être trop redondant ), dans ce cas-là, ce p'tit Gitane semble ne pas être "éligible"
Enfin, bref, si tu le veux quand même pour en faire un coursier, je te le garde au chaud
Là, c'est un coursier pur et dur, mêm' pas prévu pour les entraînements sous la pluie
Mais si tu fais allusion à Prosperjunior, c'est que tu voulais peuuut-êêêtre biiien te monter une sorte de randonneuse légère, nein ? Avec son expertise dans le domaine, ben c'est pas c*n du tout
But (j'l'écris en english pour pas être trop redondant ), dans ce cas-là, ce p'tit Gitane semble ne pas être "éligible"
Enfin, bref, si tu le veux quand même pour en faire un coursier, je te le garde au chaud
Vélo agenais pour l'Agenès
Yo band of Tontons au cerveau fondu par la canicule de ce début d'été
Nouvelle élucubration du gascoun le plus barré à l'ouest de Garonne
J'me suis mis en tête de rechercher un vélo ... mais pas n'importe lequel un coursier ancien (si je prononce vintage, les puristes vont me clouer immédiatement et sans délai contre la porte d'une grange tel le grand duc abhorré dans nos campagnes profondes) de la fin des 70's (pour rester raccord avec le fofo ) fabriqué dans l'Agenais. Et là mes poulets de grain, ya pas pléthore de choix
... sauf que ... ben j'en ai ciblé un L'est sur LBC et un poil chérot. Si le vendeur voulait bien se montrer raisonnable (car y en a qui ont vu la Vierge et tous les saints en même temps pour demander des prix aussi exorbitants qu'indécents pour la moindre poubelle rouillée ), je pourrais entamer un projet tout ce qu'il y a de plus réjouissant.
Par superstition, je ne vous dévoilerai pas le nom du cadreur artisanal mais comme je suis joueur, je vous laisse quelques indices tel le petit poucet ses cailloux blancs :
Mon paternel ( le, encore plus barré que son fils, célèbre papounet47 ) a vaincu le col de Peyresourde (depuis Luchon) en compagnie du gascoun et ce en 2010 à l'âge de soixante-dix printemps, au guidon de ce type de vélo.
Il l'avait commandé à ce cadreur en 1980 et ce dernier l'avait monté à ses mesures ( 1980 : l'année de mon achat du Gitane => genre de bourre qu'on se tire !)
Je dois avoir une tof' dans mes archives ... Petite taille de ce cadre car papounet47 fait 1m69 les bras levés, fourche chromée et tubes tout en Vitus bien françouais.
Pour accomplir cet authentique exploit, lou paternel avait greffé un triple plateaux "don d'organe" d'un VTT de supermarché (faut avouer qu'il ne les attache pas avec des saucisses ).
Mais pour la petite histoire, lorsque je me suis aperçu, Ô stupeur , qu'il avait monté les gommes de freins "caca boudin", je lui avais demandé s'il comptait finir dans un ravin à la redescente
Heureusement, j'avais des gommes Ultegra dans ma besace
En fait, papounet et moi, nous avions joué au basket dans les années 70 avec le fils de ce cadreur qui était surnommé "crevette" (ça ne s'invente pas ).
Alors un "poids-lourd" agenais qui monterait des cols au guidon d'un vélo du père crevette ce serait assez marrant, non
Nouvelle élucubration du gascoun le plus barré à l'ouest de Garonne
J'me suis mis en tête de rechercher un vélo ... mais pas n'importe lequel un coursier ancien (si je prononce vintage, les puristes vont me clouer immédiatement et sans délai contre la porte d'une grange tel le grand duc abhorré dans nos campagnes profondes) de la fin des 70's (pour rester raccord avec le fofo ) fabriqué dans l'Agenais. Et là mes poulets de grain, ya pas pléthore de choix
... sauf que ... ben j'en ai ciblé un L'est sur LBC et un poil chérot. Si le vendeur voulait bien se montrer raisonnable (car y en a qui ont vu la Vierge et tous les saints en même temps pour demander des prix aussi exorbitants qu'indécents pour la moindre poubelle rouillée ), je pourrais entamer un projet tout ce qu'il y a de plus réjouissant.
Par superstition, je ne vous dévoilerai pas le nom du cadreur artisanal mais comme je suis joueur, je vous laisse quelques indices tel le petit poucet ses cailloux blancs :
Mon paternel ( le, encore plus barré que son fils, célèbre papounet47 ) a vaincu le col de Peyresourde (depuis Luchon) en compagnie du gascoun et ce en 2010 à l'âge de soixante-dix printemps, au guidon de ce type de vélo.
Il l'avait commandé à ce cadreur en 1980 et ce dernier l'avait monté à ses mesures ( 1980 : l'année de mon achat du Gitane => genre de bourre qu'on se tire !)
Je dois avoir une tof' dans mes archives ... Petite taille de ce cadre car papounet47 fait 1m69 les bras levés, fourche chromée et tubes tout en Vitus bien françouais.
Pour accomplir cet authentique exploit, lou paternel avait greffé un triple plateaux "don d'organe" d'un VTT de supermarché (faut avouer qu'il ne les attache pas avec des saucisses ).
Mais pour la petite histoire, lorsque je me suis aperçu, Ô stupeur , qu'il avait monté les gommes de freins "caca boudin", je lui avais demandé s'il comptait finir dans un ravin à la redescente
Heureusement, j'avais des gommes Ultegra dans ma besace
En fait, papounet et moi, nous avions joué au basket dans les années 70 avec le fils de ce cadreur qui était surnommé "crevette" (ça ne s'invente pas ).
Alors un "poids-lourd" agenais qui monterait des cols au guidon d'un vélo du père crevette ce serait assez marrant, non
La balade de Patrick MALBEC
Euh ... bonjour.
Bon, alors je sais pas ce qu'il m'arrive, ce que je couve ou si c'est la canicule de ces derniers jours ... toujours est-il que de mon cerveau en surchauffe sortent des idées toutes plus farfelues les unes que les autres
Sur le plan strictement vélocipéficationnel, ça donne des trucs chelous (je parle couramment le "djeuns" ) comme, hum, des vieux clous "vintage" (j'ai le droit de cité mes puristes en follis lyonnais : j'ai collé les guillemets kivonbien ) transformés et re-transformés au gré de mes humeurs changeantes (mouais, on verra ça plus tard dans d'autres sujets dédiés ).
Mais ya un aut' truc qui taraude ma coenne : ça fait quelques années (déjà ) que je veux organiser une sorte de rassemblement hommage à un personnage hors norme, trop tôt disparu (en 2004, à l'âge de 42 ans).
Et je crois que je tiens l'idée
Comme c'était un gazier convivial et qui entraînait derrière lui une masse de gens qu'il faisait rêver (meuh non, c'était certainement pas un gourou, juste un animateur sportif ) et qu'il aimait le vélo et l'histoire de l'Agenais, j'ai soudain imaginé une balade (alimentant ma ballade de troubadour gascon ) autour de cet Agenais qu'il chérissait
Alors l'idée qu'elle est simple comme b..b..bon...jjjour, c'est de reprendre mon Tour d'Agen-Boé, soit environ vingt-cinq petits kilomètres sur le plat de la vallée de Garonne avec une partie de voie verte le long du canal de Garonne et l'autre le long du fleuve
Autant vous dire qu'à un rythme de sénateur en goguette et avec quelques pauses ainsi qu'un pique-nique au milieu, ça se fait avec un minivélo d'autrefois sans aucune difficulté (c'est pas la Vélocéane non plus ).
Perso, je devrais faire ce parcours au guidon d'une randonneuse des 50's ... mais j'en ai déjà trop dit
L'autre idée, c'est que cette mini balade doit être ouverte à tous et totalement gratuite, chacun la faisant en autonomie car c'est dans cet esprit que nous avons oeuvré ensemble pendant douze années, Patrick et moi (el Marco : c'est ainsi qu'il m'interpellait, vous savez tout maintenant ). Le repas de midi ? Une sorte d'auberge espagnole où chacun tire de ses sacoches en vieux cuir des victuailles qu'il aime et on met tout ou partie en commun. C'est un peu (beaucoup) ce que nous avions fait lors de la sortie de dame Kita en avril 2011 et ma foi, le concept avait été bien sympa
Quand ? Vers la mi-septembre, un samedi ou un dimanche.
Je gage que pour la version d'essai de 2017, il n'y aura que trois ou quatre cyclistes dans le meilleur des cas mais l'essentiel est ailleurs et bien entendu symbolique
Alors je nomme cette rencontre vélocipédique : la balade de Patrick MALBEC
et je pose une première proposition de date : le samedi 16 septembre 2017
Je crois me souvenir, d'un seul coup, que nous avions effectué tout ou partie de ce parcours, GIOVANNI et moi (en 2011 ou 2012 )
Les seules modifications sur ce parcours depuis, c'est la création du complexe du lac de Passeligne, de la piste cyclable qui y mène depuis Agen et l'ouverture du Café vélo dans l'ancienne station de pompage restaurée (une restauration industrielle fort réussie).
Bon, alors je sais pas ce qu'il m'arrive, ce que je couve ou si c'est la canicule de ces derniers jours ... toujours est-il que de mon cerveau en surchauffe sortent des idées toutes plus farfelues les unes que les autres
Sur le plan strictement vélocipéficationnel, ça donne des trucs chelous (je parle couramment le "djeuns" ) comme, hum, des vieux clous "vintage" (j'ai le droit de cité mes puristes en follis lyonnais : j'ai collé les guillemets kivonbien ) transformés et re-transformés au gré de mes humeurs changeantes (mouais, on verra ça plus tard dans d'autres sujets dédiés ).
Mais ya un aut' truc qui taraude ma coenne : ça fait quelques années (déjà ) que je veux organiser une sorte de rassemblement hommage à un personnage hors norme, trop tôt disparu (en 2004, à l'âge de 42 ans).
Et je crois que je tiens l'idée
Comme c'était un gazier convivial et qui entraînait derrière lui une masse de gens qu'il faisait rêver (meuh non, c'était certainement pas un gourou, juste un animateur sportif ) et qu'il aimait le vélo et l'histoire de l'Agenais, j'ai soudain imaginé une balade (alimentant ma ballade de troubadour gascon ) autour de cet Agenais qu'il chérissait
Alors l'idée qu'elle est simple comme b..b..bon...jjjour, c'est de reprendre mon Tour d'Agen-Boé, soit environ vingt-cinq petits kilomètres sur le plat de la vallée de Garonne avec une partie de voie verte le long du canal de Garonne et l'autre le long du fleuve
Autant vous dire qu'à un rythme de sénateur en goguette et avec quelques pauses ainsi qu'un pique-nique au milieu, ça se fait avec un minivélo d'autrefois sans aucune difficulté (c'est pas la Vélocéane non plus ).
Perso, je devrais faire ce parcours au guidon d'une randonneuse des 50's ... mais j'en ai déjà trop dit
L'autre idée, c'est que cette mini balade doit être ouverte à tous et totalement gratuite, chacun la faisant en autonomie car c'est dans cet esprit que nous avons oeuvré ensemble pendant douze années, Patrick et moi (el Marco : c'est ainsi qu'il m'interpellait, vous savez tout maintenant ). Le repas de midi ? Une sorte d'auberge espagnole où chacun tire de ses sacoches en vieux cuir des victuailles qu'il aime et on met tout ou partie en commun. C'est un peu (beaucoup) ce que nous avions fait lors de la sortie de dame Kita en avril 2011 et ma foi, le concept avait été bien sympa
Quand ? Vers la mi-septembre, un samedi ou un dimanche.
Je gage que pour la version d'essai de 2017, il n'y aura que trois ou quatre cyclistes dans le meilleur des cas mais l'essentiel est ailleurs et bien entendu symbolique
Alors je nomme cette rencontre vélocipédique : la balade de Patrick MALBEC
et je pose une première proposition de date : le samedi 16 septembre 2017
Je crois me souvenir, d'un seul coup, que nous avions effectué tout ou partie de ce parcours, GIOVANNI et moi (en 2011 ou 2012 )
Les seules modifications sur ce parcours depuis, c'est la création du complexe du lac de Passeligne, de la piste cyclable qui y mène depuis Agen et l'ouverture du Café vélo dans l'ancienne station de pompage restaurée (une restauration industrielle fort réussie).
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Bonjour,
il y à longtemps que je suis tes petites élucubrations vélocipédiformes de gascoun! Tes petits délire et bien d'autre sur le forum me donne envie de grimpé quelques cols mythique moi aussi ! du genre le Tourmalet, le mont ventoux etc mais il faudra d'abord que je m’entraîne à gravir des pentes à 12 % et plus, le tout sur plusieurs kilomètres, et que je trouve un pédalier plus adapter que mon 52 - 42 . en tout cas continue a nous conter tes petit délire de LOU GASCOUN
il y à longtemps que je suis tes petites élucubrations vélocipédiformes de gascoun! Tes petits délire et bien d'autre sur le forum me donne envie de grimpé quelques cols mythique moi aussi ! du genre le Tourmalet, le mont ventoux etc mais il faudra d'abord que je m’entraîne à gravir des pentes à 12 % et plus, le tout sur plusieurs kilomètres, et que je trouve un pédalier plus adapter que mon 52 - 42 . en tout cas continue a nous conter tes petit délire de LOU GASCOUN
En rythme, dans l'ordre et en silence, tu rouleras !
La bicyclette, c'est comme le vélo ça ne s'oublie pas. Yann Le Quellec
Réveille le blaireau qui sommeille en toi, pour devenir ton propre Bernard Hinault ! roule Bernard, roule ! Bernard Hinault, dans, Le Quepa sur La Vilni !
La bicyclette, c'est comme le vélo ça ne s'oublie pas. Yann Le Quellec
Réveille le blaireau qui sommeille en toi, pour devenir ton propre Bernard Hinault ! roule Bernard, roule ! Bernard Hinault, dans, Le Quepa sur La Vilni !
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Merci cher Soulfrog ... et c'est avec un plaisir non dissimulé que je continue mes élucubrations entamées en 2010 sur le fofo et en janvier 2011 dans ce sujet abscons
Tiens ! Comme tu mords au truc (je veux parler des pentes montagnardes prises à contresens (en montée, quoi ), ça me fait penser à mes débuts dans les Pyrénées.
Ben y z'ont démarré fort tard puisque mon tout premier col, je l'ai grimpé lors de l'été 2007 au guidon de mon ... beurk, pouah, pouah ... vélo carbone US, honni par tant d'entre vous, puristes de la templitude inquisitoire
(faut bien avouer que les vestiges de ma "rébellion infantile" vont se nicher dans la "narguerie" de l'ordre établi, quel qu'il soit, ce qui, vous en conviendrez, n'est pas bien méchant ).
J'avais pas un pélo d'expérience (montagnarde) et ma prépa était plus que sommaire. Ben j'en ai chi£, mais d'une force
Pour les spécialistes de la spécialité pyrénéenne, le col du Portillon depuis Saint Mamet ("banlieue" de Luchon) : ça vous parle ?
C'est bien simple, les quelques mètres de "faux-plat" de ce col ousque j'avais l'impression fugace" de moins souffrir, c'était l'équivalent des "murs" les plus durs dans mes côtes agenaises
En définitive, lorsque l'on a un bagage technique proche du néant (pas derthal pour autant ) comme lou gascoun (qui le revendique haut et fort ), ben faut avoir l'arme fatale dans sa besace
L'arme quoi Ben une vraie tête de onc, mon pote. Sinon, tu montes pas jusqu'en haut
Combien de fois ai-je pensé "ça fait trop mal : J'ARRÊTE " et pourtant ... une tête de onc (des origines croisées de gascon coupé de basque, d'auvergnat, de breton et de je ne sais trop quoi encore )
Brêfle, j'ai toujours mis un point d'honneur (imbécile voire suicidaire ) à terminer chaque montée quoi qu'il en coûte
AHUM ! Euuuh ... en fait, pas tout à fait
A quelques encablures de Luchon, y avait une côte qu'elle m'a nargué grave : celle d'Artigue
Pas un col car à peine plus longue que les cinq bornes de l'Aspinou (col d'Aspin depuis Payolle) mais un pourcentage fort indigeste pour les mastodontes de 90Kg comme votre serviteur.
En 2007 donc, fort de ma victoire sur le Portillon puis la montée de Superbagnères (18 km bien velus), je pensais, bien ingénument, que cette côtelette n'allait pas faire un pli : ET BEN
1,5 km de montée jusqu'au premier virage en épingle et ... pied à terre, la patate au rupteur, la cheutron qui tournoie et la vision brouillée pire que des oeufs
En 2008 : rebelotte au même endroit
En 2009, pas de montagne (juste un Arcachon - Biscarosse A/R )
Et ce n'est qu'en 2010 avec un bon paquet de côtes d'entraînement au compteur et surtout 3 kg en moins que j'ai pu me hisser tant bien que mal jusqu'à ce village mythique
to be continued ...
Tiens ! Comme tu mords au truc (je veux parler des pentes montagnardes prises à contresens (en montée, quoi ), ça me fait penser à mes débuts dans les Pyrénées.
Ben y z'ont démarré fort tard puisque mon tout premier col, je l'ai grimpé lors de l'été 2007 au guidon de mon ... beurk, pouah, pouah ... vélo carbone US, honni par tant d'entre vous, puristes de la templitude inquisitoire
(faut bien avouer que les vestiges de ma "rébellion infantile" vont se nicher dans la "narguerie" de l'ordre établi, quel qu'il soit, ce qui, vous en conviendrez, n'est pas bien méchant ).
J'avais pas un pélo d'expérience (montagnarde) et ma prépa était plus que sommaire. Ben j'en ai chi£, mais d'une force
Pour les spécialistes de la spécialité pyrénéenne, le col du Portillon depuis Saint Mamet ("banlieue" de Luchon) : ça vous parle ?
C'est bien simple, les quelques mètres de "faux-plat" de ce col ousque j'avais l'impression fugace" de moins souffrir, c'était l'équivalent des "murs" les plus durs dans mes côtes agenaises
En définitive, lorsque l'on a un bagage technique proche du néant (pas derthal pour autant ) comme lou gascoun (qui le revendique haut et fort ), ben faut avoir l'arme fatale dans sa besace
L'arme quoi Ben une vraie tête de onc, mon pote. Sinon, tu montes pas jusqu'en haut
Combien de fois ai-je pensé "ça fait trop mal : J'ARRÊTE " et pourtant ... une tête de onc (des origines croisées de gascon coupé de basque, d'auvergnat, de breton et de je ne sais trop quoi encore )
Brêfle, j'ai toujours mis un point d'honneur (imbécile voire suicidaire ) à terminer chaque montée quoi qu'il en coûte
AHUM ! Euuuh ... en fait, pas tout à fait
A quelques encablures de Luchon, y avait une côte qu'elle m'a nargué grave : celle d'Artigue
Pas un col car à peine plus longue que les cinq bornes de l'Aspinou (col d'Aspin depuis Payolle) mais un pourcentage fort indigeste pour les mastodontes de 90Kg comme votre serviteur.
En 2007 donc, fort de ma victoire sur le Portillon puis la montée de Superbagnères (18 km bien velus), je pensais, bien ingénument, que cette côtelette n'allait pas faire un pli : ET BEN
1,5 km de montée jusqu'au premier virage en épingle et ... pied à terre, la patate au rupteur, la cheutron qui tournoie et la vision brouillée pire que des oeufs
En 2008 : rebelotte au même endroit
En 2009, pas de montagne (juste un Arcachon - Biscarosse A/R )
Et ce n'est qu'en 2010 avec un bon paquet de côtes d'entraînement au compteur et surtout 3 kg en moins que j'ai pu me hisser tant bien que mal jusqu'à ce village mythique
to be continued ...
Entraînements scientifiques !
AH NON !
Juste un intermède : mon entraînement actuel en vue de me coltiner une troisième fois (jamais 203 ... Peugeot de Colombo ) le Tourmalet himself (enfin oui : itself ) :
Juste un intermède : mon entraînement actuel en vue de me coltiner une troisième fois (jamais 203 ... Peugeot de Colombo ) le Tourmalet himself (enfin oui : itself ) :
Marco l'Agenès et la montagne
Pour le courageux Soulfrog et tous les Tontons qui ne sont pas d'anciens coureurs blanchis sous le harnois avec une expérience encyclopédique de la chose vélocipédique, je dirai ceci :
la montagne à vélo : le poids c'est l'ennemi !
on n'a pas tous un corps d'athlète ni un morphotype de crevette famélique "à la Froome" et encore moins une science de la bicyclette issue d'une expérience séculaire acquise sur les rubans asphaltés de notre doulce France, hein
Alors, que faire ?
Ben déjà ne pas se prendre pour un coureur !
ça, c'est le genre de truc qui t'oblige à dépasser tes maigres limites à une vitesse supersonique et tu peux y laisser tes plumes, ta peau, ta pendule et tout le reste
Si tu clabotes pas au bord de la route, c'est que le dieu des cyclistes te tiens dans sa grosse main caleuse ... mais faut pas trop forcer le destin non plus
Alors, que faire ( bis repetita )
Z'allez rigoler dans votre vieille barbe, band of cyclosportifs vétérans, mais je me lance quand même :
partez déjà des préceptes de Vélocio qui me semblent frappés à l'aune du bon sens (près de chez vous )
Pour des touristes comme nous autres qui ne serons jamais, au grand jamais, des crevettes de compète, c'est déjà un bon départ pour ne pas prendre de risques "un con sidéré" et ne pas s'écoeurer définitivement (pour ne pas dire "à vie") du vélo en montagne voire du vélo tout court
Tiens ! Une provoc' à deux balles qui pourrait me valoir une excommunication directe : pour les ceuss qui flippent leur race à l'idée de souffrir le martyr dans des côtes aussi pentues qu'interminables, je leur conseille ... le vélo électrique !!!
Voui, voui Je persiste et je signe, votre horreur
Plutôt que de t'exploser la pendule dans un sursaut d'orgueil très mal placé, ben tu loues un de ces merveilleux jouets et tu montes en souplesse en admirant (un peu, hein, ya quand même quelques menus efforts à fournir ) le magnifique paysage qui t'entoure.
Je rencontre de plus en plus de couples bien affûtés avec l'expérience de grandes cyclosportives (l'Ariègeoise ...) mais qui se font plaisir avec des vélos électrifiés sans honte et sans regrets
Après, si vous voulez allier le trip vintage à la pratique montagnarde, en dehors d'une préparation longue et fastidieuse et d'un régime alimentaire horrible à respecter (et impossible dans notre pays "gastronomique" ), ya quand même une piste à explorer :
la démultiplication
Perso, j'ai voulu respecter mon rêve de monter l'Aspin(ou) au guidon de mon Gitane "79 mHz" en config' "presque d'origine", ce qui aurait impliqué un 42 x 24 (dents : plateau/pignon) suicidaire. Finalement, j'ai accompli mon rêve de jeunesse en 42 x 26 ... mais avec plus de 2.000 bornes d'entraînements et près de 300 côtes ... et malgré cette préparation surveillée par un éduc' sportif, ben j'avais grâââve les miquettes lorsque je me suis élancé
Alors ... la démultiplication ?
Un ch'tit plateau de trente quenottes et déjà t'as défriché les trois quarts du 'blème, mon poulet
Pour les pignons, j'ai réussi à atteindre le Tourmalet qu'est pas vraiment tendre pour les "amateurs" comme ma pomme , avec un 24 dents la première fois.
Mais pour la deuxième tentative, si je n'avais pas eu un 27 dents (en mai 2017), ben avec la condition physique d'huître pas fraîche qui était la mienne, jamais je n'aurais réussi mon pari fou
Et là, tel que vous me voyez, chers Tontons cosmopolites, je me prépare un "coursier" pré-1980 avec juste un aménagement "moderne" dérailleur/ cassette qui doit me permettre d'emmener un zouli 30 x 28
Avec un combo cadre / fourche full Reynolds et des périphériques légers (du 3TTT, du Belleri et j'en passe ...), le cocktail devrait s'avérer sympa ... et efficace
30 x 28, je connaissais déjà car c'est la démultiplication que j'avais sur mon VTC Gitane de 1995 : la première fois que j'ai gravi un raidillon, j'ai bien failli me retourner, carrément
Brêfle, pour les" 40 tonne"s comme lou gascoun, une démultiplication bien bien courte sauve les apparences et permet d'accomplir de fabuleux exploits montagnards ... même si je me fais larguer par tous les cyclistes de la terre
M'en fous velu Mon plaisir est ailleurs
la montagne à vélo : le poids c'est l'ennemi !
on n'a pas tous un corps d'athlète ni un morphotype de crevette famélique "à la Froome" et encore moins une science de la bicyclette issue d'une expérience séculaire acquise sur les rubans asphaltés de notre doulce France, hein
Alors, que faire ?
Ben déjà ne pas se prendre pour un coureur !
ça, c'est le genre de truc qui t'oblige à dépasser tes maigres limites à une vitesse supersonique et tu peux y laisser tes plumes, ta peau, ta pendule et tout le reste
Si tu clabotes pas au bord de la route, c'est que le dieu des cyclistes te tiens dans sa grosse main caleuse ... mais faut pas trop forcer le destin non plus
Alors, que faire ( bis repetita )
Z'allez rigoler dans votre vieille barbe, band of cyclosportifs vétérans, mais je me lance quand même :
partez déjà des préceptes de Vélocio qui me semblent frappés à l'aune du bon sens (près de chez vous )
Pour des touristes comme nous autres qui ne serons jamais, au grand jamais, des crevettes de compète, c'est déjà un bon départ pour ne pas prendre de risques "un con sidéré" et ne pas s'écoeurer définitivement (pour ne pas dire "à vie") du vélo en montagne voire du vélo tout court
Tiens ! Une provoc' à deux balles qui pourrait me valoir une excommunication directe : pour les ceuss qui flippent leur race à l'idée de souffrir le martyr dans des côtes aussi pentues qu'interminables, je leur conseille ... le vélo électrique !!!
Voui, voui Je persiste et je signe, votre horreur
Plutôt que de t'exploser la pendule dans un sursaut d'orgueil très mal placé, ben tu loues un de ces merveilleux jouets et tu montes en souplesse en admirant (un peu, hein, ya quand même quelques menus efforts à fournir ) le magnifique paysage qui t'entoure.
Je rencontre de plus en plus de couples bien affûtés avec l'expérience de grandes cyclosportives (l'Ariègeoise ...) mais qui se font plaisir avec des vélos électrifiés sans honte et sans regrets
Après, si vous voulez allier le trip vintage à la pratique montagnarde, en dehors d'une préparation longue et fastidieuse et d'un régime alimentaire horrible à respecter (et impossible dans notre pays "gastronomique" ), ya quand même une piste à explorer :
la démultiplication
Perso, j'ai voulu respecter mon rêve de monter l'Aspin(ou) au guidon de mon Gitane "79 mHz" en config' "presque d'origine", ce qui aurait impliqué un 42 x 24 (dents : plateau/pignon) suicidaire. Finalement, j'ai accompli mon rêve de jeunesse en 42 x 26 ... mais avec plus de 2.000 bornes d'entraînements et près de 300 côtes ... et malgré cette préparation surveillée par un éduc' sportif, ben j'avais grâââve les miquettes lorsque je me suis élancé
Alors ... la démultiplication ?
Un ch'tit plateau de trente quenottes et déjà t'as défriché les trois quarts du 'blème, mon poulet
Pour les pignons, j'ai réussi à atteindre le Tourmalet qu'est pas vraiment tendre pour les "amateurs" comme ma pomme , avec un 24 dents la première fois.
Mais pour la deuxième tentative, si je n'avais pas eu un 27 dents (en mai 2017), ben avec la condition physique d'huître pas fraîche qui était la mienne, jamais je n'aurais réussi mon pari fou
Et là, tel que vous me voyez, chers Tontons cosmopolites, je me prépare un "coursier" pré-1980 avec juste un aménagement "moderne" dérailleur/ cassette qui doit me permettre d'emmener un zouli 30 x 28
Avec un combo cadre / fourche full Reynolds et des périphériques légers (du 3TTT, du Belleri et j'en passe ...), le cocktail devrait s'avérer sympa ... et efficace
30 x 28, je connaissais déjà car c'est la démultiplication que j'avais sur mon VTC Gitane de 1995 : la première fois que j'ai gravi un raidillon, j'ai bien failli me retourner, carrément
Brêfle, pour les" 40 tonne"s comme lou gascoun, une démultiplication bien bien courte sauve les apparences et permet d'accomplir de fabuleux exploits montagnards ... même si je me fais larguer par tous les cyclistes de la terre
M'en fous velu Mon plaisir est ailleurs
Pré-pas scientifique du tout !!!
Bon ben pour une préparation physico-technique, vous repasserez avec lou gascoun, mes pôv' Tontons désabusés devant tant de désinvolture
el Marco, y voudrait bien se préparer pour les cols de septembre. Mais l'été passe par là avec son lot d'invitations que l'on ne peut pas refuser (on est dans le "sutouest" malheureux ! Si tu manges pas c'est que t'es malade mon pote ).
Alors autant vous avouer qu'après des débuts prometteurs en termes de régime méditerranéen et - 1,5 kg de gagné ou perdu, selon comment tu vois le truc, ben ça stagne méchant dans la lutte farouche contre les kilos sournois
Bon, la bonne nouvelle quand même, c'est que j'ai pu reprendre le vélo quasi quotidiennement et qu'à raison d'une côte par sortie, les jambonneaux retrouvent leur forme galbée ... enfin une forme plus appropriée aux ascensions
Mais, mes chers Tontons§Tatas, les Pyrénées sont encore loin d'être gagnées, ça, c'est sûr
De plus, hormis le manque cruel de condition, ya encore les innombrables tergiversations qui m'empêchent de finaliser mon cycle "vintage" pour me péter le Tourmalet "à l'ancienne" (enfin ... en mode 70's ).
Alors ? Gitane "historique" ou autre biclou ancien ?
Je crois que je pencherais pour mon bon vieux Gitane 79 mHz (mais de 1980 ) reconditionné puis adapté aux côtes montagnardes et à mon poids plume a seguir ...
el Marco, y voudrait bien se préparer pour les cols de septembre. Mais l'été passe par là avec son lot d'invitations que l'on ne peut pas refuser (on est dans le "sutouest" malheureux ! Si tu manges pas c'est que t'es malade mon pote ).
Alors autant vous avouer qu'après des débuts prometteurs en termes de régime méditerranéen et - 1,5 kg de gagné ou perdu, selon comment tu vois le truc, ben ça stagne méchant dans la lutte farouche contre les kilos sournois
Bon, la bonne nouvelle quand même, c'est que j'ai pu reprendre le vélo quasi quotidiennement et qu'à raison d'une côte par sortie, les jambonneaux retrouvent leur forme galbée ... enfin une forme plus appropriée aux ascensions
Mais, mes chers Tontons§Tatas, les Pyrénées sont encore loin d'être gagnées, ça, c'est sûr
De plus, hormis le manque cruel de condition, ya encore les innombrables tergiversations qui m'empêchent de finaliser mon cycle "vintage" pour me péter le Tourmalet "à l'ancienne" (enfin ... en mode 70's ).
Alors ? Gitane "historique" ou autre biclou ancien ?
Je crois que je pencherais pour mon bon vieux Gitane 79 mHz (mais de 1980 ) reconditionné puis adapté aux côtes montagnardes et à mon poids plume a seguir ...
Retour de manivelles pour l'Agenès !
Bon, hé ! Comme me le disait de manière fort triviale un fournisseur de ma période "Robin des bois" : " on va pas s'la mordre, hein ! "
Ben là, pour lou gascoun le plus fondu de tous les plombs au "sutouest" de Garonne, ya quand même de quoi
Y veut pas jouer les Caliméro de service l'gouyat ... mais la période n'est pas franchement favorable
ça fait rien ! Aujourd'hui je me suis affranchi d'un quotidien fort morose en m'échappant avec mon "destrier carbonisé" (qui n'est pas un canasson qu'aurait pris la foudre ) et j'me suis fait la côte de l'Ermitage.
Z'en battez l'oeil, mes Tontons désabusés, mais atteeeendez !!! Z'énervez pas çakom sinon walou pour une paisible retraite.
Le coteau de l'Ermitage surplombe la ville d'Aginum chez nos ancêtres les gaulois qui s'appelaient plutôt Nitiobriges dans l'coin et qui se sont pas gênés pour jouer un tour de onc à Julius Caesar himself (c'était des sortes de Talleyrand gallo romains) ... bon, Ok, z'en battez le coquillard à c't'heure
Alors, pour les fondus de l'élévation, non pas spirituelle comme le suggère l'endroit (un véritable ermitage dans la falaise avec un saint reconnu par Rome mais dont j'ai momentanément oublié le blase, mécréant que je suis ), mais "à la force du jarret", cette côte qui doit pas faire ses deux kilomètres, a pour particularité d'être composée de pourcentages velus qui dépassent dans l'ensemble de leur oeuvre les 10% (et ya pas de remise ). Autant dire que pour bibi, c'est "à gauche toute ! " concernant les rapports (mêm' pas protégés ).
Ben là, faut bien avouer que j'ai grâââve pleuré ma reum : en haut, j'ai ressenti ce mauvais signe de "serrage de mes entrailles" que j'aime mais alors pas du tout dans les côtes et autres cols légèrement montagneux.
ça fait rien (bis) ! La pendule (mais si ! Tu sais : cette espèce de muscle qui bat la chamade dans ta poitrine au moindre effort ) est d'airain dans la el Marco family, alors on s'appuie fortement dessus pour accomplir des "exploits à la onc" qui feraient hurler à la mort un congrès de bons vieux médecins des familles
Les cuissots ? Ma foi, pas de crampes à l'horizon ... mais pour les courbatures, bonsoir Clara, alors que vôt' pôv' Marco l'est consciencieux sur les temps de repos , les étirements, l'hydratation et tout le toutim
Les effets bénéfiques de l'âge peut-être ? NAAN ! J'déconne ! Reviendez, j'ai pas fini !
Ben si finalement, j'ai fini : vous pouvez reprendre une vie normale
Ben là, pour lou gascoun le plus fondu de tous les plombs au "sutouest" de Garonne, ya quand même de quoi
Y veut pas jouer les Caliméro de service l'gouyat ... mais la période n'est pas franchement favorable
ça fait rien ! Aujourd'hui je me suis affranchi d'un quotidien fort morose en m'échappant avec mon "destrier carbonisé" (qui n'est pas un canasson qu'aurait pris la foudre ) et j'me suis fait la côte de l'Ermitage.
Z'en battez l'oeil, mes Tontons désabusés, mais atteeeendez !!! Z'énervez pas çakom sinon walou pour une paisible retraite.
Le coteau de l'Ermitage surplombe la ville d'Aginum chez nos ancêtres les gaulois qui s'appelaient plutôt Nitiobriges dans l'coin et qui se sont pas gênés pour jouer un tour de onc à Julius Caesar himself (c'était des sortes de Talleyrand gallo romains) ... bon, Ok, z'en battez le coquillard à c't'heure
Alors, pour les fondus de l'élévation, non pas spirituelle comme le suggère l'endroit (un véritable ermitage dans la falaise avec un saint reconnu par Rome mais dont j'ai momentanément oublié le blase, mécréant que je suis ), mais "à la force du jarret", cette côte qui doit pas faire ses deux kilomètres, a pour particularité d'être composée de pourcentages velus qui dépassent dans l'ensemble de leur oeuvre les 10% (et ya pas de remise ). Autant dire que pour bibi, c'est "à gauche toute ! " concernant les rapports (mêm' pas protégés ).
Ben là, faut bien avouer que j'ai grâââve pleuré ma reum : en haut, j'ai ressenti ce mauvais signe de "serrage de mes entrailles" que j'aime mais alors pas du tout dans les côtes et autres cols légèrement montagneux.
ça fait rien (bis) ! La pendule (mais si ! Tu sais : cette espèce de muscle qui bat la chamade dans ta poitrine au moindre effort ) est d'airain dans la el Marco family, alors on s'appuie fortement dessus pour accomplir des "exploits à la onc" qui feraient hurler à la mort un congrès de bons vieux médecins des familles
Les cuissots ? Ma foi, pas de crampes à l'horizon ... mais pour les courbatures, bonsoir Clara, alors que vôt' pôv' Marco l'est consciencieux sur les temps de repos , les étirements, l'hydratation et tout le toutim
Les effets bénéfiques de l'âge peut-être ? NAAN ! J'déconne ! Reviendez, j'ai pas fini !
Ben si finalement, j'ai fini : vous pouvez reprendre une vie normale
PROCRASTINATION
Procrastination : en fait, c'est remettre au lendemain ce qu'on pourrait (devrait ) faire le jour-même.
Ben c'est la maladie qui frappe el Marco ... avec ça, va programmer un entraînement scientifique toi
M'enfin, j'ai des circonstances exténuantes Votre Horreur :
lou gascoun fait partie de ces genss (prononcer les "s" à la gasconne SVP) qui ne peuvent se permettre le luxe de trop programmer ni de prévoir à l'avance
Pourquoi T'en as des questions qu'elles sont bonnes, tôa
Ben nôt' Seigneur qu'il est grand dans Sa Magnificence se joue du pôv' mortel que je suis en prenant un malin plaisir à détourner de sa route tout ce que j'entreprends : si ! si ! J't'assure Tonton zou Tata dubitatif(ve)
C'est idem dans l'taf' : mes planifs se retrouvent foulées aux pieds en moins de temps que prendrait un bègue pour dire " b..b...bon...jour !!!"
Du coup, l'impro est mon amie ... et je ne m'en porte pas plus mal ça m'évitera probablement de finir "psychorigide" (rigide oui, mais pas psycho ).
Alors dans ces conditions fort particulières, vous comprenez chers adeptes du pédalier cracouillant (naaan, attendez, j'déc*nne ! Je sais bien chers puristes que vos roulements tournent dans la soie la plus diaphane ), que ma prépa "cols des Pyrénées" ressemble à un joyeux capharnaüm avec juste un p(n)eu de vélo dedans
Y me reste à peine quat' pôv' semaines pour me préparer avant l'Aspinou, la Hourquette, le Tourmalet ainsi que tous ceux qui voudront bien de ma carcasse et je suis loiiiiiiin d'être affûté
M'en fous ! Il me reste des cannes pas trop pourries (j'ai quand même gravi quelques côtes agenaises) et un palpitant qui pulse pas trop mal. Avec ça et un peu de mental (en forme de "tête de onc" ) ça devrait le faire une fois de plus
Et pis, hein, j'suis pas comme vous, band of crevettes acérées au mollet superbement dessiné, je tire pas lourd : je mouline pire qu'un moulin à caoua. Pour te dire, je vais grimper avec un 30 x 28 bien bricolé (à la Gaston Lagaffe ) et ça fera la blague
Et, gâteau sous la griotte, cet équipage sera "vintage" (les guillemets pour ne pas périr sur le bûcher ) ... ou ne sera pas
Ben c'est la maladie qui frappe el Marco ... avec ça, va programmer un entraînement scientifique toi
M'enfin, j'ai des circonstances exténuantes Votre Horreur :
lou gascoun fait partie de ces genss (prononcer les "s" à la gasconne SVP) qui ne peuvent se permettre le luxe de trop programmer ni de prévoir à l'avance
Pourquoi T'en as des questions qu'elles sont bonnes, tôa
Ben nôt' Seigneur qu'il est grand dans Sa Magnificence se joue du pôv' mortel que je suis en prenant un malin plaisir à détourner de sa route tout ce que j'entreprends : si ! si ! J't'assure Tonton zou Tata dubitatif(ve)
C'est idem dans l'taf' : mes planifs se retrouvent foulées aux pieds en moins de temps que prendrait un bègue pour dire " b..b...bon...jour !!!"
Du coup, l'impro est mon amie ... et je ne m'en porte pas plus mal ça m'évitera probablement de finir "psychorigide" (rigide oui, mais pas psycho ).
Alors dans ces conditions fort particulières, vous comprenez chers adeptes du pédalier cracouillant (naaan, attendez, j'déc*nne ! Je sais bien chers puristes que vos roulements tournent dans la soie la plus diaphane ), que ma prépa "cols des Pyrénées" ressemble à un joyeux capharnaüm avec juste un p(n)eu de vélo dedans
Y me reste à peine quat' pôv' semaines pour me préparer avant l'Aspinou, la Hourquette, le Tourmalet ainsi que tous ceux qui voudront bien de ma carcasse et je suis loiiiiiiin d'être affûté
M'en fous ! Il me reste des cannes pas trop pourries (j'ai quand même gravi quelques côtes agenaises) et un palpitant qui pulse pas trop mal. Avec ça et un peu de mental (en forme de "tête de onc" ) ça devrait le faire une fois de plus
Et pis, hein, j'suis pas comme vous, band of crevettes acérées au mollet superbement dessiné, je tire pas lourd : je mouline pire qu'un moulin à caoua. Pour te dire, je vais grimper avec un 30 x 28 bien bricolé (à la Gaston Lagaffe ) et ça fera la blague
Et, gâteau sous la griotte, cet équipage sera "vintage" (les guillemets pour ne pas périr sur le bûcher ) ... ou ne sera pas
HOMMAGE(S) AUX PATRIC(K) !
Ah oui, j'oubliais ...
Je vous disais plus haut que je ne pouvais pas programmer quoi que ce soit sans que des événements surprenants (on va dire ça comme ça ) ne viennent tout bouleverser
Du coup, les hommages que je souhaitais faire à Patrick et Niisku (Patric, si je ne m'abuse ) vont trouver un lieu pas commun du tout ... bien qu'en commun
Ne pouvant organiser de rassemblement vélocipédique sur mes bonnes vieilles terres agenaises (à l'image, par exemple, de la superbe organisation d'un certain Chef de gare : j'y suis d'autant plus sensible que mon papy à moi était ... sous-chef de la gare d'Agen ) pour des raisons familiales et ne pouvant (presque) plus m'éloigner hormis les une ou deux semaines de vraies vacances dans les Pyrénées (trèèès belle compensation, j'en conviens ), j'ai décidé en accord avec moi-même et après délibération fort tardive (put...naise, la longueur de c'te phrase !!! ça frôle le "Guiness" ) de rendre hommage à ces deux êtres d'exception dont les prénoms se ressemblent, en grimpant pour eux Sa Majesté Tourmalet sur mon cycle "vintage" (vous pouvez respirez ).
Et tant qu'on y est, y aura du tricolore (genre "bleu, blanc, rouge ... et des frites", hein Marcel Amont) sur mon biclou pour respecter l'autre hommage, à la liberté, en ces périodes troubles ... que j'avais un poil oublié
Voilà, c'est dit ... et cochon qui s'en dédit
Je vous disais plus haut que je ne pouvais pas programmer quoi que ce soit sans que des événements surprenants (on va dire ça comme ça ) ne viennent tout bouleverser
Du coup, les hommages que je souhaitais faire à Patrick et Niisku (Patric, si je ne m'abuse ) vont trouver un lieu pas commun du tout ... bien qu'en commun
Ne pouvant organiser de rassemblement vélocipédique sur mes bonnes vieilles terres agenaises (à l'image, par exemple, de la superbe organisation d'un certain Chef de gare : j'y suis d'autant plus sensible que mon papy à moi était ... sous-chef de la gare d'Agen ) pour des raisons familiales et ne pouvant (presque) plus m'éloigner hormis les une ou deux semaines de vraies vacances dans les Pyrénées (trèèès belle compensation, j'en conviens ), j'ai décidé en accord avec moi-même et après délibération fort tardive (put...naise, la longueur de c'te phrase !!! ça frôle le "Guiness" ) de rendre hommage à ces deux êtres d'exception dont les prénoms se ressemblent, en grimpant pour eux Sa Majesté Tourmalet sur mon cycle "vintage" (vous pouvez respirez ).
Et tant qu'on y est, y aura du tricolore (genre "bleu, blanc, rouge ... et des frites", hein Marcel Amont) sur mon biclou pour respecter l'autre hommage, à la liberté, en ces périodes troubles ... que j'avais un poil oublié
Voilà, c'est dit ... et cochon qui s'en dédit
La ballade de Marco l'Agenès va-t-elle s'arrêter ?
PUNAISE
Je reviens vous emboucaner car je suis tombé sur une "polémique" concernant l'âge supposé d'un vélo qui serait de ... 1980
Certains gardiens du Temple ont prévenu que ce vélo et son sujet dédié était hors charte et allaient être supprimés. Ce faisant, ils sont éééévidemment dans la logique du fofo, ya aucun doute là dessus.
Mais du coup, les gus comme moi, qui suis depuis le début border line vélocipédiquement parlant avec mon Gitane 1980 et les affreux sales et méchants tréteaux en carbone mêm' pas franchouilles, comment qu'on se situe
Bon, Ok, dans la rubrique "vos vieux vélos" ... d'avant 1980, je comprendrais que mon sujet "Gitane 79mHz" dans lequel je vous révèle, la au front, qu'après enquête un peu plus sérieuse, le "79" s'est révélé être un "80", qu'il soit éradiqué, tel un porteur de la peste vélo-post-70's, là Ok.
Mais que faire de tous ces récits de voyages sur des cycles hors charte, les DKT, les VTT et VTC "de supermarché", les alus des 80's, les carbones "2000" (non, ce n'est pas un mirage )
Moi, je vous dis ça parce-que du coup j'ai vergogne de rendre hommage sur un vélo hors charte ... même si c'est de mêm' pas six mois : dura lex sed lex mes chers adeptes de la cyclerie rouillée aux mites.
Cela-dit, j'ai aussi des "col de cygne" dames (Cottereau et Courlis) des années 1900/1910 ... mais je me sens pas de grimper le Tourmalet avec
Du coup, je m'en remets à votre sagesse
Je reviens vous emboucaner car je suis tombé sur une "polémique" concernant l'âge supposé d'un vélo qui serait de ... 1980
Certains gardiens du Temple ont prévenu que ce vélo et son sujet dédié était hors charte et allaient être supprimés. Ce faisant, ils sont éééévidemment dans la logique du fofo, ya aucun doute là dessus.
Mais du coup, les gus comme moi, qui suis depuis le début border line vélocipédiquement parlant avec mon Gitane 1980 et les affreux sales et méchants tréteaux en carbone mêm' pas franchouilles, comment qu'on se situe
Bon, Ok, dans la rubrique "vos vieux vélos" ... d'avant 1980, je comprendrais que mon sujet "Gitane 79mHz" dans lequel je vous révèle, la au front, qu'après enquête un peu plus sérieuse, le "79" s'est révélé être un "80", qu'il soit éradiqué, tel un porteur de la peste vélo-post-70's, là Ok.
Mais que faire de tous ces récits de voyages sur des cycles hors charte, les DKT, les VTT et VTC "de supermarché", les alus des 80's, les carbones "2000" (non, ce n'est pas un mirage )
Moi, je vous dis ça parce-que du coup j'ai vergogne de rendre hommage sur un vélo hors charte ... même si c'est de mêm' pas six mois : dura lex sed lex mes chers adeptes de la cyclerie rouillée aux mites.
Cela-dit, j'ai aussi des "col de cygne" dames (Cottereau et Courlis) des années 1900/1910 ... mais je me sens pas de grimper le Tourmalet avec
Du coup, je m'en remets à votre sagesse
Ya toujours une solution au 'blème
Bon, après mûre réflexion et comme je souhaite vraiment rendre ce "multi-hommage", mêmes'il me reste trop peu de temps, je vais tenter de configurer un "coursier" (là aussi des guillemets pour ne choquer personne ) des 70's afin d'être raccord avec l'esprit du fofo.
exit donc, mon fidèle Gitane "79 mHz" de 1980 qui derechef va prendre une retraite bien méritée (quoi que ... une future restauration en "tout d'origine" replica ? J'ai même les roues "à boyos" Mavic semblables à celles d'origine )
Me rabattre sur le REGINA SPORT avec un aménagement "espécial" : le pédalier triple plateaux LAPRADE, pourrait représenter une alternative crédible, ins't it ?
OUICH ! Mais là où le bât blesse (j'suis un poil bourricot sur les bords ) c'est pour démonter le superbe pédalier TA 59D avec son pas de vis de 23,35 mm de M.......
J'ai pas d'extracteur avec ce pas-là moi
Du coup, va falloir que je me bidouille un arrache moyeux
Et pis, comme rien n'est simple en ce bas-monde, faut que je parvienne à "dessouder" la potence, probablement fixée par la rouille afin de la régler en hauteur.
Bon, pour le reste, va y avoir du matos 70's à tous les étages avec en guest star une superbe selle Idéale en cuir, un poil lourde certes, mais so vintage
Alors du coup, vous accepterez de suivre le périple du gascoun dans ses chères montagnes pyrénéennes
exit donc, mon fidèle Gitane "79 mHz" de 1980 qui derechef va prendre une retraite bien méritée (quoi que ... une future restauration en "tout d'origine" replica ? J'ai même les roues "à boyos" Mavic semblables à celles d'origine )
Me rabattre sur le REGINA SPORT avec un aménagement "espécial" : le pédalier triple plateaux LAPRADE, pourrait représenter une alternative crédible, ins't it ?
OUICH ! Mais là où le bât blesse (j'suis un poil bourricot sur les bords ) c'est pour démonter le superbe pédalier TA 59D avec son pas de vis de 23,35 mm de M.......
J'ai pas d'extracteur avec ce pas-là moi
Du coup, va falloir que je me bidouille un arrache moyeux
Et pis, comme rien n'est simple en ce bas-monde, faut que je parvienne à "dessouder" la potence, probablement fixée par la rouille afin de la régler en hauteur.
Bon, pour le reste, va y avoir du matos 70's à tous les étages avec en guest star une superbe selle Idéale en cuir, un poil lourde certes, mais so vintage
Alors du coup, vous accepterez de suivre le périple du gascoun dans ses chères montagnes pyrénéennes
TELEGRAMME EXPRESS
Bon, savez quoi ? ya pas plus naze qu'el Marco dans toute l'hexagonerie (en v'là un affreux barbarisme qu'il est bien affreux ).
Brêfle, mon projet "titanesque" de Regina sport triple foyer (ndr : sic ) prend l'eau de toutes parts
J'aurais dû me renseigner oun pélo màs avant de tirer des plans sur c'te pôv' comête qui passait par là
Après l'arrache moyeu faut un autre outli barbare pour ôter les cuvettes et apparemment, aux dires des spécialistes, il coûte, je les cite, "un rein".
Du coup, el Marco, courageux mais pas téméraire, va se rabattre sur une solution plus viable
Laquelle ? Si on te demande, tu réponds que tu sais pas
to be continued ...
Brêfle, mon projet "titanesque" de Regina sport triple foyer (ndr : sic ) prend l'eau de toutes parts
J'aurais dû me renseigner oun pélo màs avant de tirer des plans sur c'te pôv' comête qui passait par là
Après l'arrache moyeu faut un autre outli barbare pour ôter les cuvettes et apparemment, aux dires des spécialistes, il coûte, je les cite, "un rein".
Du coup, el Marco, courageux mais pas téméraire, va se rabattre sur une solution plus viable
Laquelle ? Si on te demande, tu réponds que tu sais pas
to be continued ...
La ballade de Marco l'Agenès prend un tour nouveau ...
Bon, hé ! Savez quoi band of frères et soeurs du père du fofo que nous avons en commun (j'veux causer de nôt' bon maît' Bruno qu'il est si bon pour supporter les turpitudes du gascoun )
Ya pas que les Pyrénées dans la vie du (el) Marco ... même si ce massif ancien, vintage oserai-je affirmer, sur le plan géologique s'entend, érodé comme ton vieil Alleluia (hosanna au plus haut des cieux), prend beaucoup de place dans la sphère psychique dévastée par tant de beauté du gascoun exilé trop longtemps en Guyenne (ben ouais, mes chers compatriotes, Agen n'est pas en Gascogne, faut traverser Garonne pour s'y retrouver ... ou s'y perdre ).
Ben parlons-en de la Guyenne
C'est un territoire qu'il renferme des trésors archéologiques, géologiques, botaniques, historiques, culinair... Berthe ! ça rime plus ... enfin, bref (si tu dis "comme Pépin" tu sors ), ya de quoi visiter et surtout se dépayser
Tu me crois pas, Tonton, Tata de peu de foi
Alors, comme le disait l'aut' psychopathe à Michel Strogoff : "Regarde de tous tes yeux, regarde !" ... sauf qu'il n'est pas question de vous brûler la rétine, malheureux Juste de tenter de vous éblouir
Bon, mais je désirerais juste éloigner les âmes sensibles car mes premières pérégrinations se feront sur une machine inspirée par Belzébuth himself : un ... je n'ose le prononcer en Français tellement je vais être voué aux pires gémonies (j'ai pas dit "belles-mères )
a carbon frame (un cadre en charbon avec plein de matières chimiques nauséabondes dedans ).
C'est chi*nt d'avoir à faire avec lou gascoun le plus liquéfié sur le plan cérébral de nôt bon hexagone, mais, mes bons apôtres de la purification vélociféroce, j'essaie de ne pas être trop sectaire. Et croyez-le, croyez-le pas, ça représente une sacrée gageure (prononcez "gajure" SVP ) en ce bas-monde
Et pis, comme je l'ai écrit au moins un bon million de fois : "Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse"
Cela-dit et parce-que la provocation gratuite n'est pas non plus ma came, il est bien évident qu'après des premiers tours de roues peu assurés, je m'engage à prendre un rythme de croisière sur quelques vélos anciens bien rouillés à la selle en peau de vache ... ou de taureau de combat en fin de journée pédalifiante
Alors, comme disait l'autre : "en route vers de nouvelles aventures !"
Ya pas que les Pyrénées dans la vie du (el) Marco ... même si ce massif ancien, vintage oserai-je affirmer, sur le plan géologique s'entend, érodé comme ton vieil Alleluia (hosanna au plus haut des cieux), prend beaucoup de place dans la sphère psychique dévastée par tant de beauté du gascoun exilé trop longtemps en Guyenne (ben ouais, mes chers compatriotes, Agen n'est pas en Gascogne, faut traverser Garonne pour s'y retrouver ... ou s'y perdre ).
Ben parlons-en de la Guyenne
C'est un territoire qu'il renferme des trésors archéologiques, géologiques, botaniques, historiques, culinair... Berthe ! ça rime plus ... enfin, bref (si tu dis "comme Pépin" tu sors ), ya de quoi visiter et surtout se dépayser
Tu me crois pas, Tonton, Tata de peu de foi
Alors, comme le disait l'aut' psychopathe à Michel Strogoff : "Regarde de tous tes yeux, regarde !" ... sauf qu'il n'est pas question de vous brûler la rétine, malheureux Juste de tenter de vous éblouir
Bon, mais je désirerais juste éloigner les âmes sensibles car mes premières pérégrinations se feront sur une machine inspirée par Belzébuth himself : un ... je n'ose le prononcer en Français tellement je vais être voué aux pires gémonies (j'ai pas dit "belles-mères )
a carbon frame (un cadre en charbon avec plein de matières chimiques nauséabondes dedans ).
C'est chi*nt d'avoir à faire avec lou gascoun le plus liquéfié sur le plan cérébral de nôt bon hexagone, mais, mes bons apôtres de la purification vélociféroce, j'essaie de ne pas être trop sectaire. Et croyez-le, croyez-le pas, ça représente une sacrée gageure (prononcez "gajure" SVP ) en ce bas-monde
Et pis, comme je l'ai écrit au moins un bon million de fois : "Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse"
Cela-dit et parce-que la provocation gratuite n'est pas non plus ma came, il est bien évident qu'après des premiers tours de roues peu assurés, je m'engage à prendre un rythme de croisière sur quelques vélos anciens bien rouillés à la selle en peau de vache ... ou de taureau de combat en fin de journée pédalifiante
Alors, comme disait l'autre : "en route vers de nouvelles aventures !"
Faux départ pour Marco l'Agenès
Ouais ben tu repasseras pour "en route vers de nouvelles aventures"
J't'avais prévu un programme millimétrique pour c't'aprem et ch'te jure, sur le papelard ça s'annonçait comme une tuerie
Ni plus ni moins qu'une reconnaissance, automobile certes, d'un tronçon de la vallée du Lot, précisément entre Fumel (Lot-et-Garonne) et Cahors (Lot).
J'allais te faire un ch'tit reportage photographique du feu de Zeus et vous auriez dû vous pâmer devant tant d'insoutenable beauté
Ben faut bien vous l'avouer, en un mot comme mêm' pas en cent (en sang peut-être ? ) : lou gascoun a fait chou blanc sur toute la ligne ... mais j'anticipe
Adoncque, je charge ma bicyclette carbonisée ... houla ! D'un seul coup d'un seul, j'viens de perdre l'écoute, j'veux dire la lecture bienveillante d'un pacson de Tontons furibards ... dans mon chevreau laid (encore une marque US )
et Berthe ! Z'avez qu'à faire preuve d'un p(n)eu d'imagination aussi ... du genre " je chargeai promptement mon Gitane Oympic dans ma Renautl 16 TS (ah oui, là y en a quelques uns qui ont un moucheron dans l'oeil tout à coup ), bref mon vélo dans le coffre de ma voiture et hardi petit ! Mêm' pas peur pour combler les soixante kilomètres qui me séparent géographiquement parlant de la bonne ville post industrielle de Fumel (dont les hauts fourneaux ne fument plus depuis longtemps ).
J'me gare sur un ch'tit parquinge bien bucolique, j'enfile prestement mes habits de lumière et j'enfourche mon fidèle Jolly Jumper version charbon pétrifié pour un périple monstrueux de ... ahum, une lieue
Et pour commencer en douceur, rien de mieux qu'une bonne vieille descente vers le Lot qui me tend les bras, là-bas en contrebas : Où vais-je (ou suis-je et dans quel état j'erre ?)
Vers un château médiéval qui n'en est pas un (ça vous avance vachement comme info, là ).
Mais en attendant d'atteindre le Graal du jour, après cette trop courte descente, je me retrouve avec du zef' dans la truffe et les guindeaux en flanelle : les effets dévastateurs du surentraînement de ces jours derniers sans nul doute
Je quitte la belle vallée du Lot et je vire à gauche pour m'enfoncer dans une autre vallée beaucoup plus étroite, mais tout aussi venteuse SCREUGNEUGNEU !!!
M'en fous, j'ai enfin passé ma thèse ... euuuh, bon OK ce sont les lactates qui m'ont fait délirer : j'ai juste passé un pont sous lequel un pissou nommé "la petite Thèze" coule paresseusement
J'ai beau appuyer sur les pédales comme un malentendant (parce-que "comme un sourd" c'est pas politiquement correct de nos jours ), j'ai la désagréable impression de cheminer à la vitesse d'une loche sur une couverture en galva sous un cagnard de plomb.
Alors là mes oncles et tantes par procuration, c'est le genre de journée vélocipédique que j'exècre particulièrement : lorsque mes petites bielles pointent aux abonnés absents
C'est pas les rafales de vent qui vont servir de prétexte à mes difficultés d'avancement quand même
Bon, d'accord, un excès d'enthousiasme m'avait fait utiliser fort imprudemment "la plaque" alors je dus me rabattre sur un peu glorieux plateau 42 quenottes afin de retrouver un semblant de souffle.
Pourtant sacrebleu, l'est vraiment jolie c'te petite route qui serpente entre deux coteaux couverts de petits chênes noirs (les troncs, hein, pas les feuilles )
Et tout à coup ... de frein, une apparition magique : Le château de Bonaguil qui se situe dans une enclave lot-et-garonnaise au milieu du département du Lot : déjà une drôle de bizarrerie administrative courtelinesque en soi, croyez pas
Mais le plus fort c'est que ce château "médiéval" dans sa conception architecturale militaire et sa situation hautement stratégique, a été conçu ... à la Renaissance et du coup, n'a jamais été attaqué sinon par le temps qui court
Le gazier qui l'a payé de ses deniers s'appelait Bérenger de Roquefeuille et il semblerait qu'il ait donné des cours de langue sans passer par la diction à, je sais plus si c'est l'épouse ou la maîtresse du roi de France, ci-devant François Premier.
Y avait je crois aussi une sombre histoire d'argent, d'impôts ... bref le Bérenger fut prié de rentrer dare dare sur ses terres et d'y demeurer jusqu'à nouvel ordre ... qui ne vint jamais
Du coup, comme il était pété de thune et qu'il avait du temps à tuer, il lui est venu l'idée un poil parano de construire un château médiéval à la conception militaire, juste pour défier l'autorité de son suzerain ... lequel avait autrte chose à f*utre que de venir se perdre dans le trou du luc de son royaume pour faire le siège à un ouvrage obsolète.
Alors, ce château de contes de fées a traversé les âges, révolution française y compris (petit exploit lorsque l'on sait qu'une tétrachiée de châteaux ont servi de carrières de pierre aux villages adjacents).
Et me voilà au pied de la montée vers cet improbable édifice, juste derrière un "jeune adulte" au guidon d'un Peugeot couleur or des 70's ("a bisto dé naz"). Le gazier a dû monter sur un 40/42 dents alors que votre serviteur s'est contenté d'un peu glorieux 30 x 20 ... mais bien efficace pour ma forme "olympique" du jour Héhé ! C'est à mon retour que je me suis aperçu qu'en fait, la route de l'aller s'élevait pas mal dans un bel "oeuf au plat" montant fort indigeste Avec vent dans la truffe et des jambonneaux loin du meilleur de leur forme, c'était pas étonnant que je traîne ma misère !
Ragaillardi par cette révélation, j't'ai foutu la plaque pour le retour et j'ai envoyé ... juste ce qu'il faut car point trop n'en faut non plus, hein
La côtelette de Condat ne représenta qu'une formalité ... sauf que je me suis arrêté pour immortaliser Jolly Jumper devant le panneau de notre ville d'accueil : Pour les puristes et les âmes sensibles : oui y avait pas de gourde mais j'avais une grosse bouteille d'eau dans mon sac à dos. Et toc
J't'avais prévu un programme millimétrique pour c't'aprem et ch'te jure, sur le papelard ça s'annonçait comme une tuerie
Ni plus ni moins qu'une reconnaissance, automobile certes, d'un tronçon de la vallée du Lot, précisément entre Fumel (Lot-et-Garonne) et Cahors (Lot).
J'allais te faire un ch'tit reportage photographique du feu de Zeus et vous auriez dû vous pâmer devant tant d'insoutenable beauté
Ben faut bien vous l'avouer, en un mot comme mêm' pas en cent (en sang peut-être ? ) : lou gascoun a fait chou blanc sur toute la ligne ... mais j'anticipe
Adoncque, je charge ma bicyclette carbonisée ... houla ! D'un seul coup d'un seul, j'viens de perdre l'écoute, j'veux dire la lecture bienveillante d'un pacson de Tontons furibards ... dans mon chevreau laid (encore une marque US )
et Berthe ! Z'avez qu'à faire preuve d'un p(n)eu d'imagination aussi ... du genre " je chargeai promptement mon Gitane Oympic dans ma Renautl 16 TS (ah oui, là y en a quelques uns qui ont un moucheron dans l'oeil tout à coup ), bref mon vélo dans le coffre de ma voiture et hardi petit ! Mêm' pas peur pour combler les soixante kilomètres qui me séparent géographiquement parlant de la bonne ville post industrielle de Fumel (dont les hauts fourneaux ne fument plus depuis longtemps ).
J'me gare sur un ch'tit parquinge bien bucolique, j'enfile prestement mes habits de lumière et j'enfourche mon fidèle Jolly Jumper version charbon pétrifié pour un périple monstrueux de ... ahum, une lieue
Et pour commencer en douceur, rien de mieux qu'une bonne vieille descente vers le Lot qui me tend les bras, là-bas en contrebas : Où vais-je (ou suis-je et dans quel état j'erre ?)
Vers un château médiéval qui n'en est pas un (ça vous avance vachement comme info, là ).
Mais en attendant d'atteindre le Graal du jour, après cette trop courte descente, je me retrouve avec du zef' dans la truffe et les guindeaux en flanelle : les effets dévastateurs du surentraînement de ces jours derniers sans nul doute
Je quitte la belle vallée du Lot et je vire à gauche pour m'enfoncer dans une autre vallée beaucoup plus étroite, mais tout aussi venteuse SCREUGNEUGNEU !!!
M'en fous, j'ai enfin passé ma thèse ... euuuh, bon OK ce sont les lactates qui m'ont fait délirer : j'ai juste passé un pont sous lequel un pissou nommé "la petite Thèze" coule paresseusement
J'ai beau appuyer sur les pédales comme un malentendant (parce-que "comme un sourd" c'est pas politiquement correct de nos jours ), j'ai la désagréable impression de cheminer à la vitesse d'une loche sur une couverture en galva sous un cagnard de plomb.
Alors là mes oncles et tantes par procuration, c'est le genre de journée vélocipédique que j'exècre particulièrement : lorsque mes petites bielles pointent aux abonnés absents
C'est pas les rafales de vent qui vont servir de prétexte à mes difficultés d'avancement quand même
Bon, d'accord, un excès d'enthousiasme m'avait fait utiliser fort imprudemment "la plaque" alors je dus me rabattre sur un peu glorieux plateau 42 quenottes afin de retrouver un semblant de souffle.
Pourtant sacrebleu, l'est vraiment jolie c'te petite route qui serpente entre deux coteaux couverts de petits chênes noirs (les troncs, hein, pas les feuilles )
Et tout à coup ... de frein, une apparition magique : Le château de Bonaguil qui se situe dans une enclave lot-et-garonnaise au milieu du département du Lot : déjà une drôle de bizarrerie administrative courtelinesque en soi, croyez pas
Mais le plus fort c'est que ce château "médiéval" dans sa conception architecturale militaire et sa situation hautement stratégique, a été conçu ... à la Renaissance et du coup, n'a jamais été attaqué sinon par le temps qui court
Le gazier qui l'a payé de ses deniers s'appelait Bérenger de Roquefeuille et il semblerait qu'il ait donné des cours de langue sans passer par la diction à, je sais plus si c'est l'épouse ou la maîtresse du roi de France, ci-devant François Premier.
Y avait je crois aussi une sombre histoire d'argent, d'impôts ... bref le Bérenger fut prié de rentrer dare dare sur ses terres et d'y demeurer jusqu'à nouvel ordre ... qui ne vint jamais
Du coup, comme il était pété de thune et qu'il avait du temps à tuer, il lui est venu l'idée un poil parano de construire un château médiéval à la conception militaire, juste pour défier l'autorité de son suzerain ... lequel avait autrte chose à f*utre que de venir se perdre dans le trou du luc de son royaume pour faire le siège à un ouvrage obsolète.
Alors, ce château de contes de fées a traversé les âges, révolution française y compris (petit exploit lorsque l'on sait qu'une tétrachiée de châteaux ont servi de carrières de pierre aux villages adjacents).
Et me voilà au pied de la montée vers cet improbable édifice, juste derrière un "jeune adulte" au guidon d'un Peugeot couleur or des 70's ("a bisto dé naz"). Le gazier a dû monter sur un 40/42 dents alors que votre serviteur s'est contenté d'un peu glorieux 30 x 20 ... mais bien efficace pour ma forme "olympique" du jour Héhé ! C'est à mon retour que je me suis aperçu qu'en fait, la route de l'aller s'élevait pas mal dans un bel "oeuf au plat" montant fort indigeste Avec vent dans la truffe et des jambonneaux loin du meilleur de leur forme, c'était pas étonnant que je traîne ma misère !
Ragaillardi par cette révélation, j't'ai foutu la plaque pour le retour et j'ai envoyé ... juste ce qu'il faut car point trop n'en faut non plus, hein
La côtelette de Condat ne représenta qu'une formalité ... sauf que je me suis arrêté pour immortaliser Jolly Jumper devant le panneau de notre ville d'accueil : Pour les puristes et les âmes sensibles : oui y avait pas de gourde mais j'avais une grosse bouteille d'eau dans mon sac à dos. Et toc
Essaie encore !
Bon, il est fort tard alors je vais la faire courte : dans l'idéal, je voulais effectuer une reconnaissance au volant de ma tuture du parcours Fumel - Cahors aller / retour, soit dans les cent-vingt kilomètres.
Sauf que ... oui la vallée du Lot et la rivière qui coule au milieu sont superbes, mais je trouve la route dangereuse car bordée d'un parapet en pierre (côté Lot) et fort étroite à certains endroits. Et puis ya une circulation du diable !
Alors, oui c'est la véloroute de la vallée du Lot, oui elle est empruntée par une palanquée de cyclotouristes. Mais "pour ma part" comme le disait si bien le maillot plein de pois Richard Virenque, je n'ai pas envie de tenter lucifer
Et puis, honnêtement, un de mes fantasmes vient de voler en éclats : la randonnée au long court n'est pas pour moi
Ces longues lignes droites ne conviennent pas (plus ?) à ma pratique de la petite reine
Du coup (parce-que je rebondis plus vite que le plus réactif des kangourous ), je crois que je vais reprendre mes périples dans les coteaux de l'Agenais, à la poursuite des bastides de Guyenne ... et de Gascogne
Bon, mais pour vous prouver que j'ai quand même achevé ma reconnaissance malgré ma décision de ne pas effectuer ce périple à vélo, voici deux images :
la première est celle d'un pont suspendu au dessus du Lot, vers le village de Touzac : ... gaffe en le traversant car le plancher est composé de traverses en ferraille à claire voie et ya de quoi coincer des pneus fins style 700 x 23 ou 25
Et enfin le fameux pont de Valentré, qui lui est bien médiéval car construit entre 1308 et 1378. On l'appelle aussi le pont du diable car l'archi pour faire avancer les travaux plus vite aurait signé un pacte avec Satan .. mais l'aurait bien grugé au final (il aurait dû faire de la politique çui-là ) : Voila, voila. Un coup d'épée dans l'eau pour el Marco
Mais que ça ne vous empêche pas d'y aller car vélo ou pas les panoramas, les nombreux édifices, les coins de natures sont magnifiques et j'y reviendrai ... en voiture avec ma tendre moitié
Sauf que ... oui la vallée du Lot et la rivière qui coule au milieu sont superbes, mais je trouve la route dangereuse car bordée d'un parapet en pierre (côté Lot) et fort étroite à certains endroits. Et puis ya une circulation du diable !
Alors, oui c'est la véloroute de la vallée du Lot, oui elle est empruntée par une palanquée de cyclotouristes. Mais "pour ma part" comme le disait si bien le maillot plein de pois Richard Virenque, je n'ai pas envie de tenter lucifer
Et puis, honnêtement, un de mes fantasmes vient de voler en éclats : la randonnée au long court n'est pas pour moi
Ces longues lignes droites ne conviennent pas (plus ?) à ma pratique de la petite reine
Du coup (parce-que je rebondis plus vite que le plus réactif des kangourous ), je crois que je vais reprendre mes périples dans les coteaux de l'Agenais, à la poursuite des bastides de Guyenne ... et de Gascogne
Bon, mais pour vous prouver que j'ai quand même achevé ma reconnaissance malgré ma décision de ne pas effectuer ce périple à vélo, voici deux images :
la première est celle d'un pont suspendu au dessus du Lot, vers le village de Touzac : ... gaffe en le traversant car le plancher est composé de traverses en ferraille à claire voie et ya de quoi coincer des pneus fins style 700 x 23 ou 25
Et enfin le fameux pont de Valentré, qui lui est bien médiéval car construit entre 1308 et 1378. On l'appelle aussi le pont du diable car l'archi pour faire avancer les travaux plus vite aurait signé un pacte avec Satan .. mais l'aurait bien grugé au final (il aurait dû faire de la politique çui-là ) : Voila, voila. Un coup d'épée dans l'eau pour el Marco
Mais que ça ne vous empêche pas d'y aller car vélo ou pas les panoramas, les nombreux édifices, les coins de natures sont magnifiques et j'y reviendrai ... en voiture avec ma tendre moitié
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
belle portion entre Fumel et Cahors et avec tous les cingles et méandres du Lot je vois pas où sont les longues lignes droites , l'an dernier j'ai fait entre Cahors et Figeac par vallée du Célé et retour par vallée du Lot , trèèès beau
joelle
et cette année entre Clairac et Trentels , moins spectaculaire mais sympa quand même
au passage mauvaise excuse ton histoire d'extracteur , le 23,35 tu le trouves dans les ateliers vélo et pour les cuvettes tu laisses la fixe en place et l'autre t'as pas besoin d'outils particuliers ce me semble ....joelle
Re: La ballade de Marco l'Agenès
Hé ! Mais c'est l'église Sainte Catherine à Villeneuve sur Lot, cet édifice en briques : ah ouais ! Votre trip randonneurs, ça le fait carrément
Vous êtes-vous arrêtés à Trentels ? Ya un château multicolore entouré d'un parc où trônent des oeuvres d'art moderne de toute beauté. On le doit à Philippe Ginestet, le patron de GIFI.
Mais bon, "pour ma part", je me suis rendu compte que je vous admirais mais que ce n'était tout simplement pas mon truc, le vélo au long cours
Le plus gros kilométrage que j'ai effectué disons deux ou trois fois, avoisine les cent vingt bornes (toujours dans l'après-midi, peinard ); après, DSL, ça me gonfle
Je n'ai pas assez de : temps / courage / envie [ rayer la mention inutile ]
Après ... sur un malentendu (et avec quelques jours d'entraînement quand même ), je pourrais un jour tenter de faire, hum, deux-cents kil' genre AGEN - TOULOUSE A/R par la voie verte du canal de Garonne
... mais je ne suis mêm' pas sûr que ça me botte plus que ça
En fait, cette "reconnaissance de la véloroute du Lot" m'a rappelé indirectement que je préfère jouer dans mes coteaux de l'Agenais d'abord au guidon de mon Gitane "79 mHz" puis sur ma bombe carbonique US ... et ptêt bientôt de nouveau avec mon Gitane transformé en "randonneuse (pas taper ) légère" néo-rétro (une sacoche de guidon sera la bienvenue car là aussi, j'en ai assez du sac à dos ).
Pour le Regina sport que j'avais appelé (fort pompeusement ) : "mon Bianchi français" (pardon aux puristes adorateurs de l'immense champion italien Fausto Coppi ), en fait, j'ai de moins en moins envie de le bigorner pour le transformer en moutain road bike ... mais je n'ai pas non plus envie de rouler avec
Donc exit le problème d'extracteur espécial, de cage aux folles et de prise de tête, 'vais pas y perdre mon Latin, moé
Bon, bon, bon ... bref, actuellement je me reconcentre sur la perspective de plissements hercyniens sudistes qui vont m'en faire baver des ronds de chapeau dans pas plus tard qu'une paire de semaines
Serai-je prêt Eééévidement pas
ça fait rien je ferai ce que je serai capable de faire
Vous êtes-vous arrêtés à Trentels ? Ya un château multicolore entouré d'un parc où trônent des oeuvres d'art moderne de toute beauté. On le doit à Philippe Ginestet, le patron de GIFI.
Mais bon, "pour ma part", je me suis rendu compte que je vous admirais mais que ce n'était tout simplement pas mon truc, le vélo au long cours
Le plus gros kilométrage que j'ai effectué disons deux ou trois fois, avoisine les cent vingt bornes (toujours dans l'après-midi, peinard ); après, DSL, ça me gonfle
Je n'ai pas assez de : temps / courage / envie [ rayer la mention inutile ]
Après ... sur un malentendu (et avec quelques jours d'entraînement quand même ), je pourrais un jour tenter de faire, hum, deux-cents kil' genre AGEN - TOULOUSE A/R par la voie verte du canal de Garonne
... mais je ne suis mêm' pas sûr que ça me botte plus que ça
En fait, cette "reconnaissance de la véloroute du Lot" m'a rappelé indirectement que je préfère jouer dans mes coteaux de l'Agenais d'abord au guidon de mon Gitane "79 mHz" puis sur ma bombe carbonique US ... et ptêt bientôt de nouveau avec mon Gitane transformé en "randonneuse (pas taper ) légère" néo-rétro (une sacoche de guidon sera la bienvenue car là aussi, j'en ai assez du sac à dos ).
Pour le Regina sport que j'avais appelé (fort pompeusement ) : "mon Bianchi français" (pardon aux puristes adorateurs de l'immense champion italien Fausto Coppi ), en fait, j'ai de moins en moins envie de le bigorner pour le transformer en moutain road bike ... mais je n'ai pas non plus envie de rouler avec
Donc exit le problème d'extracteur espécial, de cage aux folles et de prise de tête, 'vais pas y perdre mon Latin, moé
Bon, bon, bon ... bref, actuellement je me reconcentre sur la perspective de plissements hercyniens sudistes qui vont m'en faire baver des ronds de chapeau dans pas plus tard qu'une paire de semaines
Serai-je prêt Eééévidement pas
ça fait rien je ferai ce que je serai capable de faire
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Re: La ballade de Marco l'Agenès
gagné pour Villeneuve bien sûr , je n'etais jamais entrée dans la ville , toujours de passage en voiture et c'est bien sympa ma foi
pour Cahors Figeac j'ai fait en solo mais t'as remarqué que j'ai des sacoches sur mon vélo donc je fais étape en camping pas de long kilometrage , faut que je sente le terroir et que je cause avec l'autochtone
pour Clairac Trentels j'etais avec une copine et on a fait étape au camping de Trentels mais pas vu le chateau , une occasion pour y revenir , mais on a vu ça quand même
et cet etonnant pont de chemin de fer sur le Lot dont la piste adjacente est un chemin en dehors du train on ne peut y passer qu'à vélo ou à pied !
pour Cahors Figeac j'ai fait en solo mais t'as remarqué que j'ai des sacoches sur mon vélo donc je fais étape en camping pas de long kilometrage , faut que je sente le terroir et que je cause avec l'autochtone
pour Clairac Trentels j'etais avec une copine et on a fait étape au camping de Trentels mais pas vu le chateau , une occasion pour y revenir , mais on a vu ça quand même
et cet etonnant pont de chemin de fer sur le Lot dont la piste adjacente est un chemin en dehors du train on ne peut y passer qu'à vélo ou à pied !