Compétition et cyclotourisme
Publié : dim. 26 janv. 2014 18:50:33
Précisions sur les randonneuses légères
Randonneuse légère
Le nom de « Randonneuse légère » vient lui aussi du monde du cyclotourisme.
Il fut un temps où la fédération de cyclotourisme organisait des tests chronométrés. La montée du Puy de Dôme, la journée Vélocio avec la montée du col de la république, la polymultipliée de Chanteloup étaient les plus connues.
Ces tests étaient de véritables courses, le règlement de la fédération imposait les garde- boue, la lumière et d’autres accessoires obligatoires au code de la route ; pour cela, certains cyclos se faisaient monter des randonneuses plus légères que leurs randonneuses habituelles, l’effort étant plus proche de la course et plus court que la randonnée. La randonneuse légère était née, le cadre était proche de celui d’un vélo de course et le matériel utilisé le plus léger possible. D Rebour en a dessiné beaucoup à l’occasion de ces manifestations et des concours « Duralumin ».
Ces machines, n’étant pas réservées exclusivement à ces tests, certaines étaient équipées de petit porte- sacoche à l’avant bien que la sacoche ne soit pas obligatoire pour ce genre d’épreuve.
Le 7 décembre 1977, une convention est signée entre la FFC Fédération Française de cyclisme et la FFCT Fédération Française de cyclotourisme, la compétition est depuis réservée à la FFC et la randonnée à la FFCT.
Donc, plus de tests chronométrés, le nom « Randonneuse légère » est resté, le règlement à évolué et les randonneuses légères sont devenues par la suite des vélos pour les randonnées où l’assistance est autorisée, PBP par exemple, ou pour des randonnées ou brevets d’une journée ; elles sont depuis de plus en plus remplacées par les vélos de course sur les grands brevets, les artisans ou les marques qui les fabriquaient ont maintenant presque tous disparus.
Le nom aussi disparaît progressivement ; c’était des vélos de grande qualité, presque toujours en 700 fabriqués souvent sur mesure bien que ce fut, un temps, la quasi exclusivité des artisans, certaines marques en fabriquèrent de très belles. D’autres marques et de grands industriels utilisèrent le nom sans scrupule pour des vélos de qualité inférieure, d’où la confusion chez certains.
Dejoulardi
Quelques exemples à des époques différentes
Randonneuse légère
Le nom de « Randonneuse légère » vient lui aussi du monde du cyclotourisme.
Il fut un temps où la fédération de cyclotourisme organisait des tests chronométrés. La montée du Puy de Dôme, la journée Vélocio avec la montée du col de la république, la polymultipliée de Chanteloup étaient les plus connues.
Ces tests étaient de véritables courses, le règlement de la fédération imposait les garde- boue, la lumière et d’autres accessoires obligatoires au code de la route ; pour cela, certains cyclos se faisaient monter des randonneuses plus légères que leurs randonneuses habituelles, l’effort étant plus proche de la course et plus court que la randonnée. La randonneuse légère était née, le cadre était proche de celui d’un vélo de course et le matériel utilisé le plus léger possible. D Rebour en a dessiné beaucoup à l’occasion de ces manifestations et des concours « Duralumin ».
Ces machines, n’étant pas réservées exclusivement à ces tests, certaines étaient équipées de petit porte- sacoche à l’avant bien que la sacoche ne soit pas obligatoire pour ce genre d’épreuve.
Le 7 décembre 1977, une convention est signée entre la FFC Fédération Française de cyclisme et la FFCT Fédération Française de cyclotourisme, la compétition est depuis réservée à la FFC et la randonnée à la FFCT.
Donc, plus de tests chronométrés, le nom « Randonneuse légère » est resté, le règlement à évolué et les randonneuses légères sont devenues par la suite des vélos pour les randonnées où l’assistance est autorisée, PBP par exemple, ou pour des randonnées ou brevets d’une journée ; elles sont depuis de plus en plus remplacées par les vélos de course sur les grands brevets, les artisans ou les marques qui les fabriquaient ont maintenant presque tous disparus.
Le nom aussi disparaît progressivement ; c’était des vélos de grande qualité, presque toujours en 700 fabriqués souvent sur mesure bien que ce fut, un temps, la quasi exclusivité des artisans, certaines marques en fabriquèrent de très belles. D’autres marques et de grands industriels utilisèrent le nom sans scrupule pour des vélos de qualité inférieure, d’où la confusion chez certains.
Dejoulardi
Quelques exemples à des époques différentes