Georges Richard (Paris)
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- henri sneyders de vogel
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Re: Georges Richard
Voici une publicité de 1895.
Re: Georges Richard
Une affiche datant de 1900 (source http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9013198k).
Re: Georges Richard
Une autre affiche de 1899, signée Grasset.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90082541)
(Source : -
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Richard Cycles (1901)
Bonjour,
Je travaille sur le journal d'un cycliste (fin 19éme-début 20éme) et je recherche des infos sur les vélos qu'il utilisait.
En 1901 il achète un "Richard à double multiplication & roue libre", ce vélo est équipé d'un frein Floquart à l'avant (ca j'ai trouvé de la doc) et d'un frein Lehut? à l'arrière.
Suis interressé par doc sur la marque, le type de multiplication, roue libre et frein Lehut.
Merci pour votre aide
Yves
Je travaille sur le journal d'un cycliste (fin 19éme-début 20éme) et je recherche des infos sur les vélos qu'il utilisait.
En 1901 il achète un "Richard à double multiplication & roue libre", ce vélo est équipé d'un frein Floquart à l'avant (ca j'ai trouvé de la doc) et d'un frein Lehut? à l'arrière.
Suis interressé par doc sur la marque, le type de multiplication, roue libre et frein Lehut.
Merci pour votre aide
Yves
Le journal d'Henri André, cycliste parisien à la Belle époque
de 1889 à 1910, les balades dominicales et les grands voyages sur les routes de France d'une bande de bons copains épicuriens.
http://www.rv37.fr/index.php
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- jean claude 63
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Re: Cycles Richard (1901)
Bonjour
Je sais peu de choses sur la marque RICHARD, mais en faisant des recherches sur un vélo Ajax que j'avais récupéré l'an dernier, j'ai appris que les cycles AJAX étaient fabriqués par...la Société de Construction de Cycles et d'Automobiles Georges Richard.
La marque est surtout connue pour ses voitures de course Richard-Brasier Si tu as de la doc sur les vélos Richard ou Ajax ça m'interesse.
@+
Jean Claude
Je sais peu de choses sur la marque RICHARD, mais en faisant des recherches sur un vélo Ajax que j'avais récupéré l'an dernier, j'ai appris que les cycles AJAX étaient fabriqués par...la Société de Construction de Cycles et d'Automobiles Georges Richard.
La marque est surtout connue pour ses voitures de course Richard-Brasier Si tu as de la doc sur les vélos Richard ou Ajax ça m'interesse.
@+
Jean Claude
Re: Cycles Richard (1901)
Bonjour,
Une affiche datant du 19e (que j'ai l'impression d'avoir déjà vu sur le forum) :
http://silos.ville-chaumont.fr/flora/js ... MARC:81623
Yves
Une affiche datant du 19e (que j'ai l'impression d'avoir déjà vu sur le forum) :
http://silos.ville-chaumont.fr/flora/js ... MARC:81623
Yves
Re: Cycles Richard (1901)
Ah ben c'est malin, le sujet sur la marque existait déjà, il me semblait bien aussi !
http://forum.tontonvelo.com/viewtopic.p ... 61&p=58245
Yves
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Yves
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Re: Cycles Richard (1901)
merci Yves pour l'info et désolé de ne pas avoir trouvé tout seul.
Yves
Yves
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- stellis
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Re: Cycles Richard (1901)
Bonjour et bienvenue Yves,
Cela nous intéresserait si tu voulais poster quelques anecdotes vécues de ce cycliste du début du XXème.
Vas-tu publier quelque chose à partir de ces travaux?
Cela nous intéresserait si tu voulais poster quelques anecdotes vécues de ce cycliste du début du XXème.
Vas-tu publier quelque chose à partir de ces travaux?
Tillard & Meunier ca1869-Cie Parisienne ca1870-Tri Peugeot ca1889-Inconnu ca1890-Alldays & Onions ca1890-Peugeot Populaire 1893-Clément 1893-Rochet ca1895-Peugeot ca1896-Columbia 1898-Clément 1902-Magnat-Debon 1904-Métropole ca1907-Sportif X ca1920-Vialle 1927-Stellis ca1930-AThomann ca1950-Motobécane C4 1979-Laïti 1991
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Re: Richard Cycles (1901)
Voici le petit bout concernant la machine "Richard" à double multiplication.
28 Avril 1901
Aujourd’hui, grand vent.
J’essaie ma nouvelle & cinquième machine, une Richard à double multiplication & roue libre ! C’est très tentant, cela parait robuste, mais qu’est-ce que cela vaut réellement.
J’ai mal débute, car ma bicyclette que je suis allé chercher moi-mêrme chez Lehut hier, m’a été livrée sans être réglée, et, ce matin, Boinet me trouve en train de me disputer avec ma direction.
Enfin me voila dehors et, tremblant je monte sur Ennice – c’est le nom que je lui ai donnée, bien qu’elle ne soit pas à pétrole, ajoute Auguste. Cela va, aucune différence avec ma machine ordinaire ; si ce n’est qu’elle roule admirablement. Mais gare à la petite multiplication. Boinet a préparé un itineraire ad hoc où il n’y a que cotes & descentes.
La première rencontre est celle de Chatillon. Choisir n’est-ce pas ?Je fais la première partie avec le grand multiplicateur puis comme cela commence à tirer, crac j’appuie sur mon levier et me voila trépignant positivement et montant sans fatigue. J’ai eu tort, celui de vouloir conserver ma vitesse, alors qu’il me faut […] par le […] Aussi suis-je un peu essouflé en arrivant en haut. Tout le monde d’ailleurs même Boinet, le fait à pied et me regarde avec stupefaction. Il faut dire que la route est en ce moment tout sens dessus dessous à cause d’un égout qu’on y construit. Il faut rouler sur une bande de 50 cm pleine de sable & de cailloux.
La haut, je remet ma grande multiplication et me voila devalant la descente de Sceaux. Je [….] de ma roue libre, car je n’ai encore qu’un frein. Puis nouvelle côte à Sceaux. Celle-là, je vais lentement et la monte sans effort. Nous rattrapons la route de Versailles & nous arrêtons dans un bistro. Là Boinet essaie ma machine et en est émerveillé.
Nous rentrons par Chevilly et la descente de Villejuif.
Y'en comme ça de 1889 à 1910 et j'aurais très probablement recours souvent au forum pur bénéficier de vos connaissances. Ces journaux ont été découverts par un copain et nous travaillons tous les 2 dessus. La première transcription du texte manuscrit est terminée (un travail de romain fait par le pote) et j'attaque une relecture des carnets, nottament pour corriger et documenter les termes techniques et lieus géographiques, afin de les"publier" (forums, revues cyclotouristes, edition... ?????). Le copain, historien travaille maintenant sur une lecture transversale du texte afin de réaliser un ouvrage sur les aspects historiques, sociologiques, etc du document.
A bientôt donc.
PS: A quoi ressemblait la double multiplication (actionné par levier) décrite dans ce texte? Merci.
28 Avril 1901
Aujourd’hui, grand vent.
J’essaie ma nouvelle & cinquième machine, une Richard à double multiplication & roue libre ! C’est très tentant, cela parait robuste, mais qu’est-ce que cela vaut réellement.
J’ai mal débute, car ma bicyclette que je suis allé chercher moi-mêrme chez Lehut hier, m’a été livrée sans être réglée, et, ce matin, Boinet me trouve en train de me disputer avec ma direction.
Enfin me voila dehors et, tremblant je monte sur Ennice – c’est le nom que je lui ai donnée, bien qu’elle ne soit pas à pétrole, ajoute Auguste. Cela va, aucune différence avec ma machine ordinaire ; si ce n’est qu’elle roule admirablement. Mais gare à la petite multiplication. Boinet a préparé un itineraire ad hoc où il n’y a que cotes & descentes.
La première rencontre est celle de Chatillon. Choisir n’est-ce pas ?Je fais la première partie avec le grand multiplicateur puis comme cela commence à tirer, crac j’appuie sur mon levier et me voila trépignant positivement et montant sans fatigue. J’ai eu tort, celui de vouloir conserver ma vitesse, alors qu’il me faut […] par le […] Aussi suis-je un peu essouflé en arrivant en haut. Tout le monde d’ailleurs même Boinet, le fait à pied et me regarde avec stupefaction. Il faut dire que la route est en ce moment tout sens dessus dessous à cause d’un égout qu’on y construit. Il faut rouler sur une bande de 50 cm pleine de sable & de cailloux.
La haut, je remet ma grande multiplication et me voila devalant la descente de Sceaux. Je [….] de ma roue libre, car je n’ai encore qu’un frein. Puis nouvelle côte à Sceaux. Celle-là, je vais lentement et la monte sans effort. Nous rattrapons la route de Versailles & nous arrêtons dans un bistro. Là Boinet essaie ma machine et en est émerveillé.
Nous rentrons par Chevilly et la descente de Villejuif.
Y'en comme ça de 1889 à 1910 et j'aurais très probablement recours souvent au forum pur bénéficier de vos connaissances. Ces journaux ont été découverts par un copain et nous travaillons tous les 2 dessus. La première transcription du texte manuscrit est terminée (un travail de romain fait par le pote) et j'attaque une relecture des carnets, nottament pour corriger et documenter les termes techniques et lieus géographiques, afin de les"publier" (forums, revues cyclotouristes, edition... ?????). Le copain, historien travaille maintenant sur une lecture transversale du texte afin de réaliser un ouvrage sur les aspects historiques, sociologiques, etc du document.
A bientôt donc.
PS: A quoi ressemblait la double multiplication (actionné par levier) décrite dans ce texte? Merci.
Le journal d'Henri André, cycliste parisien à la Belle époque
de 1889 à 1910, les balades dominicales et les grands voyages sur les routes de France d'une bande de bons copains épicuriens.
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- stellis
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Re: Richard Cycles (1901)
Superbe texte, j'espère que tu vas publier afin que l'on se régale.
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Re: Georges Richard
Si vous connaissez un site intéressant , n'hésitez pas à le signaler par un lien.
- KRISSTOFF
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Re: Georges Richard
Salut ;
Une photo du stand G.RICHARD au Salon du Cycle et de l'Auto 1898 :
( Le Sport Universel Illustré )
Une photo du stand G.RICHARD au Salon du Cycle et de l'Auto 1898 :
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- Tonton Velo
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Re: Richard Cycles (1901)
Je reviens sur ce message de 2012 ... Il est possible que le mécanisme décrit soit un pédalier à engrenages Variand, fabriqué en Allemagne par la firme N.S.U., et utilisé à cette époque sur les cycles Richard. Il donnait 2 vitesses et Raymond Henry en fait une description dans son livre "Du vélocipède au dérailleur moderne" (Association des amis du musée d'art et d'industrie de Saint-Etienne).Papoupinet a écrit :Voici le petit bout concernant la machine "Richard" à double multiplication.
28 Avril 1901
Aujourd’hui, grand vent.
J’essaie ma nouvelle & cinquième machine, une Richard à double multiplication & roue libre ! C’est très tentant, cela parait robuste, mais qu’est-ce que cela vaut réellement.
J’ai mal débute, car ma bicyclette que je suis allé chercher moi-mêrme chez Lehut hier, m’a été livrée sans être réglée, et, ce matin, Boinet me trouve en train de me disputer avec ma direction.
Enfin me voila dehors et, tremblant je monte sur Ennice – c’est le nom que je lui ai donnée, bien qu’elle ne soit pas à pétrole, ajoute Auguste. Cela va, aucune différence avec ma machine ordinaire ; si ce n’est qu’elle roule admirablement. Mais gare à la petite multiplication. Boinet a préparé un itineraire ad hoc où il n’y a que cotes & descentes.
La première rencontre est celle de Chatillon. Choisir n’est-ce pas ?Je fais la première partie avec le grand multiplicateur puis comme cela commence à tirer, crac j’appuie sur mon levier et me voila trépignant positivement et montant sans fatigue. J’ai eu tort, celui de vouloir conserver ma vitesse, alors qu’il me faut […] par le […] Aussi suis-je un peu essouflé en arrivant en haut. Tout le monde d’ailleurs même Boinet, le fait à pied et me regarde avec stupefaction. Il faut dire que la route est en ce moment tout sens dessus dessous à cause d’un égout qu’on y construit. Il faut rouler sur une bande de 50 cm pleine de sable & de cailloux.
La haut, je remet ma grande multiplication et me voila devalant la descente de Sceaux. Je [….] de ma roue libre, car je n’ai encore qu’un frein. Puis nouvelle côte à Sceaux. Celle-là, je vais lentement et la monte sans effort. Nous rattrapons la route de Versailles & nous arrêtons dans un bistro. Là Boinet essaie ma machine et en est émerveillé.
Nous rentrons par Chevilly et la descente de Villejuif.
Y'en comme ça de 1889 à 1910 et j'aurais très probablement recours souvent au forum pur bénéficier de vos connaissances. Ces journaux ont été découverts par un copain et nous travaillons tous les 2 dessus. La première transcription du texte manuscrit est terminée (un travail de romain fait par le pote) et j'attaque une relecture des carnets, nottament pour corriger et documenter les termes techniques et lieus géographiques, afin de les"publier" (forums, revues cyclotouristes, edition... ?????). Le copain, historien travaille maintenant sur une lecture transversale du texte afin de réaliser un ouvrage sur les aspects historiques, sociologiques, etc du document.
A bientôt donc.
PS: A quoi ressemblait la double multiplication (actionné par levier) décrite dans ce texte? Merci.
Amicalement,
Bruno - Tonton Vélo
Bruno - Tonton Vélo
Re: Georges Richard (Paris)
Bonjour,
Qui à des informations sur H.PETIT
CYCLES GEORGES RICHARD, marque le trèfle à 4 feuilles
Qui à des informations sur H.PETIT
CYCLES GEORGES RICHARD, marque le trèfle à 4 feuilles
Si vous connaissez un site intéressant , n'hésitez pas à le signaler par un lien.
Re: Georges Richard (Paris)
Bonjour Royal,
Quelle année, cette publicité ?...
J'ai trouvé ceci dans un journal de 1905 : (Gil Blas, 23 mai 1905, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7521107q/f3.image)
Yves
Quelle année, cette publicité ?...
J'ai trouvé ceci dans un journal de 1905 : (Gil Blas, 23 mai 1905, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7521107q/f3.image)
Yves
- KRISSTOFF
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- Inscription : ven. 26 févr. 2010 14:27:03
- Localisation : Fontenay le Comte Vendée
Re: Georges Richard (Paris)
Dans le journal " Le Rire " en date du 28 / 09 / 1904 :
Re: Georges Richard (Paris)
Affiche source vente aux enchères catalogue ventes terminées
1895
"Usine rue d'Angoulême, Magasin d'exposition et de vente avenue de Wagram"
1895
"Usine rue d'Angoulême, Magasin d'exposition et de vente avenue de Wagram"
- Pièces jointes
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- richard1895.jpg (54.02 Kio) Consulté 7201 fois
Re: Georges Richard (Paris)
Affiche source vente aux enchères catalogue ventes terminées
1900
1900
- Pièces jointes
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- richard1900.jpg (48.29 Kio) Consulté 7200 fois